-
-
Par Enkolo le 7 Décembre 2017 à 19:25
n
Les Inconnus - Jésus II le retour
Selon les photos transmises par les agences, on constate une montée des tensions à Ramallah en Palestine et à Bethléem en Cisjordanie. Ces violences interviennent au lendemain de l'annonce de Donald Trump, qui a reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël.
Ramallah en Palestine
En reconnaissant Jérusalem capitale d'Israël, le «dealmaker» Donald Trump ose un coup de poker. Soit, contre toute attente, le processus de paix est relancé, soit la situation risque de s'embraser.
En reconnaissant Jérusalem comme capitale d'Israël, s'engageant à y transférer l'ambassade des États-Unis, Donald Trump vient de tirer un trait sur des décennies de diplomatie internationale et de politique américaine. Son coup de poker fait peser sur la région la menace d'un nouvel embrasement et risque d'enterrer définitivement un processus de paix moribond. Il fait peser une autre incertitude: les États-Unis peuvent-ils encore jouer le rôle «d'honnête parrain» des négociations entre Israéliens et Palestiniens?
En se rangeant du côté de l'un des acteurs du conflit, les États-Unis perdent le statut de facilitateur neutre auquel ils s'astreignent depuis des années, bon gré, mal gré
Jérusalem, enjeu politique - YouTube
olère et manifestations en réaction à la décision de Trump sur le statut de Jérusalem
La décision du président américain, Donald Trump, de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël ne devrait pas changer grand-chose à court terme sur le terrain diplomatique, mais elle réunit les ingrédients d’un nouvel accès de violence, sur place ou ailleurs.
De Riyad à Téhéran, en passant par Ankara et Bruxelles, les réactions, à l’exception d’Israël, vont de la réprobation à la condamnation, en fonction de l’état des relations avec Washington et des intérêts de chacun.
Gaza : la réconciliation palestinienne vacille
Alors que les factions ont reporté de dix jours la passation de pouvoir prévu entre le Hamas et l'Autorité palestinienne, le Jihad islamique a tiré au mortier sur une position israélienne à la frontière. Tsahal a aussitôt riposté
Impact if Trump recognizes Jerusalem as Israel's capital
La probable reconnaissance par Donald Trump de la souveraineté israélienne sur la Ville sainte de Jérusalem pourrait «raviver l'intifada». Ils ont réagi avec leurs vieux réflexes, comme s'il ne s'agissait au fond que d'une péripétie de plus dans le conflit qui les oppose depuis près d'un siècle.
Will the US move its embassy in Israel to Jerusalem? - Inside Story
Plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés aujourd'hui en Indonésie et en Malaisie pour protester contre la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël. Au Pakistan, le principal parti islamiste, le Jamaat-e-Islami, a annoncé des manifestations dans les grandes villes du pays après la grande prière du aujourd'hui.
Jérusalem la ville trois fois Sainte - Documentaire - YouTube
1 Statut de Jérusalem, en direct : « Le fatalisme a saisi depuis longtemps les Palestiniens »
07 décembre 2017 " le statut de jérusalem", 'Red line' - citoyenactif, Jérusalem Publié le 07/12/2017 à 19:54 par saltabank, Jérusalem la ville trois fois Sainte - Indigné révolté, JÉRUSALEM CAPITALE D’ISRAËL ? 8 DÉCEMBRE 2017
votre commentaire -
Par Enkolo le 4 Décembre 2017 à 18:55
n
L’annonce de la mort de M. Saleh intervient alors que son alliance longue de trois années avec les rebelles chiites houthistes a volé en éclat au cours de la semaine écoulée.
Former Yemen leader Saleh 'killed' - BBC News
16:13 Yémen : l’ex-président Saleh est mort, tué par des rebelles houthistesAprès trois ans d’alliance avec les rebelles houtistes, Ali Abdallah Saleh avait rompu l’alliance avec ces milices soutenues par l’Iran, le 2 décembre, et tendu la main à la coalition dirigée par l’Arabie saoudite.
L’annonce de la mort de M. Saleh intervient alors que son alliance longue de trois années avec les rebelles chiites houthistes a volé en éclat au cours de la semaine écoulée.Après trente-trois années de règne sur le Yémen, Ali Abdallah Saleh avait été contraint de céder le pouvoir à M. Hadi en février 2012, dans le sillage du Printemps arabe. Il avait scellé deux ans plus tard une alliance avec les houthistes, issus de la minorité zaïdite – une branche du chiisme –, après les avoir longtemps combattus, afin de reprendre le contrôle de la capitale Sanaa.
The night was tough in #Sanaa, #Yemen. Massive urban clashes with heavy artillery & airstrikes. #Yemenis stuck in their homes, too scared to go out. Reduced access to water, health care, food & fuel. Increased vulnerability of #Yemenis put in harm's way. 7:00 AM - Dec 4, 2017 - 33 Replies - 137137 Retweets - 7171 likes
Risques accrus pour la populationFace à la fin de l’alliance rebelle, l’actuel président Hadi a de son côté « donné pour ordre à son vice-président Ali Mohsen al-Ahmar, qui se trouve à Marib (100 km à l’est de Sanaa), d’activer la marche (…) vers la capitale », a annoncé lundi un membre de son entourage. Afin d’affaiblir les houthistes, le gouvernement Hadi a dans le même temps annoncé sa volonté d’offrir une amnistie à tous ceux qui cessent de collaborer avec ces rebelles.
La guerre au Yémen a fait plus de 8 750 morts depuis l’intervention de l’Arabie saoudite et de ses alliés en mars 2015, et le pays est aujourd’hui confronté à la « pire crise humanitaire du monde » selon l’ONU.
Les derniers développements font craindre des risques encore accrus pour la population, notamment à Sanaa : non seulement des affrontements entre rebelles se poursuivent, mais la capitale a été secouée dans la nuit de dimanche à lundi par des raids aériens. Lundi, la coalition sous commandement saoudien a demandé aux civils de se tenir à « plus de 500 mètres » des zones contrôlées par les houthistes, a rapporté la chaîne de télévision saoudienne Al-Ekhbariya. Ceci laisse supposer une intensification des raids sur Sanaa.
Can the dream of Yemen's revolution be salvaged? - Inside Story
Yemen: Pulling the Strings - Al Jazeera World
Subscribe to VICE News here: http://bit.ly/Subscribe-to-VICE-News Since 2011, when Yemeni youths took to the streets and sparked the eventual demise of former President Ali Abdullah Saleh's regime, the country has fallen to pieces. The new embattled government is now struggling to cope with a bevy of issues, including sectarian rivalries, CIA drone strikes, and one of al Qaeda's most sophisticated branches. It now risks presiding over the failure of one of the world's most fragile countries. In "Yemen: A Failed State," VICE News visits some of Yemen's most dangerous and hard-to-reach places and groups, including the national Army in the country's lawless East, the Houthis in Sana'a, and the Popular Committee in the South, to find out how both the government and the West's policy toward Yemen have gone wrong. Check out "Al-Qaeda Hospital Massacre in Yemen" - http://bit.ly/1lWbsLA Check out the VICE News beta for more: http://vicenews.com
Rise Of The Houthis - Full Documentary
LIRE AUSSI :
» Yémen : l'ex-président Saleh a été tué
» Au Yémen, l'ancien président Saleh reste l'incontournable faiseur de rois
» Yémen : Sanaa s'enflamme depuis que les forces de Saleh attaquent leurs ex-alliés
votre commentaire -
Par Enkolo le 3 Décembre 2017 à 17:02
3 décembre 1851 : IL Y A DES JOURS ...OU LE PEUPLE S’EN FOUT !
Quelques heures après le coup d'État de Louis-Napoléon, la bourgeoisie républicaine tenta de soulever le peuple de Paris. Ce dernier gardait cependant en mémoire comment cette dernière avait écrasé, dans le sang, le mouvement révolutionnaire en juin 1848.
« Croyez-vous que nous allons nous faire tuer pour vous conserver vos vingt-cinq francs par jour ? », lancèrent les ouvriers du faubourg au représentant Baudin qui s’était alors hissé sur une barricade. La balle qui aussitôt abattit le parlementaire (ainsi à découvert), lui donna une prospérité … que Vichy fit finalement fondre en 1942.
Les tribuns d'aujourd'hui, devraient en prendre de la graine.
votre commentaire -
Par Enkolo le 2 Décembre 2017 à 17:16
n
The Rosa Parks Story - FULL VIDEO!!! - YouTube
1er décembre 1955 : ARRESTATION DE ROSA PARKS
Rosa Parks, femme noire de 42 ans, est arrêtée pour avoir refusé de céder sa place à un Blanc dans un bus de la ville de Montgomery, en Alabama (États-Unis).
Comme d'autres avant elle, elle refuse de se conformer à la politique du «separate but equal» (« séparés mais égaux ») en vigueur depuis l'arrêt Plessy de 1896.
Ed Nixon, responsable du bureau local de la NAACP (National association for the advancement of colored people), où Rosa Parks travaille comme secrétaire, prend contact avec l'avocat Clifford Durr. Ils font libérer la jeune femme. Celle-ci accepte de devenir le symbole du collectif «Montgomery Improvement association» animé par le pasteur Martin Luther King (26 ans).
Le pasteur lance le boycott de la compagnie d'autobus. Les dirigeants du mouvement noir font par ailleurs appel auprès de la cour fédérale de l'Alabama afin de clamer le caractère inconstitutionnel de la ségrégation raciale dans les transports publics. Ils remportent une première victoire avec la condamnation de la ségrégation raciale dans les bus par la Cour suprême de l'Alabama, le 5 juin 1956.
La décision est confirmée le 5 décembre par la Cour Suprême des États-Unis. Le 20 décembre 1956, enfin assurés de leur victoire, les Noirs de Montgomery mettent fin à 381 jours de boycott.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique