• ULTRA-DROITE

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    FACE AUX IDENTITAIRES ET AU RACISME D’ÉTAT
    PARIS / 25.11.17
    Plus d'infos à venir...
    #StopIslamophobie #ParisBanlieueAntifa #DefendPaname#LaPiraterieNEstJamaisFinie #AutoDéfensePopulaire

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    n  la publication de Action Antifasciste Paris-Banlieue.

    App France Bleu

    "Ma plus grande crainte : que quelqu'un se tue en essayant de décrocher le drapeau" dit le directeur du Lieu unique. Perso, si c'est un identitaire, je reprendrai des nouilles.

    Depuis lundi, le drapeau "He Will Not Divide Us" flotte au-dessus du Lieu Unique à Nantes. C'est une oeuvre d'art politique, en réaction à l'élection de Donald Trump aux Etats-Unis

     

    Il y a des dimanches en apparence pourris : 
    Après l'Autriche qui prépare un gouvernement droite-extrême/extrême-droite, la République Tchèque met en tête un milliardaire aux relents nationalistes et xénophobes (cette manie des peuples de croire qu'un prédateur va améliorer leur vie, alors qu'il n'a de cesse que de piller son prochain). 
    A Madrid Franco renait de ses cendres dans un très mauvais remake de "la nuit des morts-vivants". Ce qui est rassurant là, c'est que le peuple Catalan, lui, n'a pas l'intention de se laisser faire (450 000 manifestants dans les rues de Barcelone), et sans milliardaire.

    A lire Ces dirigeants au pouvoir

     La percée de l’AfD, qui entre au Parlement allemand avec 92 députés, a été permise par l’effondrement des deux grands partis traditionnels.
     La percée de l’AfD a été permise par l’effondrement des deux grands partis traditionnels. La 
    CDU (droite) et le SPD (gauche)ne totalisent à eux deux que 399 sièges au Bundestag, soit 56 % du Parlement.
    En savoir plus sur  Il faut remonter à 1949, où ils ne détenaient que 67 % des sièges (avec 277 députés sur 410), pour retrouver un aussi faible score.

    Mais bon, après l'automne et l''hiver, vient toujours le printemps, ce qui convenons-en ne peut qu'entretenir l'espoir, comme toute l'histoire le prouve en plus si on lève le bout du nez du guidon et de l'actualité du moment.

    Projet d'attentat de l'ultra-droite: «Le terrorisme politique d'extrême droite a laissé place à des groupuscules éclatés»


     

     

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    Ce «risque» (ou plus précisément : opportunité) existera toujours, vu que nombreux sont celles et ceux qui sont persuadés que ce sera une nécessité (cf : M14) :

     

     

    Les Inrocks - "Il y a un risque potentiel de dérive terroriste au sein de l'extrême droite"Certains débordements de la Manif pour tous l’ont rappelé aux yeux de l’opinion publique, l’extrême droite radicale est loin d’avoir disparu. Dans un ouvrage très...LESINROCKS.COM

    Projet d'attentat de l'ultra-droite: «Le terrorisme politique d'extrême droite a laissé place à des groupuscules éclatés»

    INTERVIEW Anaïs Voy-Gillis, spécialiste de l’extrême droite européenne, revient sur le coup de filet contre dix personnes soupçonnées d'avoir voulu attaquer des hommes politiques...

    Propos recueillis par Philippe Berry

    Dix personnes, gravitant dans la mouvance d’ultra-droite, ont été arrêtées ce mardi, dans une enquête sur un projet d’attentat contre des hommes politiques français et des mosquées. L’initiateur présumé de ces attaques, arrêté en juin dernier, serait Logan Alexandre Nisin, ex-membre de l’Action française Provence et du Mouvement pour une nouvelle aurore (MPNA).

    >> A lire aussi : Faut-il craindre une recrudescence des attentats d'extrême droite?

    Il était, selon nos informations, l’administrateur d’une page Facebook glorifiant Anders Behring Breivik, terroriste norvégien d’extrême droite. Il communiquait avec une dizaine de personnes âgées de 17 à 25 ans, qui projetaient un attentat contre des migrants et des hommes politiques, dont Jean-Luc Mélenchon et le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner.

    >> A lire aussi : Attentat d'Oslo: Un terrorisme d'extrême droite est-il en train d'émerger en Europe?

    Après les actions armées de l’Organisation armée secrète (OAS) et du Groupe Charles-Martel dans les années 60-80, « le terrorisme politique d’extrême droite a laissé place à des groupuscules éclatés » et à des loups solitaires, comme Maxime Brunerie, qui avait tenté d’assassiner Jacques Chirac en 2002, estime Anaïs Voy-Gillis, doctorante en géopolitique à l’Institut français de géopolitique (IFG) et spécialiste de l’extrême droite européenne.

    Il y a finalement eu peu d’attaques contre des hommes politiques ces dernières années. Le terrorisme politique est-il en déclin ?

    Le terrorisme politique d’extrême droite organisé a laissé place à des groupuscules éclatés identitaires et nationalistes qui n’étaient plus dans une stratégie de lutte armée. La prévention a joué un rôle important, grâce à une étroite surveillance des milieux extrémistes [comme dans l’arrestation d’un homme qui projetait d’attaquer Emmanuel Macron lors du défilé du 14 juillet]. Des groupes radicaux ont également été dissous, comme les Jeunesses nationalistes révolutionnaires, après la mort de Clément Méric.

    La poussée nationaliste dans le sillage du Brexit, de Donald Trump et de Marine Le Pen décomplexe-t-elle les éléments les plus radicaux ?

    En France, la dédiabolisation du Front national, réalisée à des fins électorales, a laissé la place libre à une mouvance plus radicale qui a trouvé sur le Web et sur les réseaux sociaux une caisse de résonance. Les attentats de Daesh ont également exacerbé la rhétorique de cette frange sur la nécessité de défendre la nation et la race blanche contre un ennemi commun, avec un leitmotiv qui revient souvent : que personne ne fait rien et qu’ils sont le dernier rempart.

    L’utilisation de messageries chiffrées comme Telegram complique-t-elle la surveillance ?

    C’est un facteur mais ces individus communiquent également beaucoup sur les réseaux sociaux et laissent des traces. Le plus difficile pour les autorités est de déterminer quand il y a un véritable risque au-delà de la propagande. Et comme chez les djihadistes, il ne faut pas négliger le facteur des maladies mentales dans le passage à l’acte.

    Policier allemand tué: perpétuité pour un «citoyen du Reich»

    Un Allemand, accusé d'appartenir à la mouvance des "citoyens du Reich", nébuleuse en expansion qui refuse de reconnaître la République allemande, a été condamné lundi à la réclusion à perpétuité pour avoir tué un policier en 2016. Wolfgang Plan, 50 ans, a été reconnu coupable de meurtre, de tentatives de meurtres et de blessures graves par le tribunal de grande instance de Nuremberg-Fürth (sud-ouest) qui le jugeait depuis la fin août.

    » Lire aussi - Allemagne : qui sont les «Citoyens du Reich» ?

    Les "Reichsbürger" (Citoyens du Reich), mouvance hétérogène mêlant néonazis, nostalgiques du Kaiser, complotistes et personnes aux croyances ésotériques, inquiètent les autorités allemandes en raison de l'audience croissante et de la prédisposition à la violence de ces groupes.

    Les services de renseignement allemands évaluent actuellement à environ 15.000 le nombre de "citoyens du Reich", dont 900 extrémistes de droite, des estimations en progression. Un autre procès de "Reichsbürger", accusé d'avoir tiré sur des policiers, est actuellement en cours en Allemagne.

    En Belgique, l’affaire des « tueurs du Brabant » rebondit et s’oriente vers l’extrême droite 17

    Un ancien gendarme, mort en 2015, serait le chef de cette bande qui a tué 28 personnes.

    La police arrive sur les lieux d’une attaque des « tueurs du Brabant » dans un magasin Delhaize, à Alost, en Belgique, le 9 novembre 1985.

    La police arrive sur les lieux d’une attaque des « tueurs du Brabant » dans un magasin Delhaize, à Alost, en Belgique, le 9 novembre 1985. Trente-deux ans après les faits, la police belge est peut-être parvenue à mettre un nom sur le chef des « tueurs fous » du Brabant, une bande qui fit régner la terreur en divers endroits du royaume dans les années 1980.


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    Les Tueurs du Brabant Wallon


    L’intéressé était surtout un gendarme, membre du groupe Diane, l’unité d’élite de l’ex-gendarmerie, qui a été, depuis, intégrée à la police fédérale. Certains des membres de ce service ont entretenu des liens avec l’extrême droite.

    Les convictions de certains enquêteurs s’en trouvent dès lors renforcées : ils ont toujours pensé que, compte tenu du mode opératoire des tueurs, il pouvait s’agir de policiers ou de militaires, formés aux techniques des forces spéciales
    » En Belgique, l’affaire des « tueurs du Brabant » rebondit et s’oriente vers l’extrême droite

    LIRE AUSSI :

    » Les «Citoyens du Reich» inquiètent l'Allemagne

    Ultra-droite: Comment Logan Alexandre Nisin s’est autoradicalisé devant son… 20MINUTES.FR , Paris : les nervis de Civitas et du GUD attaquent des féministesLes "nationalistes autonomes"« Il y a un risque potentiel de dérive terroriste au sein de l’extrême droite »  


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