• Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer !

     

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    une photo à l’album Macron 1er.

     
     
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      Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer !19 partages  État libéral dégénéré : « […] il n’y a pas plus de raisons d’assimiler le libéralisme à tout ce que des libéraux, ou des hommes supposés tels, ont à quelque moment proclamé comme un évangile. Ils peuvent très bien s’être trompés, et dans la mesure où ce qu’ils considéraient comme du libéralisme a eu des conséquences antilibérales, ils se sont certainement trompés. » L'argent sans foi ni loi 2mis sur facebook


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    Vive l'anarchie - extrait de "la bande à bonnot"

     

     

    10 mai 1981 - 15 mai 2011 , triste anniversaire

    " Il n'y a pas d'alternative " 21/07/2011

    " Les réformistes acceptent l'économie de marché non seulement parce que l'on n'a pas le choix, mais aussi parce qu'elle est garante de libertés."

    Rocard

    " Il n'y a pas d'alternative "

    Très bon article de Serge Halimi, surtout après le désarroi de la gauche ( PS) après le scandale de DSK.  10 mai 1981, triste anniversaire ( source monde diplomatique)

     

    l y a deux manières d’aborder une revendication sociale. La première consiste à additionner les difficultés pour justifier qu’on y renonce. La seconde à considérer qu’il s’agit d’une exigence de justice et que, si l’on fait le compte des obstacles, c’est avec la volonté de les surmonter », écrivait François Mitterrand en 1980 (1).

     

    En définitive, la question n’est pas tant de savoir, trente ans après, si les socialistes ont « échoué » ou s’ils ont « réussi ». Ils ont échoué sur le front de l’emploi et sur celui de l’égalité sociale. Ils ont réussi sur ceux de l’inflation et des taux de profit. Le problème, c’est qu’on attendait d’eux qu’ils livrent la première bataille, pas qu’ils remportent la seconde.

     
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    Les Vosges insoumises

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    dimanche 11 mars 2012, par AnarSonore

     L’effervescence médiatique prend de l’ampleur, et les parieurs pérorent devant le comptoir sur les chances de tel ou tel candidat. Pourtant, peu de surprise dans le scénario, car il y aura un vainqueur, quel qu’il soit, et la victoire du champion déchaînera la liesse de ses électeurs. Ceux-ci auront l’ivresse de l’après match, tandis que les adversaires battus iront au lit penauds. Ressourcé par l’alternance -ou pas-, le pays sera stable, entrant dans un état de grâce…, ou d’apathie pour les perdants.

    Mais il subsiste une information qu’aucun journal ne délivrera, un fait majeur masqué par les feux de Bengale de la victoire ou de la consternation. L’État républicain restera debout, plus fort que jamais en ce lendemain de suffrage ! Réjouissez-vous, hommes d’ordre, policiers, juges, soldats et magistrats, car votre pouvoir sera assuré ; dormez sur vos deux oreilles, exploiteurs de tout poil, car la paix civile sera garantie par la nuée de petits bulletins comme autant de faire-part d’une défaite : celle des travailleurs et laissés-pour compte, toujours victimes de ce jeu de dupes.

    Jadis, le roi était sacré, doté de pouvoirs magiques et oint d’une huile miraculeuse. Entrant dans les bonnes villes de France, honoré de bustes et de médailles, il régnait "sur ordre de Dieu". Mais Dieu est mort entre-temps, et une Révolution plus loin, il fallait trouver un moyen pour que l’Etat absolu que les rois avaient créé survive. Ce moyen, ce fut la souveraineté du peuple, vous savez : celui qu’on réduit en bouillie pendant les guerres, celui que l’on hypnotise au moyen de la télévision, celui à qui l’on vole le fruit de son travail en lui disant qu’il est moins intelligent que le patron qui le dirige !

    Depuis, on nous fait croire que le peuple est souverain, parce qu’il choisit son maître parmi quelques dirigeants possibles, tous plus assoiffés de pouvoir les uns que les autres. Alors on organise une cérémonie pour l’occasion : on pavoise les villes un dimanche…, on convoque les gens avec solennité à passer dans des cabines où ils seront face-à-face avec leur destin, comme dans un photomaton. Puis, devant des témoins impassibles et sourcilleux, parce qu’on leur a dit depuis l’école qu’il n’y avait pas d’autre solution, ils votent Tartempion plutôt que Tartuffe.

    humour 115.jpgEt Tartempion de faire sa sale besogne, sans vergogne aucune, car il considère qu’il est au-dessus de nous tous, que nous allons nous taire et qu’il a absolument tous les droits, car nous les lui aurions donnés par ce suffrage. Droit de faire la guerre, droit de mater les grèves, droit de protéger les riches et leur vol en bande organisée, droit d’empêcher les pauvres de manger la même chose que les autres, droit de la propriété qui laisse des logements vides en plein hiver. Il va le faire, parce qu’il est élu ! Ce jour-là, nombre de personnes honnêtes auront signé un chèque en blanc pour retourner ensuite à leur quotidien bien précaire. En réalité, elles n’avaient d’autre choix que de voter pour ce régime de représentation, quand elles avaient l’illusion d’un vote souverain.  ( cf voir posts sur  mario monti,  mario draghi : Mario Draghi ou le pompier pyromane,  françois hollandeLa finance imaginaire : L'information judiciaire qui a fait tomber Cahuzac Mis à jour le 19/03/2013 ).

    la photo de Démocratie Réelle Maintenant - Paris (page officielle)

     
    "ACAB !!"
    SAMEDI 23 MARS MARCHE CONTRE LES CRIMES POLICIERS
     

     

    Texte complet de la lettre « secrète » de Trichet à l’Italie : Thème de cet article : Crise de la zone euro : sortir de l’ambiguïté 
    Texte complet de la lettre « secrète » de Trichet à l’Italie : privatisez et réduisez vos salaires pour sauver l’euro ( Facebook) : " 29 septembre 2011  – Le quotidien italien Corriere della Sera dévoile aujourd’hui le texte complet de la fameuse « lettre secrète » envoyée à Berlusconi le 5 août par le président sortant de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet et son successeur Mario Draghi, ancien cadre de la banque Goldman Sachs

    doc PDF intéressant a lire : ]  Mario Monti au Figaro :  «  Mon gouvernement peut tomber demain, nous ne sommes pas ici pour survivre, mais pour accomplir un un bon travail » propos recueilli par Richard Heuzé du 05/01/2012.

    Golman Sachs , Les Etats-Unis le terrorisme institutionnalisé - hensozu, Pourquoi je quitte Goldman Sachs"Tant qu'il y aura de l'argent...

    Nous avons tous pourtant une autre possibilité, et nous ne parlons pas ici de la passivité futile ou de l’abandon de la souveraineté à un tyran. Nous parlons de dire ce que nous pensons, avec la conscience claire que nous avons autant de bon sens que ceux qui veulent nous diriger. Nous parlons aussi de refuser à quiconque le droit de parler en notre nom, de décider à notre place ou de prendre un mandat sans honorer ses engagements.

    humour 122.jpgNous avons en commun la décence d’oeuvrer chaque jour à la survie de la société, à l’avenir de nos enfants, à la solidarité nécessaire entre les hommes, quand les hommes de pouvoir n’oeuvrent qu’à leur indécence particulière. Ne servons pas leur intérêt bien compris par nos suffrages : il n’y a pas plus de saints que d’hommes providentiels ! Nous seuls pouvons et devons décider de nos propres vies, et ce faisant destituer les maîtres au lieu de les choisir.

    Edito d’Anarchosyndicalisme ! n°128 - Mars-Avril 2012

    Il importe de construire dès aujourd'hui les résistances à cette attaque et de se poser dès maintenant la question d'aller plus loin que la simple résistance à l'austérité...

     
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