• « Un anéantissement biologique ».

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    Arctique, la conquête glacial

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    De la servitude moderne
     
     « Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s'effondrer.
    Mon pessimisme sur tout ce qu'elle fait pour nous entraîner dans sa chute. »

    La question de la sortie du capitalisme n’a jamais été plus actuelle. Elle se pose en des termes et avec une urgence d’une radicale nouveauté. Par son développement même, le capitalisme a atteint une limite tant interne qu’externe qu’il est incapable de dépasser et qui en fait un système qui survit par des subterfuges à la crise de ses catégories fondamentales : le travail, la valeur, le capital, crise et stess hydrolique . 

     
    Carte des risques liés au réchauffement climatique.
    Carte des risques liés au réchauffement climatique. | Infographie Le Monde
     
    Une compilation de près de 20 000 études et projections scientifiques par plus de 800 chercheurs. Voilà la somme que représente le cinquième rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui vient d'être intégralement achevé et s'avère bien plus alarmant que la précédente édition, en 2007.

    Après un premier volet qui concernait l'état des connaissances scientifiques sur le réchauffement, publié fin septembre 2013, et un deuxième sur l'impact et l'adaptation du changement climatique en cours sur les sociétés et écosystèmes, fin mars, la troisième partie a été révélée, dimanche 13 avril, et concerne cette fois les mesures d'atténuation de ce dérèglement climatique. Voici une synthèse en dix points pour s'y retrouver dans ces travaux colossaux, les plus complets sur le sujet.

        • Jusqu'à 4,8 °C d'augmentation de la température d'ici à 2100
      • Un réchauffement d'origine humaine
      • Une hausse du niveau des mers jusqu'à un mètre

     

      • Une insécurité alimentaire exacerbée
      • Des problèmes sanitaires en hausse
        • Des risques accrus d'extinction des espèces
        • Plus de conflits et de rivalités
        • Un coût économique de l'inaction élevé
        • Un modèle énergétique à revoir

     

    Le changement climatique

    Ensuite une espèce animale sur six risque de disparaître sous les effets dur échauffement climatique si les émissions de dioxyde de carbone (CO2) se poursuivent au rythme actuel, met en garde une recherche américaine qui juge urgent d'agir 

     1 La France pourrait connaître des pics de chaleur à 50°C à la fin du siècle « Scénario du pire »

    Les conclusions sont proprement torrides..Les climatologues ont déjà prévenu que de telles vagues de chaleur risquaient de devenir la norme à l’avenir, sous l’effet du réchauffement global dû aux émissions de gaz à effet de serre. Le rapport sur « le climat de la France au XXIe siècle » prévoit ainsi, dans ses « scénarios régionalisés », une augmentation des températures moyennes comprises entre 2,6 °C et 5,3 °C en été, entre 2071 et 2100. Cette hausse sera particulièrement prononcée dans le sud-est du pays, qui pourrait alors connaître des vagues de chaleur de plus vingt jours, avec des épisodes de sécheresse aggravés dans les régions méridionales et, potentiellement, sur l’ensemble du territoire métropolitain.Lire aussi :   La température des villes les plus peuplées pourrait croître de 8 °C d’ici à 2100


    « Ces résultats indiquent que les valeurs maximales en France pourraient facilement dépasser 50 °C à la fin du XXIe siècle », écrivent les chercheurs

    « Tout dépendra des décisions politiques et économiques qui seront prises dans les années qui viennent, souligne le chercheur. Si l’Accord de Paris [qui prévoit de limiter à 2 °C, et si possible 1,5 °C, le réchauffement par rapport à la période préindustrielle] est mis en œuvre, nous nous écarterons du scénario du pire. » Mais, prévient-il, le temps est compté : « C’est du niveau des émissions mondiales de gaz à effet de serre dans les deux décennies à venir que va dépendre le climat de la fin du siècle ».

    Soleil Vert - Bande Annonce
    New York en 2022. Un brouillard a envahi la surface du globe, tuant la végétation et la plupart des espèces animales. D'un côté, les nantis quipeuvent avoir accès à la nourriture rare et très chère. De l'autre, lesaffamés nourris d'un produit synthétique, le soylent, rationné par le gouvernement... Lors d'une émeute, le président de soylent trouve la mort et Thorn (Charlton Heston), un flic opiniâtre, est chargé de l'enquête... 

     Soleil Vert - Scène culte du marchéSoleil vert" présenté par Jean-Baptiste Thoret , Soleil vert, c'est maintenant

    il y a plus de deux siècles déjà ! cela m'a d'ailleurs inspiré pour mon pseudo tellement le film m'avait marqué a l'époque ! je constate que cela devient hélas d'actualité , et surtout comment ne pas faire d'analogies avec notre époque ! tout comme dans le film , la surpopulation démographique la pollution lié au réchauffement climatique . la paupérisation des habitants des mégalopoles toujours plus grande , accueillant toujours plus d'habitants ( immigration ) augmentation exorbitante des prix des aliments de base , raréfaction des produits de consommation ou bien alors qui seront hors de prix , et seulement accessible a une poignée de nanties privilégié et fortuné , ou ceux qui sont au pouvoir ne manquent de rien et vive dans l'opulence ça fait vraiment froid dans le dos !!! c'est tristement prémonitoire !
     
    soylent green Un film précurseur qui m'a également marqué. Un film SF (pas tellement SF aujourd'hui :) où les masses prolétaires crèvent la dalle pendant que les politicards vivent comme des pachas et maltraitent ces derniers. On devrait montrer ces films aux générations actuelles pour qu'ils comprennent l'ampleur de la situation que nous vivons actuellement et que nous vivrons dans un futur proche (10 ans au grand max)

    nn  rappel.... .

     
    Ressources de la planète: l'humanité vivra à crédit à partir du 2 août L'humanité aura consommé le 2 août la totalité des ressources que la planète peut renouveler en un an et vivra donc "à crédit" jusqu'au 31 décembre, a calculé l'ONG Global Footprint Network, relevant que ce moment survient de plus en plus tôt chaque année.

    » Lire aussi - Dette écologique: pourquoi vivons-nous désormais à crédit

     Même si le rythme de progression s'est un peu ralenti depuis six ans, cette date symbolique "continue inexorablement d'avancer, relèvent les ONG. "Pour subvenir à nos besoins, nous avons aujourd'hui besoin de l'équivalent de 1,7 planète", précisent-elles.

    "Le coût de cette surconsommation est déjà visible: pénuries en eau, désertification, érosion des sols, chute de la productivité agricole et des stocks de poissons, déforestation, disparition des espèces. Vivre à crédit ne peut être que provisoire parce que la nature n'est pas un gisement dans lequel nous pouvons puiser indéfiniment", soulignent le WWF et Global Footprint.

    Les émissions de gaz à effet de serre "représentent à elles seules 60% de notre empreinte écologique mondiale", rappellent-elles. 

     
    « Un anéantissement biologique ».

    n A quoi ressemblerait la population mondiale si la Terre n’avait que 100 habitants ? LE MONDE | 11.07.2017  Par Asia Ballufier

     Chaque année, environ 86 millions d’êtres humains naissent sur la planète. En juin 2017, la population mondiale s’élève à 7,6 milliards d’individus. En 2050, selon l’Organisation des nations unies (ONU), elle devrait atteindre les 10 milliards. Mais comment vivent ces milliards d’individus ? Où résident-ils ? Quelle langue parlent-ils ? Dans quelles conditions vivent-ils ? Avec quels moyens ? Pour mieux visualiser ces différents éléments, imaginons qu’il n’y ait que 100 personnes sur la planète

    Des scientifiques inquiets de l’accélération de la sixième extinction de masse des animaux

    Biodiversité. Dans une étude très alarmante, des chercheurs concluent que les espèces de vertébrés reculent de manière massive sur Terre, à la fois en nombre d’animaux et en étendue. LE MONDE | 10.07.2017 à 21h05

    C’est une étude peu réjouissante et particulièrement inquiétante : dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), Les deux principaux auteurs, Gerardo Ceballos (université nationale autonome du Mexique) et Paul Ehrlich (Stanford), n’en sont pas à leur coup d’essai sur le thème de l’érosion de la biodiversité.des scientifiques américains et mexicains affirment que les espèces de vertébrés (mammifères, reptiles, oiseaux, amphibiens, etc) connaissent un recul massif de leurs effectifs à travers le monde sur des territoires d’habitat toujours plus restreints depuis 1900. Soit les prémices de ce que les biologistes appellent la sixième extinction de masse. «La disparition des populations est un prélude à celle des espèces, préviennent les scientifiques. Une analyse détaillée du déclin des effectifs d’animaux rend le problème bien plus clair et inquiétant», écrivent à ce propos les auteurs de l’étude racontée par le Monde.

     La sixième extinction de masse des animaux s’accélère En juin 2015, ils avaient déjà publié une autre étude, qui montrait que la faune de la Terre était d’ores et déjà en train de subir sa sixième extinction de masse. Ils avaient calculé que les disparitions d’espèces ont été multipliées par 100 depuis 1900, soit un rythme sans équivalent depuis l’extinction des dinosaures il y a 66 millions d’années.

    Au total, plus de 50 % des animaux ont disparu depuis quarante ans, estiment les scientifiques, qualifiant leurs résultats de « prudents ».   Au total, 32 % des espèces étudiées déclinent (ainsi en termes de population et d’étendue sur l’ensemble des continents.. Les populations de vertébrés ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012.en utilisant la base de données de la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) Des conclusions qui confirment celles du dernier rapport « Planète vivante » publié en octobre 2016 par le Fonds mondial pour la nature (WWF) 

    « La réelle ampleur de l’extinction de masse qui touche la faune a été sous-estimée : elle est catastrophique », jugent-ils. Au total, 32 % des espèces étudiées déclinent en termes de population et d’étendue. Plusieurs mammifères qui se portaient bien il y a une ou deux décennies sont maintenant en voie de disparition.

    Deux ou trois décennies pour agir... Les causes de ces reculs sont connues : ils sont imputables, en premier lieu, à la perte et à la dégradation de l’habitat sous l’effet de l’agriculture, de l’exploitation forestière, de l’urbanisation ou de l’extraction minière. Viennent ensuite la surexploitation des espèces (chasse, pêche, braconnage), la pollution, les espèces invasives, les maladies et, plus récemment, le changement climatique.

    « Les moteurs ultimes de la sixième extinction de masse sont moins souvent cités, jugent les auteurs. Il s’agit de la surpopulation humaine, liée à une croissance continue de la population, et de la surconsommation, en particulier par les riches. »

    « Nous ne disposons que d’une petite fenêtre pour agir, deux ou trois décennies au maximum », préviennent-ils. Il en va de la survie de la biodiversité mais également de l’humanité. « L’érosion des espèces entraîne de graves conséquences en cascades sur l’ensemble des écosystèmes, ainsi que des impacts économiques et sociaux pour l’humain », rappelle Gerardo Ceballos. La faune et la flore nous rendent en effet de nombreux services, qu’il s’agisse de la pollinisation, de l’amélioration de la productivité des terres, de l’assainissement de l’air et de l’eau ou du stockage du CO2.

    Parmi les actions prioritaires, les scientifiques appellent à réduire la croissance de la population humaine et de sa consommation, à utiliser des technologies plus efficaces et moins consommatrices, à freiner le commerce des espèces en voie de disparition ou encore à aider les pays en développement à maintenir les habitats naturels et à protéger leur biodiversité.

     

    . "Les résultats de cette étude suggèrent que les risques d'extinction vont s'accélérer avec la hausse des températures du globe, pour menacer jusqu'à 16% des espèces animales s'il n'y a pas de changement des politiques actuelles", souligne Mark Urban, un chercheur du département d'écologie et de biologie de l'Université du Connecticut, le principal auteur de ces travaux publiés jeudi dans la revue Science.

    Ce scientifique a ANALYSÉ 131 études portant sur l'impact du changement climatique sur la faune et la flore, menées dans plusieurs régions du monde et selon différentes méthodes. Il a constaté que la perte de biodiversité s'accélérait pour chaque degrés Celsius d'accroissement de la température sur le globe. Selon l'hypothèse d'une augmentation de seulement 2°C des températures mondiales d'ici la fin du siècle par rapport à l'ère pré-industrielle, qui selon la plupart des climatologues est sous-estimée, cette dernière recherche a calculé que 5,2% des espèces seraient menacées extinction, contre 2,8% actuellement.


    Avec une hausse de 3°C sur la même période, ce sont 8,5% des espèces qui pourraient disparaître. Si le mercure grimpe de 4,3°C d'ici 2100, ce serait alors 16% des espèces animales qui seraient menacées.

    L'auteur de cette étude a également conclu que le danger d'extinction variait selon les régions du monde, selon qu'elles sont plus ou moins affectées par le réchauffement. Dans certains pays de l'hémisphère austral, où des habitats se réduisent sans possibilité pour des animaux, comme des reptiles et des amphibiens, de se déplacer suffisamment vite, les risques de disparition sont les plus élevés: jusqu'à 23% des espèces en Amérique du Sud et 14% en Australie et en Nouvelle-Zélande seraient menacés.

    Stratégies de conservation

    L'Amérique du Nord et l'Europe sont les régions où le risque est le plus faible, avec 5 et 6% respectivement des espèces en danger.


    "Nous avons un besoin urgent d'adopter des stratégies qui limitent le changement climatique si nous voulons éviter une accélration des extinctions animales sur la planète", plaide Mark Urban. "Nous devons aussi mieux comprendre les effets du réchauffement sur l'extinction des espèces pour permettre d'éclairer les décisions en matière de politique à suivre au international sur les coûts biologiques d'un échec à lutter contre le changement climatique et de mettre en oeuvre des stratégies de conservation pour protéger les espèces animales les plus menacées", poursuit-il.

    Selon lui, 7,9% des espèces vont de toute manière disparaître à cause du réchauffement de la planète. Par ailleurs, une recherche internationale également publiée dans la revue américaine Science jeudi s'est appuyée sur une ANALYSE de fossiles d'organismes marins couvrant 23 millions d'années pour prédire les animaux et écosystèmes des océans les plus à risque d'extinction. "Le changement climatique et les activités humaines ont un impact sur des groupes d'animaux qui sont depuis longtemps sur la planète et l'étude de leur histoire peut nous aider à mieux comprendre comment ils pourraient répondre aujourd'hui à ces nouvelles menaces", explique Seth Finnegan, professeur adjoint de biologie à l'Université de Californie à Berkeley, le principal auteur.

    Grâce aux fossiles, ces chercheurs ont ainsi évalué les risques d'extinction de nombreux animaux marins, dont les requins, les baleines et les dauphins, mais aussi d'organismes plus sédentaires comme les coquillages et les coraux. Ils ont également établi une CARTE des zones où ces espèces sont les plus affectées par le réchauffement et autres activités humaines, concluant qu'elles se situaient pour la plupart sous les tropiques. Dans la perspective de la conférence internationale sur le climat de Paris en décembre, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a prévenu mercredi qu'il y a "très peu de temps pour éviter de graves conséquences pour la planète". "Les données scientifiques sont claires, le climat est déjà en train de changer et l'activité humaine est la principale cause de cette évolution", a-t-il dit.

    Article au titre racoleur, mais au fond très intéressant. abien Mallet et 7 autres personnes ont partagé un lien. Le changement climatique est bien plus grave et plus avancé que vous ne le pensez. C'est ce que démontre un journaliste du New York Magazine.

      Des pesticides toxiques pour les abeilles dans 75% du miel mondial

    Biodiversité.

    Des traces de pesticides toxiques pour les abeilles ont été détectées dans 75% du miel produit dans le monde entier, suscitant l'inquiétude pour la survie de ces pollinisateurs cruciaux pour l'agriculture. Les concentrations relevées dans 198 échantillons de miel produits sont inférieures au plafond autorisé par l'Union européenne, selon l'étude publiée jeudi dans la revue Science. Ces dernières années, les abeilles succombent au syndrome dit «d'effondrement des colonies». Ce mal mystérieux entraîne la disparition ou la mort d'essaims entiers.

    Vu sur Science

    A lire Un Monde sans Humains ?

       Ah bin voui mais bon...... depuis l'temps qu'on vous dit de ne pas être si gourmands hein ?

    LE PLUS. Notre civilisation serait condamnée à disparaître. Non, vous n'êtes pas dans un film de science-fiction, c'est la Nasa elle-même qui l'annonce, via une…
    LEPLUS.NOUVELOBS.COM
     

    2050_et_si_c_etait_maintenant.avi

     

    Que se passerait-il si les humains disparaissaient de la Terre ? en Francais

    Ajouter cette vidéo à mon blog


     
    Full Movie  : Population Zero, Un Monde Sans Homme 1/2

     

     

    Certains croient fermement qu'une civilisation disparue il y a 1000 ans avait déjà prédit la fin des temps alors que la météorologie actuelle ne permet de prédire la pluie que quand elle nous tombe déjà dessus. Mais bon il faut avouer que les Mayas étaient malins donc on sait jamais. 
    Quoi qu'il en soit, si l'humain venait à disparaitre il pourrait être intéressant de se demander comment la vie continuerait sur Terre sans nous. C'est exactement ce que les gars de la chaine TV Syfy vous proposent de découvrir dans ce documentaire. “Population Zero – Un monde sans homme” vous montre ce qu'il se passerait si l'homme venait à disparaitre. La nature reprend le dessus et efface petit à petit toute trace de notre présence au cours des 30.000 années suivant notre disparition.
     
    Population Zero, Un Monde Sans Homme 2/2

     
    L'extinction de l'HOMME
     

     Le scénario de Nicolas Stern est entrain de se réaliser : citoyen actif : Nicholas Stern: La situation climatique - et ce que nous pouvons faire ...

     

    1 La sixième extinction de masse des animaux s’accélère , Arctique, la conquête glacialLe monde sous les bombes de Guernica à Hiroshima

    Changements climatiques, une menace pour la paix doc complet :

    Sénario Catastrophes Et si la population mondial doublait :

    Population Zero Un monde sans homme Documentaire new 2013

    Englouties par les eaux(Documentaire).

    Un Monde sans Humains ?

    Climat: une espèce animale sur six menacée

    Lu sur le Monde 461 partages

    Réchauffement climatique et terrorisme: «Il est impossible de ne pas faire le lien»


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