• Voter, c'est abdiquer

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    Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira." Alexis de Toqueville 
     
    La grande différence avec les romans comme 1984, c'est que le système ne fonctionne plus sur le système de l'interdiction, mais sur le consentement des peuples a leurs dirigeants, chefs... 03/05/2015 Globalia. JC Ruffin
     
    La campagne est finie, je peux vous le dire : vous êtes un pays de maboules ! Bilan des derniers mois d'avant l'élection avec Charline.
     

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    Bonjour à toutes et à tous... Je vous aime, je vous adore, vous êtes dans toutes mes pensées, je ne veux que votre bonheur, je souhaite le meilleur pour vous.. Je vais tout faire pour que le bonheur entre chez vous, avec un peu de pognon, ça peut aider... les terroristes, avec moi il n'y en aura plus, plus de guerres non plus, des enfants ? vous allez en faire à la pelle parce que je vais ""éradiquer" l'impuissance !! en fait je suis votre héros alors votez pour moi....
    (juste une simple photo du mec qui vous dit ça !!)

    Ne pas voter Macron c'est un + pour le score Le Pen et les comportements xénophobes.

     
    Ce n'est pas l'abstention qui est responsable de la montée des populiste de droite, de la xénophobie et de la bigoterie en Hongrie ou ailleurs mais ceux qui vote pour ces partis. Un fort taux d’abstention ne signifie pas un fort taux de l'extrême droite. Ce qui vote le font beaucoup par protestation et ce sont les partis populistes qui en profitent. S'abstenir dans des temps trouble montre aux contraire un acte réfléchie et construit.
     

    « Les dirigeants du FN disent d’ailleurs eux-mêmes que l’abstention est leur principal adversaire » Le vote frontiste se nourrit en premier de la hausse dramatique du chômage 

     
    L’abstention ferait le lit du Front national. Cette antienne médiatique et de certains politiciens ne tient pas l’analyse, selon l’auteur de cette tribune. Qui assure que les partis dits « de gouvernement » sont les premiers responsables des « déterminants » du vote frontiste. Non, l’abstention ne favorise pas le Front national REPORTERRE.NET 
     
    Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira." Alexis de Toqueville 

    La campagne est finie, je peux vous le dire : vous êtes un pays de maboules ! Bilan des derniers mois d'avant l'élection avec Charline.
     
    Avant 1982 le Front National faisait 0,2 % des voix, Pierre Bérégovoy alors secrétaire général de l'Elysée, en 1982 : "On a tout intérêt à pousser le Front National... Plus il sera fort plus on sera imbattable. C'est la chance historique des socialistes". Ces propos sont dans le livre d'un ancien directeur du Nouvel Observatoire (Le Président, par Franz-Olivier Giesbert, 1990). Encore des doutes?
     
    Non aucun, cela confirme C'est l'échec de l'ensemble des politiciens et du système politique qui n'est qu'une vaste mascarade. Ils portent tous une responsabilité depuis 30 ans.

    Rappel : 
    1970 => Création du FN => Moins de 1%
    1973 => Législatives = > Moins de 2%
    En 1980, il y avait approximativement moins de 300 adhérents au FN
    1984 = > Législatives = > Plus de 10 %
    1995 = > Présidentielles = > 15 %
    2002 = > Présidentielles = > 20 %
    2012 = > Présidentielles = > + de 17, 5 %

    Et enfin = > Régionales = > 30 % - En octobre 2014 lors de leur congres, les Frontistes s'attribuaient plus de 50 000 adhérents (Source FN). Même si les chiffres sont gonflés, ça en fait quand même beaucoup....... La il approchera surement entre 30 à 40% malgré le rattage complet de MLP

    L'équipe : Les étrangers ont beaucoup de mérite de vivre chez vous ... - YouTube https://www.youtube.com/watch?v=iXgZPJhHQYY Comment Sarkozy a rendu possible la dérive raciste à droite
    27 Mars 2010 Par Carine Fouteau (Mediapart) Des préjugés fabriqués par les élites tout au long du XXe siècle

    De Brice Hortefeux à Gérard Longuet, l'une des spécificités de ces déclarations est qu'elles ont été prononcées par des «experts» de l'espace public, supposés en maîtriser les règles et les pratiques. Elles ne sont d'ailleurs ni l'apanage de la droite, comme l'ont montré les propos de Georges Frêche, le président de gauche de la région Languedoc-Roussillon, sur la «tronche pas catholique» de Laurent Fabius, ni des hommes politiques, comme certains éditorialistes, tel Eric Zemmour, en ont récemment fait la démonstration.

    Au cours des derniers mois, les élites ont ainsi largement participé à légitimer des préjugés qu'elles estimaient réservés aux classes populaires. Préjugés, comme le rappelle l'historien Gérard Noiriel, qu'elles ont contribué à fabriquer tout au long du XXe siècle. Dans son ouvrage, Racisme: la responsabilité des élites (Textuel, 2007), il raconte comment les pôles politique, médiatique et savant ont tour à tour construit des stéréotypes sur l'immigration, puisque, comme il l'écrit, «c'est là que s'élaborent les principaux contenus de pensée qui nourriront des convictions ou des comportements “racistes”». S'il se dit «convaincu que le discours actuel sur l'“identité nationale” n'est plus le même que celui que les politiciens tenaient dans les années 1930 ou 1950», il estime néanmoins que «Nicolas Sarkozy a porté au paroxysme la rhétorique inventée par Jean-Marie Le Pen», consistant «à légitimer des raisonnements qui étaient autrefois considérés comme indignes de la démocratie au nom des évidences du sens commun». 

    «L'association des termes “immigration” et “identité nationale”, rappelle-t-il, a été mise en circulation au début des années 1980 par le Front national. Nicolas Sarkozy l'a réactivée pendant la campagne de la présidentielle pour récupérer les voix de ce parti.» Or, poursuit-il, depuis la fin du XIXe siècle «les propos sur l'“identité nationale” ont toujours accompagné les discours négatifs sur les immigrés». En cela, la création du ministère de l'immigration et de l'identité nationale a constitué, selon lui, une «rupture par rapport au consensus républicain antérieur».
     
     

    En apparence, par le vote, c’est le peuple qui gouverne. Mais il reste dominé par la classe bourgeoise : c’est l’illusion centrale de la démocratie qu’entend dénoncer l’anarchiste russe Mikhaïl Bakounine.

    ÉlectionSuffrage,UniverselBakounine

    L'art du mensonge, c'est bien la philosophie du mis en examen Fillon et de ses soutiens 

     

    TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM
     

    e Front National porte en lui les germes du fascisme, dont l’État islamique est un exemple éloquent.

     FN et État islamique, les deux faces d'une même médaille L'attentat perpétré sur les Champs-Élysées jeudi soir est, semble-t-il, l'ultime…ILAN.FR
     

     avais oublie la photos lol

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    la photo de Nantes dans la rue.
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    ET MAINTENANT CAP VERS LE 8 MAI… PARTICIPEZ À LA PREMIÈRE MANIFESTATION SOCIALE DU QUINQUENNAT

    Une manifestation à construire dès maintenant pour monter au prochain Président qu'il devra faire avec la rue.

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    photo de FrontSocial.

    • Voter, c’est abdiquer. Ranimons la démocratie !, par Antoine Peillon, éditions Don Quichotte, 192 p., 15 €.

    En vous rendant aux urnes, vous avez sans doute été gagné par le sentiment euphorisant d’appartenir à une communauté nationale qui accordait du prix à votre vote. En sortant de l’isoloir, à moins d’avoir voté blanc, vous avez même peut-être eu l’impression encore plus gratifiante d’appartenir à une communauté d’idées et de valeurs. En tout état de cause, vous avez nourri l’espoir que votre voix serait entendue.

    Pourtant, nul besoin de souscrire aux thèses anarchistes du penseur russe Mikhaïl Bakounine pour être déstabilisé par le lourd soupçon qu’il fait peser sur le suffrage universel. Selon lui, « le suffrage universel, considéré à lui tout seul et agissant dans une société fondée sur l’inégalité économique et sociale, ne sera jamais pour le peuple qu’un leurre ; de la part des démocrates bourgeois, il ne sera jamais rien qu’un odieux mensonge, l’instrument le plus sûr pour consolider, avec une apparence de libéralisme et de justice, au détriment des intérêts et de la liberté populaires, l’éternelle domination des classes exploitantes et possédantes ».

    Mikhaïl Bakounine en 6 dates

    • 1814 Naissance à Priamoukhino, en Russie.
    • 1842 Exil à Paris. Rencontre avec Marx, Engels et Proudhon.
    • 1861 Évasion d’un camp de déportation en Sibérie.
    • 1873 Publication de L’État et l’Anarchie.
    • 1876 Mort à Berne, en Suisse.
    • 1882 Publication posthume de Dieu et l’État.

     

    Bakounine dénonce l’illusion selon laquelle chacun croit librement élire des représentants qui, précisément, le représenteront ; c’est la mystification par laquelle les gouvernants se prétendent dépositaires d’une hypothétique volonté populaire qu’ils ne font en réalité que confisquer à leur profit. Comment d’ailleurs espérer qu’il en soit autrement ? Les élus et les électeurs appartiennent à des mondes imperméables l’un à l’autre :« La classe des gouvernants (la bourgeoisie) est toute différente et complètement séparée de la masse des gouvernés. » Les aspirations du peuple sont par nature impénétrables à un bourgeois conditionné par son milieu.

    Une fois passées les périodes électorales, qui fournissent l’occasion aux candidats de faire « la cour à Sa Majesté le peuple souverain » en déployant toutes les ressources de la séduction, chacun vaque ensuite à ses occupations : « Le peuple à son travail, et la bourgeoisie à ses affaires lucratives et à ses intrigues politiques. » Une fois le pouvoir conquis, l’heure n’est plus aux promesses mais au réalisme. L’exercice du pouvoir s’accompagne inévitablement de changements de perspective parfois radicaux. Ainsi, les candidats les plus révolutionnaires « deviennent des conservateurs excessivement modérés dès qu’ils sont montés au pouvoir ». Et le peuple ne manque pas d’accuser de traîtrise des hommes dont l’accès au pouvoir a simplement altéré la perception du réel.

    La seule façon de rendre la démocratie vraiment représentative consisterait à donner les moyens au peuple d’exercer un contrôle effectif sur les élus. Ces derniers devraient être contraints d’agir ouvertement et publiquement, de se soumettre à la critique populaire et être révocables à tout moment. Mais Bakounine sou-ligne lui-même les difficultés liées à l’exercice d’un tel contrôle populaire : celui-ci exigerait que le peuple ait le temps et l’instruction nécessaires pour étudier les lois et les programmes qu’on lui propose : « Il devrait se transformer en immense parlement en plein champ. » Or, comme il n’en a ni le loisir ni la compétence, il s’en remet au savoir discrétionnaire de l’élu. Ainsi, le système représentatif « a besoin de la sottise du peuple et il fonde tous ses triomphes sur elle ». Voilà pourquoi la scène électorale est un lieu mensonger et condamné à le demeurer. Voilà aussi pourquoi, en sortant du bureau de vote, vous étiez peut-être, déjà, secrètement désenchanté

    LA DERNIÈRE CHANSON DU DÉPART DU COLLECTIF ANEPOS.
    Je ne pense pas pouvoir ajouter quoique ce soit, les images sont suffisamment éloquentes. Ce que je peux dire, c'est qu'elles montrent à quel point une aventure commune et solidaire peut lier les gens entre eux, et le chant est un beau moyen pour le symboliser, l'immortaliser. Alors cadeau, je partage. Dylan Hedin avec Zaï Zaï Zaï Zaï et 15 autres personnes.é la publication de Dylan Hedin.

     
    CORRIGAN FEST - Je suis fils - YouTube

     


     
    JE SUIS FILS (Corrigan Fest)
    Je suis fils de marin qui traversa la mer
    Je suis fils de soldat qui déteste la guerre
    Je suis fils de forçat, criminel évadé
    Et fils de fille du Roy, trop pauvre à marier
    Fils de coureur des bois et de contrebandier
    Enfant des sept nations et fils d'aventurier
    Métis et sang-mêlé, bien qu'on me l'ait caché
    C'était sujet de honte, j'en ferai ma fierté
     
    Je suis fils d'Irlandais, poussé par la famine
    Je suis fils d'Écossais venu crever en usine
    Dès l'âge de huit ans, seize heures sur les machines
    Mais dieu sait que jamais je n'ai courbé l'échine
    Non, je suis resté droit, là devant les patrons
    Même le jour où ils ont passé la conscription
    Je suis fils de paysan, et fils d'ouvrier
    Je ne prends pas les armes contre d'autres affamés
     
    Ce n'était pas ma guerre, alors j'ai déserté
    J'ai fui dans les forêts et je m'y suis caché
    Refusant de servir de chair à canon
    Refusant de mourir au loin pour la nation
    Une nation qui ne fut jamais vraiment la mienne
    Une alliance forcée de misère et de peine
    Celle du génocide des premières nations
    Celle de l'esclavage et des déportations
     
    Je n'aime pas le lys, je n'aime pas la croix
    Une est pour les curés, et l'autre est pour les rois
    Si j'aime mon pays, la terre qui m'a vu naître
    Je ne veux pas de dieu, je ne veux pas de maître
    Je ne veux pas de dieu, je ne veux pas de maître
     
    Je lutte donc je suis - film complet - YouTube

     


    Collectif Solidaire ANEPOS (Tarn) | Caravane Solidaire avec la Grèce
    Les collectifs | Caravane Solidaire avec la Grèce
    Je lutte donc je suis - film complet - YouTube
    LET'S NOT LIVE LIKE SLAVES (and other languages) A film by Yannis Youlountas
    Yannis Youlountas : Quelle démocratie pour demain



    Extrait de Béa Ausardia

    POUR LA DÉFENSE DES ÉMEUTIERS Créé le jeudi 19 mai 2016
    Salaire net et monde de brutes - ARTE Créé le lundi 28 mars 2016
    « lean management » Créé le dimanche 27 mars 2016 1
    Être GOUVERNÉ, c'est ....

    Par Enkolo dans Accueil le 6 Avril 2017 


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