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Le gouvernement TRUMP
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Quand je vois un pauvre aller voter, j'ai l'impression de voir un crocodile entrer chez un maroquinier !
Dans la l'urne
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Nicolas Hernandez : "Ce qui me fait toujours rire jaune, c'est lorsque je vois un pauvre gars voté pour se faire représenter par un milliardaire".
Yannis Youlountas "Dans le même numéro : le sinistre milliardaire napolitain Emanuele Grimaldi qui s'est payé Minoan Lines tout en licenciant un max de monde."
la vidéo de France Inter." Le F Haine est toujours à 30 % a cause de la gauche de droite, et la droite d' extrême droite, " On en peut pas mieux résumer la situation.les fachos (ni les cons) et je t'emmerde.Hier, à 12:57 · L'avenir appartient à ceux qui ont le veto.
Abstentionnisme
Obama sert la pogne à Trump, Sarko sert la pogne à Marine, Hollande sert la... merde, y'a personne !!
Ah, des poignées de mains y'en a en pagaille ...on voit qu'on est en période électorale...des poignées de mains fuyantes.. voire "glissantes" Les "illuminati" seront aussi de la partie !
Un "parti" émerge .. pas vraiment un parti d'ailleurs, une idée seulement une idée !
Si les "chercheurs de voix" n'en trouvent aucune, ils vont creuser pour en obtenir... et là, ils ont trouvé.. ""on va forer"" le cerveau du citoyen... et si possible effectuer une ablation de ce qui reste de pensées positives.. Alors on te présente ce qui pour sûr va sauver le "monde capital pour la survie d'une poignée ".. le français moyen !
très moyen d'ailleurs puisqu'il se gausse d'un "Brice" qui nous fait oublier de pleurer sur des êtres chers pour encenser une planche de surf ! Mais oui Français moyen ..je te traite de con... faut l'accepter... ou continuer à être con !
mais je te connais français.. quand t'es au pied du mur..tu te révoltes.. et ben là, ça y'est tu t'y trouves.. alors """"ne va pas voter"" ..abstiens toi !La Politique c'est aussi :"J'arrêterai de faire de la politique quand les politiques arrêteront de nous faire rire."
· "La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout."
· "Le plus dur pour les hommes politiques, c'est d'avoir la mémoire qu'il faut pour se souvenir de ce qu'il ne faut pas dire."
· "Je ferai aimablement remarquer aux hommes politiques qui me prennent pour un rigolo que ce n'est pas moi qui ai commencé."
Quel président pour l'Amérique ?
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"Le pouvoir n'est pas là où il se voit, montre ou cache, il est partout. Partout, donc, il faut résister à la manière de Diogène : voilà l'esprit libertaire."
(Michel Onfray)Chapitre II : La servitude moderne "Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles." William Shakespeare
Analyse. Cécité face au déclassement des middle classes, entre-soi culturel et médiatique, abandon de « l’Amérique du milieu » ou de la « France périphérique », fracture entre gagnants et perdants de la mondialisation: la droitisation du monde est en cours et la gauche est larguée.La droitisation du monde est en cours. Et la gauche est sonnée, larguée, désarçonnée. En plein mea-culpa, plongée dans un exercice de contrition et parfois même d’autoflagellation. Cécité face au déclassement des middle classes, entre-soi culturel et médiatique, abandon de « l’Amérique du milieu » ou de la « France périphérique », fracture entre bobos et prolos, entre gagnants et perdants de la mondialisation : beaucoup de choses ont été dites sur les raisons d’une sidération, les causes d’une débâcle historique.La gauche multiculturaliste, notamment active sur les campus américains, est particulièrement visée. Elle qui a souvent préféré l’identité à l’égalité, le souci des minorités à celui des ouvriers. Elle qui n’a pas compris que le conservatisme est en mouvement. Qu’il avait muté. Qu’il a fait valser les oppositions entre l’ordre et la liberté. Elle qui n’a pas assez réalisé que le conservatisme pouvait entraîner une partie de la jeunesse, à la manière de La Manif pour tous en France. Que les soulèvements ne sont pas tous libertaires, mais également autoritaires. Et qu’un Mai-68 à l’envers se propageait à l’échelle planétaire."Flores Magon
alors Dieudonné fait l'apologie de Trump... Ah! Léchage de cul des puissants quand tu nous tiens.
Un millionnaire français qui se met à fanatisé un milliardaire américain, c'est bel et bien le système capitaliste, il n'y a que des .pauvres type futurs chair à canons ( et aussi bourreau) pour leur idole qui peuvent croire qu'il y a quoi de ce soit d'anti-système.
Tel Pétain devant Hitler, les petits fascistes français cherchent toujours un maitre à qui servir de serpillère.
.....................................Alors pour bien comprendre comment ça ce passe; les mouvements fascistes ont besoin de 3choses pour avancer:
1 la propagande ( d'où l'interet d'un Dieudonné qui par l'humour rapproche du FN un frange de la population qui, à l'origine leur étaient inaccessible )
2 le plus important LE POGNON, d'où les ronds de jambes et les courbettes et les flatteries soit vers Trump soit vers Poutine ( il eu aussi envers l'Iran de la part de Soral et sa secte)
3 que la masse soit passive et croient au besoin d'un maitre-d'une Autorité .
I LOVE DEMOCRACY USA EXTRAIT 1 - YouTube
--- Lettre à nos cousins d'Amérique ---La politique est essentiellement l’art de la manipulation des apparences, du faux-semblant, du stratagème, des jeux à trois bandes, du coup d’État permanent, de la mauvaise foi et de la domination, bref : du mensonge efficace. Quoi de plus logique que d’élire comme président un menteur patenté. Ceux qui voient dans cette élection le triomphe d’une politique de la « post-vérité » parce que le vainqueur du jour ne s’est jamais soucié de « respecter les faits » tentent lamentablement d’occulter l’évidence que s’il a été élu, c’est précisément parce qu’il incarnait la vérité de la politique, la vérité de son mensonge. Ce qui rend la gauche partout haïssable, c’est de mentir sur le mensonge en faisant de la politique avec des bons sentiments. Chaque fois que la gauche s’en est pris à l’obscénité de Trump, elle n’a donné à entendre que le caractère faux-cul de son propre moralisme. La retenue dont la gauche se prévaut est aussi bien retenue de la vérité, qui éternise le règne du mensonge. C’est ainsi que Trump est devenu, pour certains, le nom de la fin du mensonge. Il leur manque seulement d’avoir lu Gracian, qui disait de l’homme de cour : « Quand son artifice est connu, il raffine sa dissimulation, en se servant de la vérité même pour tromper. Il change de jeu et de batterie pour changer de ruse. Son artifice est de n’en avoir plus. »
Trump est élu. Trêve de bavardages.LUNDI.AMEn revanche dans la même interview, il assume son virage sur la politique étrangère en Syrie. Se félicitant d'avoir reçu une «belle» lettre de Vladimir Poutine, il déclare qu'il se concentrera désormais sur la lutte contre l'État islamique plutôt que de vouloir chasser du pouvoir Bachar el-Assad. Il ne change pas non plus d'avis au sujet de la sécurité des frontières contre la drogue et les immigrants clandestins qui reste «une priorité» des premières semaines.
Expérience zéro en politique, misogyne, islamophobe, mexicanophobe et climato-sceptique : Donald Trump avait tout pour se faire détester par tous, les démocrates, les républicains -son propre camp- ou la majeure partie de la communauté internationale. Pourtant, c'est bien lui qui devient le nouveau président américain. Déjouant tous les pronostics, il a remporté une victoire incontestable, porté apparement par une volonté de renouvellement de la classe politique.
Donald Trump, la victoire de l'anti-establishment | ARTE Info
VIDEO. Donald Trump et l'extrême droite américaine, la "love story" ?
L’homme qui murmure a l’oreille de Trump
Enquête sur le fonctionnement – et les dysfonctionnements – du nouveau pouvoir qui s’est installé à Washington, au sein du premier cercle des conseillers de Donald Trump. Déclarations fracassantes, luttes d’influence, confrontations idéologiques… : en s’appuyant sur de multiples sources à l’intérieur de l’administration, le film tente de déchiffrer l’avenir du pays, qui se joue derrière des portes closes. Au centre de cette enquête se trouve Steve Bannon, magnat de la presse « alt-right » (d’extrême droite), devenu le principal conseiller politique à la Maison-Blanche. Début avril, Donald Trump a voulu montrer qu’il prenait ses distances avec celui qu’on présente comme son éminence grise, notamment en le démettant de ses fonctions au Conseil national de sécurité. Mais comment interpréter ce petit coup de théâtre ? On doit en tout cas à Steve Bannon le caractère offensif du discours présidentiel d’investiture, ainsi que le « décret antimusulmans » du 27 janvier, retoqué depuis. Afin de mieux comprendre ses positions idéologiques, le film explore son passé de conseiller militaire dans la Marine américaine, puis de banquier chez Goldman Sachs, et surtout son rôle à la tête du site Breitbart News Network, devenu l’un des principaux relais médiatiques de la droite extrême et des ultraconservateurs. Passant au crible son parcours ainsi que ceux de deux autres hommes clés de l’administration Trump, le jeune conseiller politique Stephen Miller et le ministre de la Justice Jeff Sessions, le documentariste Michael Kirk explicite la vision qui préside aujourd’hui aux destinées de l’Amérique – et du monde.David Duke, le mauvais génie de Donald Trump L'ancien leader du Ku Klux Klan, présent samedi lors des violences à Charlottesville, a une longue histoire commune avec le président américain, qui a pourtant nié le connaître à plusieurs reprises. Il n'a pas changé, depuis le temps où il paradait à la tête des «Chevaliers du Ku Klux Klan», dans son État de Louisiane. À 67 ans, David Duke a vieilli, bien sûr, son visage s'est émacié, ses tempes rousses grisonnent, mais la chirurgie esthétique fait des miracles et il n'a rien perdu de ses talents d'imprécateur, ni de harangueur antisémite.Tout en constituant son équipe de transition, le nouveau président a semblé réviser son jugement sur l'Obamacare, qu'il ne veut plus « abroger complètement ».
Soudain reclus avec ses conseillers, après des mois d'exposition médiatique constante, Donald Trump distille des messages plus nuancés qui laissent planer le doute sur ses intentions. Est-il en train d'adoucir ses positions radicales de candidat?
Non content de faire désormais l'éloge de Barack Obama, «un homme bien» avec lequel il a eu «un excellent entretien» ...
Selon le site Libération Depuis son élection, le futur président américain a largement revu certaines de ses positions. Le début d'une longue liste ?
A LIRE AUSSITrump aux manettes, tout un programme
La victoire a une vertu formidable : elle rend l'humilité facile, voire douce. Mais Trump ne se contente pas d'être gentil avec ceux qu'il a trainés dans la boue.
«C'était un bon slogan de campagne»
A l'Obamacare pourront bientôt s'ajouter d'autres promesses difficilement tenables par le candidat républicain. Il avait ainsi affirmé vouloir interdire l'entrée des musulmans sur le territoire américain ? Cette proposition a curieusement disparu quelques heures de son site internet, jeudi, officiellement pour des raisons techniques, avant de réapparaître. ( ....) Trump deviendra officiellement président le 20 janvier prochain. D'ici là, combien de promesses lui restera-t-il ?
Etats-Unis : les arrestations de clandestins s’accélèrent
Ainsi, l’expulsion de 11,5 millions d’immigrés clandestins sur la durée du mandat apparaît peu réaliste. A la fois en termes de rythme, de coût pour le budget, mais aussi sur le plan macroéconomique. Car, qu’on le veuille ou non, ce serait autant de consommateurs en moins. Avec un certain cynisme, le Parti républicain sait également que l’économie américaine serait handicapée si elle devait se priver du jour au lendemain de cette main-d’œuvre bon marché. D’autant que les Américains que M. Trump a promis de prendre sous son aile protectrice ne sont pas forcément prêts à les remplacer au pied levé.
Lire aussi : Sur le plan économique, « la stratégie de Donald Trump sera centrée sur l’Amérique »Soudain reclus avec ses conseillers, après des mois d'exposition médiatique constante, Donald Trump distille des messages plus nuancés qui laissent planer le doute sur ses intentions. Est-il en train d'adoucir ses positions radicales de candidat?
Non content de faire désormais l'éloge de Barack Obama, «un homme bien» avec lequel il a eu «un excellent entretien» ...
Le grand flou du programme économique de Donald Trump 1
Selon Le Monde Le président élu défend un programme fiscal empli de contradictions et de promesses sur le protectionnisme ou l’immigration, en opposition avec la doxa républicaine. « Nous allons doubler notre croissance et avoir l’économie la plus forte du monde. . Au passage, notons que les mesures fiscales de M. Trump, qui s’est fait élire sur la promesse de protéger les plus fragiles, doperaient les revenus des 1 % les plus riches de 13,5 %, contre seulement 4,1 % pour le reste de la population.Plus que l’élection de Donald Trump, la philosophe Seyla Benhabib : redoute de voir sa présidence débuter avec un Congrès qui lui sera acquis, puisque aux mains des républicains. Rien ne viendra faire contrepoids.
Selon Le Monde On peut trouver paradoxal qu’un roi de l’immobilier, enrichi par la construction de gratte-ciel et de casinos et des activités annexes comme le textile (les chemises et les cravates Trump), ou les produits de bouche (les steaks et les vins Trump), recueille majoritairement les votes d’ouvriers blancs, peu éduqués, du Sud et surtout de la Rust Belt (« ceinture de la rouille »), et de toutes les victimes de la mondialisation et du déclin des vieilles industries manufacturières.
Trump a su admirablement canaliser leur colère, leurs angoisses et leurs peurs en leur promettant d’édifier une Amérique forteresse, fondée sur la renégociation de tous les grands accords de libre-échange signés par les Etats-Unis, à commencer par l’Alena [Accord de libre-échange nord-américain]… Peu importe si les cravates et les chemises Trump sont toujours produites au Mexique ou en Chine, le leader républicain n’en est pas à une contradiction près. L’important est de protéger les « petits Blancs » contre les hordes d’étrangers qui menaceraient l’Amérique et abuseraient des bienfaits d’un Etat-providence trop généreux à leur égard.
Le ressentiment de la Rust Belt et de la Sun Belt
Le sociologue allemand Werner Sombart (1863-1941) publiait en 1906 un ouvrage au titre décapant : Pourquoi le socialisme n’existe-t-il pas aux Etats-Unis ? Son analyse reste aujourd’hui encore d’une actualité brûlante : l’auteur constatait que les conflits de classe opposant les ouvriers aux possédants étaient moins nombreux et moins visibles aux Etats-Unis qu’en Europe.
a photo de STREET ART UTOPIA.
À l’instanthttps://www.facebook.com/streetartutopia/photos/a.311820137699.147776.310375597699/10154738758157700/?type=3STREET ART UTOPIA avec Daniel Muñoz Martin·By Pegasus in Bristol, UK.
Trump: le démagogue raciste triomphe au sein du parti républicain et semble assuré de remporter la désignation à la candidature. Cela représente déjà un encouragement pour l'extrême-droite et la droite radicale qui le soutiennent aux USA et partout dans le monde, comme Memorial 98 le montre ici
The Dead Zone - Official Trailer : The Dead Zone pt 1 https://www.youtube.com/watch?v=Urkbs9mylg0 : the best adaptation of a King novel ever! Donald Trump IS Greg Stillson! ScaryPlus tôt dans la journée, plus d'un millier de lycéens et d'enseignants avaient quitté les classes à Berkeley, en Californie, pour protester sous le mot d'ordre "Pas notre président" contre la victoire surprise de Donald Trump.
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Une partie de l’Amérique, catastrophée par l’élection de Trump et se sentant parfois trahie par le Parti démocrate, tente d’organiser la contestation. ( Source Libération) Le choc n’est pas encore digéré mais déjà, la contre-attaque s’organise. Si l’élection de Donald Trump ouvre assurément une période d’incertitude, elle déclenche aussi une vague de contestation inédite dans l’histoire américaine moderne. Responsables politiques, militants associatifs, artistes ou simples citoyens : partout aux Etats-Unis, des voix s’élèvent et promettent de s’opposer au futur président
«La meilleure façon d’agir est de défendre ceux qui sont harcelés, de dénoncer publiquement les commentaires racistes et sexistes, et de faire notre maximum pour faire taire cette rhétorique diabolique»,estime Brenna Whitehurst, une militante de Ferguson, ville du Missouri devenue un symbole du combat contre les violences policières.
Appel d’air
Enfin, pour beaucoup, la résistance à Trump nécessite la construction d’un mouvement capable, à moyen terme, de proposer une alternative politique aux électeurs séduits par son message. Ce que n’a pas réussi à faire Hillary Clinton. «Le Parti démocrate a servi les intérêts de Wall Street, pas ceux de sa base électorale, déplore Maria Svart, directrice de Democratic Socialists of America (DSA), la principale organisation socialiste du pays. Nous devons bâtir un mouvement économique pour le plus grand nombre et antiraciste. Nous devons approfondir la révolution politique de Sanders, qui est la seule chose qui puisse nous sauver. Nous devons nous mobiliser.»
L'impact sur la politique étrangère américaine
En flag
Il est clair que la personnalité, le discours et les actes auront un impact important. Premièrement dans la relation avec le régime autoritaire Russe de Poutine vis a vis de la Syrie, de la politique au proche orient, de la politique contre le terrorisme et Daesch en particulier, alors que les braise du conflit alimentant l'organisation terrorisme ne sont pas éteint et la question des bouleverselement climatique et il y a urgence.Le "réchauffement climatique renforce la fréquence d'événements météo extrêmes"
Un entretien tout à fait sérieux avec Georges Clément, chef d'entreprise qui prône activement une « trumpisation » de la France. Avec les militants français de Donald Trump Concrètement, hors du Comité, la « Trumposphère française » c'est surtout les principaux sites de la fachosphère. VICE.COM
Je dis ça, je dis rien.
Tags : quel président pour l’amérique ?, the dead zone clinton contre trump, arte, documentaire, 2016, my america, élection américaine, la cyber-sécurité, le brexit
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