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    Extrait "La guerre de l'ombre au Sahara" - ARTE - YouTube

     

     A lire Tag "La guerre de l'ombre au Sahara" - Enkolo : "La guerre de l'ombre au Sahara"


    Les facteurs de déstabilisation de la Somalie étaient inscrits dans un double héritage
     
    Le dessous des cartes - L'Afrique dans le maintien de la paix - 8 octobre 2016

     

    Somalie. Samedi, Mogadiscio a été le théâtre de scènes sanglantes : deux camions piégés ont décimé à deux heures d'intervalle, deux quartiers populaires de la capitale somalienne faisant au moins 231 morts et 275 blessés, selon le dernier bilan diffusé par l'agence AP. L'attaque la plus meurtrière de l'histoire de la Somalie, selon la police. Notre articlen

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    Il témoigne aussi de la puissance mortifère d'une mouvance djihadiste qui conserve intact son pouvoir de nuisance malgré les reculs sur le terrain et l'aide récente de l'armée américaine

    s militaires, somaliennes ou étrangères.

     

    Somalia was hit by its deadliest single attack last week when a truck bomb exploded in the capital city of Mogadishu, killing more than 350 people and wounding many more. 

    The Horn of Africa country has been facing deadly attacks for more than a decade.

    Most of these assaults have been carried out by al-Shabab, an armed group fighting Somalia's Western-backed government and wanting to impose a strict interpretation of Islam in the country. 

    Somalia attacks

     

     

    EFFET de proximité ou couleur de la peau ?  la publication de Ramdane Issaad.

     

    Qui est Maryam ? Il y a fort à parier que si vous le saviez, vous ne commenceriez pas à lire cette chronique…

     

     

     

    C’est le Guardian, qui a offert une sépulture médiatique à Maryam Abdullahi Gedi, en racontant son histoire, assortie d’une photo. En l’individualisant. Une victime sur 300. Peut-être parce qu’elle avait un compte Facebook, et qu’il est plus facile de trouver une photo. Peut-être parce que son père était en Grande-Bretagne. Le Guardian seul

    A lire [Chronique] Elle a 24 ans. Demain elle soutient sa thèse… Partager LIBERATION.FR

    Mais l’histoire n’est pas terminée. Car voici que le Guardian, encore lui, lève un lièvre. Un des kamikazes venait d’un village somalien, à environ 50 kilomètres de Mogadiscio. Ce village, quelques mois plus tôt, en août dernier, avait été attaqué par les forces somaliennes et les forces spéciales américaines. Dix villageois y avaient trouvé la mort, dont trois enfants, et une femme. Tous avaient été abattus dans leur sommeil durant le raid. Il est très vraisemblable que l’attentat de Mogadiscio est une opération de représailles après ce raid. Une fois de plus, dans la presse mondiale, le Guardian est le seul à assurer ce suivi. Il est le seul à rappeler aussi, par exemple, que depuis l’arrivée de Donald Trump, les forces spéciales américaines bénéficient, en Somalie, d’une plus grande latitude d’action. D’où, sans doute, le raid meurtrier. De ce raid, d’ailleurs, la presse mondiale n’a gardé aucune trace, sinon une dépêche de Reuters que seule, à l’époque, Al-Jezira en anglais avait reprise.

    LE PARADOXE DE NOTRE ÉPOQUE 26 OCTOBRE 2017

    Comment se débarrasser des shebab ? La création de cette mouvance, affiliée à Al-Qaeda depuis 2012 mais désormais divisée entre factions dont certaines souhaiteraient le rattachement à l’Etat islamique, remonte au milieu des années 2000, avec la fusion de plusieurs groupes islamistes somaliens qui vont s’emparer un temps d’une capitale déjà ravagée par dix ans de guerre civile. Chassés du pouvoir en 2011 avec l’appui de l’Amisom, la force mise en place par l’Union africaine, les shebab ont certes perdu du terrain. Leur chef, Ahmed Abdi Godane, sera d’ailleurs tué par un drone américain en 2014. Et aussitôt remplacé par Ahmed Umar Abou Oubaida.

    Mi-août, les forces spéciales somaliennes se félicitaient pourtant d’avoir exfiltré le numéro deux et ex-porte parole du mouvement, Mukhtar Robow alias Abou Mansour, l’un des rares leaders somaliens à avoir rencontré Oussama Ben Laden en Afghanistan. Robow venait de faire défection. Pourtant ni ce ralliement, ni le renforcement récent de l’aide militaire américaine, avec au moins deux opérations conjointes au sol de commandos américains, ne semblent venir à bout de la puissance mortifère des shebab. 

     

    t une fois de plus, l’impuissance semble s’imposer pour le gouvernement du président somalien Mohamed Abdullahi Mohamed, alias Farmajo, élu au début de cette année par une sorte de conclave de «grands électeurs», tant un scrutin démocratique ouvert à tous semblait impossible à organiser pour des raisons de sécurité. Confrontée à une violence récurrente depuis 1991, date de la chute du dictateur Siad Barré, la Somalie reste l’un des points chauds les plus inquiétants sur une carte africaine gangrénée par les mouvements djihadistes, de la zone sahélienne jusqu’à la région du lac Tchad, proche du Nigéria. Les liens entre ces différents mouvements n’ont jamais été démontrés mais leur enracinement, malgré les actions multilatérales menées contre eux, reste une constante inquiétante. 

     

     

    Where does Somalia go from here? - The Stream

    Les guerres cachées contre Daech

     Somalie : Les secrets d’une invasion - source Lettre d'afrique

    Somalie rime bien trop souvent avec instabilité politique, terrorisme, islamistes, guerre… Mais il y a une autre réalité. Une réalité sordide. Celle où se confondent famine et pétrodollars. La Somalie a un sous-sol riche en uranium, en fer, en gaz naturel… Et en pétrole ! D’énormes potentiels convoités depuis plus de vingt ans par des majors pétroliers. Nombreux sont ceux qui veulent une part du butin.

    n A lire aussi NigériaLa SomalieAfghanistan, le prix de la vengeance

    REPORTAGE Kaboul sous l’emprise de la peur et du désespoir » Lire aussi - L'Afghanistan, une réalité oubliée Afghanistan, le prix de la vengeance 2012 - YouTube :  Afghanistan, le prix de la vengeance ( et fin)


    La guerre du désert Arte 2015 12 01 23 00
     

     

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    somalie reportage arte

     


    Toxic Somalia
    Société par Paul Moreira

     
    Mardi 28 août 23:30 au mercredi 29 août 00:30 sur La Chaîne parlementaire
     
    Déverser une tonne de déchets toxiques le long des côtes somaliennes ne coûte que 2,50 dollars. C'est la décharge la moins chère du monde, et une source de bénéfices confortables pour les Occidentaux. Mais des centaines de Somaliens tombent malades, empoisonnés par les rebuts des autres. Qui déverse ces déchets ? Qui en tire profit ? Deux journalistes italiens ont déjà perdu la vie pour avoir posé ces questions. Ce documentaire ouvre à nouveau l'enquête, qui révèle le rôle joué par la Mafia italienne et lève le voile sur les pratiques des pirates somaliens. Le mécanisme des trafics entourant la gestion des déchets nucléaires est également étudié.
     
    Toxic Somalia, l'autre piraterie - Site de Rikiai !.flv :  

     

    EDITORIAL Au Sahel, la crainte d’une guerre sans fin Editorial. Les attaques qui ont eu lieu mi-août au Burkina Faso et au Mali viennent rappeler que les groupes islamistes armés font désormais peser une menace constante dans la région.

    A Lire  29/07/2016 L'histoire sans fin contre le terrorisme : " Donald Trump, le « candidat des djihadistes » ?Selon le Monde passé les manifestations d’« indignation » de façade, des figures djihadistes n’ont pas caché une certaine satisfaction sitôt le résultat de la présidentielle américaine connu. Terrorisme, raison d'EtatAfghanistan, le prix de la vengeance

    "La guerre de l'ombre au Sahara" Par Enkolo dans Accueil le  2015 12 01 23 00

     Toxic Somalia Créé le lundi 27 août 2012

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