TURQUIE : CHRONIQUE D'UNE RÉVOLTE - l'indigné révolté
Merci à P24, pour votre super travail.
Rojava : Un processus démocratique en cours
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Grandiose
L'antimilitarisme ouvrier n'a pas sa source dans une horreur abstraite et sentimentale de l'armée; il a sa source dans la lutte des classe ;
Il est né de l'expérience des grèves et des luttes; ou toujours; en face a lui ; l'ouvrier rencontre l'armée ; gardienne du capital et de l'ordre ; en sorte qu'elle est apparu comme un simple prolongement de l'atelier capitaliste et par conséquent comme le prolongement de sa servitude.La Fabrique de l'Histoire par Emmanuel Laurentindu lundi au vendredi de 9h00 à 10h00 Réécouter Histoire de l'année 1967 (3/4) : Loin du Vietnam de Chris Marker : cinéma et politique en 1967 52minHistoire de l'année 1967 (3/4) Loin du Vietnam de Chris Marker : cinéma et politique en 1967
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Dans les pays démocratiques et développés, l’argent est devenu la seule balise. Après avoir été méprisés ou honnis jusqu’à la fin des années 1970 – une Rolls était alors le sommet de la ringardise –, le « fric » et ses attributs clinquants se sont imposés en force depuis les années 1990. Une caste étroite a vu son patrimoine et ses revenus grimper à des sommets inédits, pendant que se développait simultanément une grande classe pauvre de chômeurs, d’immigrants, d’employés saisonniers ou temporaires.
Dans les ghettos du gotha - 1 - par apocalyptique001 Les « Paradise Papers », nouvelles révélations sur les 350 milliards cachés de l’évasion fiscale
Pas elle, pas la Queen ! Et bien si, la reine Elizabeth II, l’une des femmes les plus riches au monde, a elle aussi mis les pieds au paradis… fiscal.
Petit coin de paradis (fiscal ou anal ?) pour The Queen...
"La reine d'Angleterre, Elisabeth II, une des plus grandes fortunes du monde, a détenu et détient encore des intérêts dans plusieurs fonds d'investissement dans des paradis fiscaux. "
«Paradise Papers». Le Monde, associé au Consortium international des journalistes, a publié une enquête, renommée les «Paradise Papers», à partir de 13,5 millions de documents, dont une bonne part issus d'un cabinet d'avocats spécialisé dans la finance offshore. Elle montre comment des milliards de dollars continuent d'échapper à l'impôt grâce à des«bataillons d'experts en optimisation fiscale». Parmi les personnalités mises en cause : un ministre américain en affaires avec des proches du président russe ou la reine Elizabeth II, dont environ 11 millions d'euros de fonds privés auraient été investis dans deux sociétés offshore aux îles Caïman et aux Bermudes.
Paradise papers.Lord Ashcroft, l'ancien trésorier du parti conservateur britannique, a, selon les Paradise papers, sciemment contourné les lois pour garder un statut de non-résident fiscal au Royaume-Uni.
Interrogé par la BBC lors du récent congrès annuel du parti conservateur à Manchester, l'homme a refusé de répondre, se contentant de répéter «dear, oh dear, oh dear, oh dear» avant de fuir le journaliste en se réfugiant aux toilettes.
"Paradise Papers" : la reine Elisabeth II et des proches de Trump et de Trudeau…TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM
L’enquête des « Paradise Papers » montre comment cette dépendance de la Couronne britannique permet aux riches propriétaires d’avions d’économiser des millions d’euros.
SYNTHÈSE « Paradise Papers » : l’île de Man, paradis des jets privés exemptés de TVA
Le territoire de 572 km² dans la mer d’Irlande, qui compte une société pour trois habitants, attire des entreprises en les faisant bénéficier d’avantages fiscaux. Il est au cœur des « Paradise Papers ».
REPORTAGE Portfolio : l’île de Man, le petit paradis fiscal des îles britanniques PORTFOLIO
Sur les 30 000 entreprises que compte ce bout de terre, plus des deux tiers sont des coquilles vides.
REPORTAGE L’île de Man, caillou perdu en mer d’Irlande et cachette idéale contre l’impôt
L’enquête a mis en lumière les pratiques de Dassault à l’île de Man pour exonérer de TVA les riches propriétaires de jets privés, dont le champion de Formule 1 Lewis Hamilton.
En direct : les nouvelles révélations des « Paradise Papers » LIVE
Comme l’avait remarqué Adam Smith, au-delà d’un toit et d’une nourriture suffisante, l’argent n’a plus d’utilité en soi. L’accumulation monomaniaque d’argent n’a pas pour objet d’acheter produits ou services indispensables mais simplement de susciter l’admiration ou, mieux, l’envie. La richesse permet de paraître riche. L’argent, comme une épidémie, est sorti du cadre occidental pour contaminer les pays émergents et tous les anciens pays communistes, et spécialement la Russie et la Chine. En Russie, une CLIQUE de kleptocrates a confisqué l’économie jusqu’ici étatique, et, devenue instantanément milliardaire, a déversé son surplus autour d’elle, créant une tribu de minioligarques gonflés de roubles. En Chine, les dirigeants du PCC ont ouvert les vannes à une caste d’ex-cadres du parti reconvertis dans la finance ou l’industrie, rapidement enrichis, acheteurs frénétiques de produits tape-à-l’oeil.
Ces fortunes colossales et très visibles, accumulées par des financiers, des industriels ou des hommes politiques, ont redéfini le système de valeurs. La véritable hiérarchie est devenue celle de l’argent : autour de lui s’est réorganisée la structure sociale, quand le niveau d’éducation ou la profession étaient, autrefois, des critères de classement. Plus on « vaut », plus on vaut. Achetant pêle-mêle clubs de foot, chalets à Courchevel, maisons à Londres, yachts géants, chacun pour plusieurs dizaines de millions d’euros, glamourisés dans tous les journaux people, les milliardaires ont remplacé les « best et brightest » au sommet de la pyramide sociale : cette pyramide est désormais celle de l’argent.
Constatant qu’il était possible de devenir milliardaire non seulement en entreprenant avec audace et compétence, mais aussi par le biais du pouvoir d’État, des réseaux ou de la corruption pure, et qu’une fois acquises, les fortunes, petites ou grandes, lavaient les délits ou les crimes commis pour les obtenir, la classe moyenne et supérieure mondiale a intériorisé un rapport cynique à l’argent, devenu le critère dominant du succès – peu importe le moyen de l’obtenir. Une fois acquis, il blanchit les âmes les plus noires. La seule morale consiste à se remplir les poches.
la publication de Flores Magon.
Dans le monde entier, les salaires des dirigeants d’entreprise ont augmenté à une vitesse fulgurante, passant de quelques centaines de milliers de francs à des millions d’euros. Il y a trente ans, un PDG avait de quoi bien vivre. Aujourd’hui, il fait fortune. La feuille de paie du PDG de Peugeot, Calvet, à 2 millions de francs, choquait sous Giscard. Son successeur GAGNE dix fois plus. Michel Bon, PDG de France Télécom dans les années 1990, gagnait 120 000 euros par an. Aujourd’hui, les PDG des grandes entreprises françaises gagnent en moyenne 4 millions d’euros par an, soit 250 fois le Smic. Au États-Unis, les PDG gagnent en moyenne 400 fois plus que leurs employés de base : en un jour, ils reçoivent plus qu’eux en un an. Le salaire d’un PDG est lié à un statut et non à une performance. Le PDG de Goldman Sachs en déroute a gagné 60 millions de dollars en 2008. Aucun chiffre ne choque plus. Les dirigeants du Crédit mutuel de Bretagne se sont augmentés de plus de 50 % en 2011, contre une augmentation de moins de 2 % accordée à leurs EMPLOYÉS. Après avoir été sauvé en 2008 par l’injection de 6 milliards d’euros de fonds publics, Dexia a consenti des BONUS de plusieurs dizaines de millions d’euros à ses dirigeants en 2009 et 2010, avant de faire faillite en 2011.
La fraude fiscale, combinée à l’argent sale provenant de secteurs hors-la-loi (trafics, terrorisme, etc.) affaiblit sérieusement le PIB des États africains. Suite de la #Dataviz que nous propose Adam Abdou Hassan ( Université de Rouen Normandie)
la publication de The Conversation France.
Le culte de l’argent a contaminé les politiques. Les dictatures ont ouvert le bal : depuis 1980, s’enrichir rapidement tout en restant à n’importe quel prix au pouvoir est devenu le principal passe-temps des despotes. La fortune de Kadhafi était estimée à plus de 25 milliards de dollars, à égalité avec Bill Gates. Pas mal, pour un pays de 6 millions d’habitants. Au Gabon, la famille Bongo a détourné plus de 5 milliards d’euros des caisses de l’État et de son peuple, ce qui a permis à Ali Bongo de racheter un hôtel particulier à Paris pour 100 millions d’euros. Laurent Bagbo, en sept ans, aurait détourné 5 milliards d’euros, ce qui devrait lui assurer une retraite agréable quand il sortira de prison. Bachar el-Assad, sa famille et sa CLIQUE ont accumulé quelques milliards de dollars. Les gardiens de la révolution iranienne, autrefois troupes d’élite, aujourd’hui affairistes d’État, ont accumulé quelques milliards de dollars, tout comme les généraux algériens. Un dictateur, fût-ce d’un pays marginal, qui a accumulé moins de 1 milliard d’euros est aujourd’hui un loser. Même certaines démocraties ont été touchées : en Italie, Berlusconi a utilisé sa fortune, amassée grâce à la politique, pour accéder au pouvoir, et le pouvoir pour arrondir sa fortune.
L’entrée de l’Inde, du Brésil, de la Russie et surtout de la Chine dans l’hypercapitalisme a mondialisé le culte de l’argent. Dans tous les pays du monde, est apparue une nouvelle classe ultrariche, au mieux, d’entrepreneurs, au pire, de profiteurs capitalisant sur leurs connections politiques. En creusant massivement les inégalités, ce phénomène fracture les sociétés. Mais le pire a été le renversement universel des valeurs. Un pauvre est devenu un nul, un riche, un génie. Un financier enrichi sans créer de valeur regarde de haut un grand chercheur, fût-il prix Nobel, aux revenus modestes.
L’argent est devenu une fin en soi, puisque au-delà de ce qu’il permet d’acquérir, il est la clé du positionnement social. Il n’y a plus de héros. Il y a des riches. Armstrong n’est plus un sportif, mais une marque. Tapie s’est fait remettre indûment 300 millions d’euros par l’État français : joli coup ! Comme le remarquait finement l’ancêtre bronzé de la publicité, Jacques Séguéla, dans sa phrase désormais tristement célèbre : « Si, à cinquante ans, on n’a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie. » Ou Lord Mandelson, ministre du gouvernement « travailliste » de Blair : « Je n’ai rien contre les gens qui sont ignoblement riches ! »
La religion de l’argent roi rend les dirigeants politiques et les chefs d’entreprise cyniques et égoïstes, et surtout indifférents aux drames sociaux, sanitaires ou économiques que ce culte induit. Les dirigeants d’entreprise se focalisent sur le profit maximum : c’est la mission que leur ont donnée leurs actionnaires, et leur propre « valeur » monétaire, en salaire et intéressement, en dépend. Les dommages collatéraux de cette quête éperdue de la marge bénéficiaire, comme le stress ou le licenciement des employés, les délocalisations massives et sauvages, l’appauvrissement des clients, les drames écologiques ou sanitaires, sont considérés comme secondaires. L’argent étouffe les autres valeurs.
Ces dirigeants ne sont pas méchants ou malsains : ils fonctionnent logiquement, dans le système de valeur dominant qui s’impose à eux comme l’air qu’ils respirent. Les dirigeants des grands groupes de distribution ont ainsi une responsabilité écrasante dans la création de friches agricoles ou industrielles. Pour gagner quelques centimes de marge, ils n’hésitent pas à remplacer les tomates goûteuses de maraîchers locaux par les tomates hors sol insipides d’usines agroalimentaires les font transporter par des norias de camions. Ils n’hésitent pas à abuser de leur position dominante pour faire baisser leur prix d’achat aux producteurs de fruits et légumes audessous du prix de revient. Ils n’hésitent pas, comme Walmart (Wal-Mart Stores), à déplacer massivement et rapide ment leurs achats de jouets, d’outils, de matériel électronique ou de textiles vers l’Asie.
Prisonniers de la loi d’airain du profit à court terme, ils commettent des déprédations massives, en toute bonne conscience. Le président polytechnicien d’un grand groupe de télécommunication n’a pas compris que pousser à la productivité à outrance conduirait ses employés au suicide. L’intègre président d’une grande banque ne peut comprendre que l’obsession pour le profit de sa filiale de crédit à la consommation pousse ausurendettement et au drame personnel des millions de ménages pauvres. Le dirigeant d’un grand groupe pétrolier ne peut accepter la responsabilité d’une pollution majeure. Ils ne sont que les gardiens du camp, ils n’édictent ni ne font les règles qui emprisonnent.
La priorité absolue donnée à l’argent transforme des hommes honnêtes en kapos involontaires. Pour l’argent, des entreprises pharmaceutiques ont sorti, en s’appuyant sur des chercheurs ou des régulateurs complices, des produits sans valeur thérapeutique mais aux effets secondaires meurtriers. Des entreprises ont licencié des ouvriers à l’expérience et au talent unique pour augmenter d’un ou deux points leur marge, causant à la fois un désastre social et une impasse industrielle. Le surendettement massif des consommateurs et la délocalisation forcenée vers l’Asie résultent d’une volonté psychotique d’augmenter à tout prix les profits et les bonus à court terme. Le profit n’est plus la mesure du succès de l’entreprise, de sa contribution à la société. Il est devenu une fin en soi.
Extrait de "Les sept plaies du capitalisme" par Henri Bodinat, paru aux éditions Léo Scheer, 18 euros. (voir sur Amazon)
Sid Vicious in Paris, Sid Vicious - My Way (Original and Complete Version)1 Les « Paradise Papers », nouvelles révélations sur les 350 milliards cachés de l’évasion fiscale
n 11 novembre 2017 Les Paradise Papers
Donald Trump, l'empire d'un président Publié le 11/12/2016 par saltabank
17 décembre 2017 Les inégalités explosent, Merci trump...
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Guerre des boutons
Trump sur pied de guerre
Géopolitis
Donald Trump va-t-il déclarer la guerre à la Corée du Nord ? Jamais depuis la crise des missiles de Cuba, le monde n'avait été confronté à un tel risque de déflagration nucléaire. Iran, accords de Paris ou traité transpacifique, le président américain défait pièce par pièce l'héritage de Barack Obama. Géopolitis, une émission de la Radio Télévision Suisse, dimanche 5 novembre 2017.Le site de Géopolitis : http://geopolitis.ch #géopolitis
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Théisme, Nationalisme, Capitalisme... Les religions vont bien.
...ni contre l'une ni contre l'autre des religions en particulier, mais contre toutes les religions qui de fait enrégimentent les consciences/vivants dans des idées/relations totalitaires, guerrières et qui laissent perdurer, pour la cause, la soumission/domination et l'exploitation des humains par d'autres.Iran 1979: Legacy of a Revolution
What is the legacy of Iran's Islamic revolution and how does it affect Iranian society more than three decades later?
Après des décennies de règne royal, des millions d'Iraniens sont descendus dans la rue dans un mouvement populaire contre un régime considéré comme brutal, corrompu et illégitime.
Les forces révolutionnaires, sous la direction du grand ayatollah Khomeiny, ont forcé le shah d Iran à l'exil.Son gouvernement a été renversé et remplacé par un nouvel ordre islamique. La révolution islamique a mis l'Iran sur une nouvelle voie - celle qui a conduit à un conflit en cours avec l'Occident.
Des décennies après la fondation de la République islamique, les idéaux qui ont inspiré le soulèvement continuent d'affecter la vie quotidienne dans l'Iran moderne.
Comment la révolution a-t-elle réussi à se maintenir grâce à la guerre, à l'isolement international, aux sanctions économiques et à la turbulence régionale?
Et comment la société iranienne a-t-elle changé depuis le bouleversement sismique de 1979?
Rageh Omaar est allé en Iran pour le découvrir.
This documentary was first broadcast on Al Jazeera English in August 2009.
Iran : Cri d'un peuple indigné - YouTube n
Iran : Cri d’un peuple indigné de Un film de Jamshid GolmakaniComment la population iranienne peut-elle supporter l’oppression et la répression que lui impose la République Islamique instaurée par les ayatollahs depuis la Révolution de 1979 ?
Comment un peuple cultivé se retrouve-t-il privé de ses droits fondamentaux et muselé par un régime totalitaire, au point de devoir accepter le résultat d’élections truquées ?
En partant du soulèvement populaire et de la répression qui ont suivi la parodie d’élections présidentielles de 2009, l’enquête menée raconte la résistance pacifique de ceux qui n’adhèrent pas aux règles islamiques.
Ce documentaire permet de connaître le fonctionnement du pouvoir en place.
La force des archives privées, pour la plupart inédites en Occident, révèlent le vrai visage d’un Etat islamique. Celui d’une dictature religieuse qui tient tout un peuple en otage, étouffant toutes les voix des opposants. Une dictature si pesante qu’à ce jour aucun leader politique fédérant le rejet de l’obscurantisme d’une majorité d’Iraniens ni aucun mouvement social et économique ne sont parvenus à ébranler le régime.
En l’absence d’un véritable leader politique s’inspirant des attentes des Iraniens et d’un mouvement social et économique, le régime parvient à étouffer ce soulèvement.
Persepolis (Bande-annonce) - YouTubeSource: Al Jazeera 05 Nov 2017 06:31 GMT Middle East, Iran, Politics
Persepolis - l'indigné révolté
Pourquoi l'Iran fait peur aux Saouds?
J'entends cette liberté de chacun qui, loin de s'arrêter comme devant une borne devant la liberté d'autrui, y trouve au contraire sa confirmation et son extension à l'infini ;
la liberté illimitée de chacun par la liberté de tous, la liberté par la solidarité,
la liberté dans l'égalité ;
la liberté triomphante de la force brutale et du principe d'autorité qui ne fut jamais que l'expression idéale de cette force ;
la liberté, qui après avoir renversé toutes les idoles célestes et terrestres, fondera et organisera un monde nouveau, celui de l'humanité solidaire, sur les ruines de toutes les Églises et de tous les États.
Je suis un partisan convaincu de l'égalité économique et sociale, parce que je sais qu'en dehors de cette égalité, la liberté, la justice, la dignité humaine, la moralité et le bien-être des individus aussi bien que la prospérité ne seront jamais rien qu'autant de mensonges.
Mais, partisan quand même de la liberté, cette condition première de l'humanité, je pense que l'égalité doit s'établir dans le monde par l'organisation spontanée du travail et de la propriété collective des associations productrices librement organisées et fédéralisées dans les communes, et par la fédération tout aussi spontanée des communes, mais non par l'action suprême et tutélaire de l'État.
Bakounine
les sarkofiottes (resistance)
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Jerry CasanovaJe suis une maîtresse fanatique de la liberté, je pense que c'est la seule condition sous laquelle l'intelligence, la dignité et le bonheur humain peuvent se développer et se développer ; non la liberté purement formelle accordée, délimitée et réglementée par l'état, une éternelle tromperie que La réalité ne représente rien d'autre que le privilège de certains fondé sur l'esclavage du reste ; pas la liberté individualiste, égoïste, mesquine et fictive vanté par l'école de JJ Rousseau et d'autres écoles du libéralisme bourgeois, qui comprend que l'état, en limitant les droits De chacun, il représente la condition des droits de tous, une idée qui, par nécessité, conduit à la réduction des droits de chacun à zéro. Non, je veux parler de la seule sorte de liberté qui mérite un tel nom, la liberté qui consiste dans le développement complet de toutes les capacités matérielles, intellectuelles et morales qui restent latentes dans chaque personne ; liberté qui ne connaît plus de restrictions que celles qui viennent Déterminées par les lois de notre propre nature individuelle, et qui ne peuvent être considérées comme des restrictions, puisqu'il ne s'agit pas de lois imposées par un législateur extérieur, qu'elles se trouvent à la fois ou au-dessus de nous, mais qu'elles sont immanentes et inhérentes À Nous-mêmes, constituant la base de notre être matériel, intellectuel et moral : ils ne nous limitent pas, mais sont les conditions réelles et immédiates de notre liberté.
- Mikhaïl Bakounine -Nicolas Hernandez Cointot Les prisons comme le reste sont privatisées et devienennt de plus en plus un moyen d'avoir une main d'oeuvre docile et maléables
S'ils ne payent pas ils sont remis en liberté, disons plutôt expulsés de leur logement ?On pourrait aussi envisager de faire payer la taxe d'habitation aux résidents des cimetières, quand ils sont nombreux dans le même caveau ça peut être rentable pour la commune.
A lire Taxe d'habitation : Valérie Boyer veut faire payer les prisonniers VALEURSACTUELLES.COM
Vox Pop a enquêté au Royaume-Uni sur la privatisation des prisons ! Émission diffusée le 16 septembre 2017 sur ARTE. Vox Pop, le magazine d'investigation européen, c'est tous les samedis à 20 h 05 sur ARTE et tous les jours sur http://www.arte.tv/voxpop Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux : Facebook https://www.facebook.com/voxpopARTE Twitter https://twitter.com/VoxPop_ARTE
Prisons : faut-il les privatiser ? - Vox Pop - ARTEINDUSTRIE CARCÉRALE ? La privatisation rampante des prisons françaises
En France, plus d’un tiers des prisons sont en partie gérées par des grands groupes privés. Le mouvement de privatisation du système carcéral, entamé il y a trois décennies, prend toujours plus d’ampleur. De la gestion des repas à l’accueil des familles, de la construction des maisons d’arrêt au travail pénitentiaire, une poignée d’entreprises se sont saisies de ce nouveau marché lucratif. L’État débourse près de six milliards d’euros par an pour payer leurs services, sans que les bénéfices d’une gestion privée soient démontrés. Cette privatisation rampante pose aussi une question de fond : les entreprises privées ont tout intérêt à ce que les prisons ne désemplissent pas.
Cela doit devenir la plus grande prison de Belgique. Près de 1 200 détenus dans un « village » pénitentiaire à proximité de Bruxelles, avec trois unités pour hommes, deux unités pour femmes, un établissement d’enfermement psychiatrique et un pour les jeunes. Surdimensionné, trop cher, construit sur des terres agricoles : le méga-projet suscite des oppositions. Cette nouvelle prison est aussi controversée parce qu’elle doit être bâtie et gérée en partenariat public-privé (PPP). Le marché a été confié à un consortium composé de deux entreprises de BTP et d’une banque d’investissement australienne (Macquarie). Un champ d’activité comme un autre pour cette banque qui investit dans les transports, les infrastructures d’eau, les hôpitaux… et les cellules.
Ce projet belge de prison privée s’inscrit dans la droite ligne d’un mouvement entamé au début des années 1980. Parti des États-Unis, le modèle des prisons privatisées s’installe de plus en plus en Europe. En France, cette privatisation a débuté en 1987. Avec pour intention initiale de reproduire à l’identique le modèle d’outre-Atlantique : une privatisation intégrale, de la construction jusqu’à la surveillance des détenus. Les parlementaires de l’époque en ont décidé autrement : seules les fonctions autres que celles de direction, de surveillance et de greffe peuvent être déléguées à des entreprises privées [1].
Privatisation du travail des détenus ou de l’accueil des familles
Même avec cette restriction, le nombre de prisons en gestion privée n’a cessé d’augmenter en France. Au 1er janvier 2016, sur 188 prisons, 68 étaient gérés en partie par des entreprises privées. Plus de la moitié des 77 000 détenus purgent leur peine dans ce type d’établissement. La France est certes encore loin du modèle des États-Unis, où plus de 130 000 détenus se trouvent dans des établissements pénitentiaires privés [2]. Mais ici comme outre-Atlantique, la privatisation pénitentiaire avance, et la délégation de la gestion des prisons est une bonne affaire pour les entreprises.
« Aux États-Unis, c’est complètement privatisé, analyse Marie Crétenot, juriste à l’Observatoire international des prisons (OIP). En France, c’est différent. Mais les prestataires privés qui gèrent des prisons n’ont évidemment pas intérêt à ce qu’il y ait une politique majeure de réduction des peines d’emprisonnement, pour ne pas perdre les marchés. » La gestion privée concerne initialement les missions d’entretien, d’intendance, de restauration, de blanchisserie, de cantine (vente de produits et services aux détenus), de nettoyage, de transport. Désormais le travail pénitentiaire et de la formation professionnelle sont eux aussi passés sous la coupe du management privé. Les soins de santé aux détenus, qui étaient aussi délégués au privé, ont finalement été exclus en 2001. Mais l’accueil des familles et l’organisation des visites sont venus s’y ajouter à partir de 2010. Cette activité était auparavant gérée par des bénévoles. Les contrats de délégation de ces « services » courent sur des périodes de six à dix ans.
Depuis 2008 est apparue une deuxième génération de gestion privée des prisons, celle des partenariats public-privé [3] – entre l’État et des entreprises – pour la conception, la construction et la maintenance des prisons. Ces PPP s’étendent au minimum sur 25 ans, à compter de l’ouverture du centre pénitentiaire. Et englobent aussi tous les services classiques des contrats plus courts. L’État s’oblige ainsi à payer, pendant plus de un quart de siècle, un loyer aux entreprises propriétaires de ces prisons, jusqu’en 2041 pour la plus récente des prisons en partenariat public-privé.
5,9 milliards de loyer par an
« Avec le recours aux PPP, l’État s’est considérablement endetté, alertait l’OIP, l’année dernière. Les intérêts et les charges à verser chaque année pour la maintenance des bâtiments alourdissent toujours plus le montant à rembourser. » Le « loyer » versé par l’État aux gestionnaires privés avoisinerait 5,9 milliards d’euros par an, d’après les calculs de l’association [4].« Cela pèsera de manière exponentielle sur tous les budgets à venir », rappelle l’OIP. Et obligera l’administration pénitentiaire à faire des économies ailleurs. « Pour dégager les ressources suffisantes pour le paiement des loyers de leurs contrats de partenariat, les personnes publiques sont souvent contraintes de redéployer des moyens, voire le plus souvent de réduire leurs dépenses de fonctionnement ou d’investissement consacrées à d’autres projets. L’exemple du budget de la direction de l’administration pénitentiaire est à cet égard particulièrement éclairant », s’inquiète en ce sens un rapport du Sénat, en 2014, sur les « bombes à retardement » que sont les PPP.
La maintenance des bâtiments et les services pénitentiaires d’insertion et de probation (Spip) sont directement menacés par ce nouvel équilibre budgétaire. Or ce sont ces derniers qui accompagnent les aménagements de peine, préparent à la sortie de prison, aident au maintien des liens familiaux, suivent les détenus en milieu ouvert, bref, qui s’occupent du volet non répressif de la peine. « Les PPP et la gestion dérégulée grèvent les budgets de l’administration pénitentiaire et de la justice sur plusieurs décennies, et de manière incompréhensible », rappelle Olivier Caquineau, conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation, et secrétaire général du syndicat Snepap-FSU.
« Cela fait des années qu’il y a des pressions budgétaires sur les services pénitentiaires. Le budget annuel de nombre d’entre eux est déjà épuisé au mois de juillet ! » Il y a quelques semaines, un service d’un établissement du Sud-Est s’est fait couper l’eau pour facture impayée. Et les frais de déplacement des travailleurs de ces services pénitentiaires ne sont plus remboursés. « Sur les bâtiments des prisons en gestion publique, ajoute le conseiller d’insertion, on fait des économies sur les rénovations. On est dans une logique d’établissements pénitentiaires à deux vitesses. »
Une poignée d’entreprises se partagent le marché
Le marché de l’emprisonnement se retrouve entre les mains d’une petite poignée d’entreprises. Au centre pénitentiaire du Havre, c’est Themis-FM, une filiale de Bouygues, qui est propriétaire des lieux et chargée de la maintenance. En 2011, l’État lui versait ainsi un million d’euros par mois [5]. À ce loyer s’ajoutent 350 000 euros par mois, versés à Gepsa, l’entreprise qui gère les services à la personne dans cet établissement. Créée avec la première loi de privatisation, Gepsa, filiale d’Engie (ex GDF-Suez), est aujourd’hui présente dans treize établissements.
De son côté, Sodexo a des contrats dans 34 prisons françaises. Grâce aux prisons, le groupe français de services aux collectivités se développe aussi à l’international. Sodexo a décroché des marchés de délégation dans 42 établissements aux Pays-Bas, cinq au Royaume-Uni, cinq au Chili, deux en Espagne, et un en Belgique. L’entreprise dit œuvrer à « prévenir la récidive et favoriser la réinsertion des détenus ». Sodexo prend même la peine de préciser, dans son rapport annuel, qu’elle « exerce ses activités en justice uniquement dans les pays démocratiques ne pratiquant pas la peine de mort et dont la politique carcérale a pour finalité la réinsertion [6]. » En 2013, une affaire a bousculé ces beaux discours : une détenue du Royaume-Uni, où la privatisation englobe les soins de santé, a attaqué l’entreprise française en justice pour l’avoir laissée sans aucuns soins après une fausse couche (Voir notre article).
Détenus et prisons : une « stratégie d’investissement »…
Sur les contrats de construction et maintenance, ce sont les grands groupes de BTP qui raflent les contrats. Bouygues possède et gère six prisons. Spie Batignolles en a trois ; Eiffage, quatre en France et une en Belgique. Eiffage a décidé, il y a quelques années, de vendre 80 % de sa filiale chargée des prisons à un fonds d’investissement belge. « La transaction démontre la pertinence de la stratégie d’investissement d’Eiffage dans les PPP, tout en permettant de désendetter le groupe », écrivait l’entreprise pour expliquer cette vente. Les détenus des prisons françaises d’Eiffage font donc l’objet de « stratégie d’investissement » et de « désendettement » d’un groupe de BTP.
Aux États-Unis, on trouve deux entreprises majeures : la Corrections Corporation of America, avec quelque 70 prisons à gérer ; et Geo, qui gère plus de 100 établissements à travers le pays. Geo compte aussi des prisons en Afrique du Sud et en Australie, ainsi que un centre de rétention de migrants au Royaume-Uni. En Grande-Bretagne, Sodexo se partage le marché avec l’entreprise britannique Serco, qui est aussi active dans les centres d’enfermement de migrants, et même dans le logement de demandeurs d’asile. Le troisième acteur des prisons privées britanniques est G4S, un groupe mondial qui travaille dans le pénitentiaire, dans le pétrole et le gaz, les ports et les aéroports. G4S a des filiales dans le monde entier, notamment à Jersey, Guernesey et l’Île de Man, connues pour leurs largesses fiscales.
Peu d’évaluation faite depuis le début de la privatisation
L’argent dépensé par l’État est-il efficacement employé ? Moins cher, plus efficace, innovant… Voilà les arguments utilisés par les autorités pour justifier le recours au privé dans les prisons françaises. Qu’en est-il dans les faits ? Difficile de la savoir, puisque l’administration pénitentiaire n’a réalisé aucune évaluation comparative des coûts et de la qualité de la gestion depuis le début de la privatisation. Une absence d’évaluation que la Cour des comptes elle-même a regretté : « Les seuls travaux disponibles attestent qu’il reste, à ce stade, difficile de se forger une certitude quant à l’efficience du secteur privé, en l’absence de collecte, de consolidation et d’analyse des coûts relatifs des modes de gestion publique et privée », constatait-elle il y a cinq ans [7]. Les gendarmes du budget écrivaient même : « Il n’apparaît pas que le recours au secteur privé soit moins onéreux d’autant que l’administration pénitentiaire est dans l’incapacité de mesurer précisément et de comparer ses coûts [8]. »
« Le recours aux entreprises privées est valorisé avec l’argument que les prestations qu’elles réalisent exigent des compétences particulières que l’administration pénitentiaire n’a pas forcément, comme démarcher des concessionnaires pour organiser le travail en prison, ou en matière de restauration, souligne Marie Crétenot, de l’OIP. Mais aucun bilan n’a été fait. » L’association regrette que les contrats ne soient pas rendus publics. Un manque de transparence qui empêche de savoir combien l’État paie ces entreprises, prestation par prestation. Seuls deux rapports de la Cour des comptes (2006 et 2011) et un rapport de l’Inspection générale des finances (2009) tirent des conclusions. « À chaque fois, elles n’étaient pas vraiment en faveur du privé, parce que cela coûte cher sans véritable valeur ajoutée », indique Marie Crétenot. Pourtant, ce système de délégations à des entreprises privées est maintenu.
Des pénalités en cas de non-respect du contrat
Les entreprises chargées de la gestion des prisons sont tout de même soumises à un système de pénalités si elles ne respectent pas les termes du contrat. En 2010, l’entreprise Gepsa a payé 400 000 euros de pénalités pour ne pas avoir respecté l’obligation d’offrir du travail aux détenus qui le souhaitent, dans le centre pénitentiaire de Béziers [9]. Mais ces pénalités sont bien souvent remises en cause par les prestataires. « Nul ne conteste le bien-fondé du système de pénalités, partie intégrante du contrat, mais il serait contre-productif qu’une application par trop mécanique nuise à la motivation des équipes… », a argumenté le patron de Themis, filiale de Bouygues, face à la Cour des comptes.
Mais le contrôle est bien plus souvent quantitatif que qualitatif. L’administration cherche ainsi à savoir si les prestataires ont dispensé un nombre d’heures de formation, plus qu’à en évaluer l’utilité. Cependant, sur la formation professionnelle, gestion publique ne rime pas forcément avec respect des normes. « Pour les prisons en gestion privée, les crédits de formation professionnelles, ou ceux pour l’hygiène et la salubrité, sont garantis par l’État, explique Marie Crétenot. Alors qu’en gestion publique, l’administration taille dans ces crédits. Les établissements en gestion publique sont ainsi délabrés. »
Quand l’État doit payer des compensations aux entreprises
Ces orientations vers plus de privatisation du secteur pénitentiaire sont-elles inéluctables ? En Allemagne, où des prisons en gestion privée partielle existent depuis les années 2000, les autorités sont déjà revenues sur ce choix pour l’un des quatre établissements pénitentiaires concernés. En 2011, la nouvelle majorité politique verte et social-démocrate, arrivée au pouvoir dans l’État-région de Bade-Wurtemberg, a décidé de mettre fin au contrat de délégation conclu quelques années plus tôt pour sa prison d’Offenburg. Et de reprendre l’établissement en gestion publique totale.
Le gouvernement français pourrait-il faire de même s’il le souhaitait ? « On peut renégocier la délégation, mais en payant des pénalités »,explique la juriste de l’OIP. En signant des contrats qui l’engagent sur 6, 9, 25 ans, l’État s’oblige à ne rien réformer de sa politique carcérale, sauf à payer des compensations aux entreprises. Ce qui est forcément dissuasif en ces temps d’austérité. « En 2011, le ministère de la Justice de l’époque avait envisagé de baisser les prix de la location des téléviseurs pour les détenus, et de l’uniformiser pour que ce soit le même prix en gestion publique et en gestion privée [10]. Mais comme la plupart des contrats de délégation n’arrivaient à échéance qu’en 2016 ou 2017, appliquer cette baisse dès 2011 aurait impliqué le paiement de compensations aux prestataires. Du coup, ça ne s’est pas fait. »
L’exemple peut sembler anecdotique. Il est en fait emblématique du blocage des politiques pénales induit par la privatisation des prisons. « Il s’est passé quelque chose de similaire sur la question de la rémunération des travailleurs détenus, ajoute Marie Crétenot. Le principe d’un taux horaire fixe a été décidé par la loi pénitentiaire de 2009. Mais cela impliquait un changement au niveau des contrats avec les prestataires. » La loi pénitentiaire n’est donc pas appliquée. À quoi sert de modifier les politiques sur l’univers carcéral ? Pendant ses quatre ans au ministère de la Justice, Christiane Taubira n’a pas remis en cause le mouvement en cours de privatisation pénitentiaire. Au grand bonheur des entreprises bénéficiaires.
Rachel Knaebel
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Photo : CC Pixabay
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[1] Voir le document La gestion déléguée des établissements pénitentiaires de la direction de l’administration pénitentiaire, 2007.
[2] Source : « Prisoners in 2014 », rapport du Bureau of Justice Statistics, septembre 2015.
[3] Les partenariats public-privé les plus anciens portent le nom d’AOT-LOA, pour « autorisation d’occupation temporaire-loyer avec option d’achat ».
[4] Calcul effectué à partir des documents parlementaires annexés au projet de loi de finances pour les treize établissements en PPP.
[6] source : Document de référence 2014-2015 incluant le Rapport financier annuel, p. 45, Sodexo, novembre 2015.
[7] Voir le rapport Les partenariats publics-privés pénitentiaires, p. 36, Cour des comptes, 2011.
[8] Voir le rapport Les partenariats publics-privés pénitentiaires, p. 63, Cour des comptes, 2011.
[9] Source : compte-rendu de visite du Contrôleur général des lieux de privation de liberté au centre pénitentiaire de Béziers.
[10] La différence pouvait aller de 8 euros dans les établissement publics à 18 euros par mois dans les prisons en gestion déléguée. Voir le billet « Faute de l’État en raison de la différence de prix de location entre établissements pénitentiaires » de l’Association pour la communication sur les prisons et l’incarcération en Europe, décembre 2015.
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