• " Il n'y a pas d'alternative "

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     n" Il n'y a pas d'alternative "

     


    21/07/2011

    " Les réformistes acceptent l'économie de marché non seulement parce que l'on n'a pas le choix, mais aussi parce qu'elle est garante de libertés."

    Rocard

    " Il n'y a pas d'alternative "

    " Il n'y a pas d'alternative "

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     Tu peux voter, pétitionner, débattre à la télé, ou gamberger sans te bouger, mais...C’est dans la rue qu'çà s'passe – compagnie jolie mome 

     

    « Si les états, c est la même chose, 
    après c est la politique ils mènent qui diffère
    ne pas confondre état et gouvernement ^^
     »

    Le suivi des promesses de Hollande 

    Suivi des promesses de Hollande sur Facebook

    Réformes : les politiciens ont-ils renoncé ? 

    « L’art du possible », c’est ainsi que Bismarck (ou Gambetta, lit-on selon les sources) définissait la politique. Pour réussir, l’homme politique se doit avant tout de se plier aux exigences de la conjoncture.

    Si l’on s’en tient à cet axiome, l’action publique serait prisonnière des contingences vis-à-vis desquelles aucune modération ne serait excessive. Or, à en croire les experts ès Renonciation qui défilent sur les plateaux de télé et les hommes politiques eux-mêmes, la situation est telle que toute tentative pour changer les règles du jeu est condamnée à l’échec.

    Jusqu’à quand ? " ( Editeur - Seuil)Très bon article de Serge Halimi, surtout après le désarroi de la gauche ( PS) après le scandale de DSK.  10 mai 1981, triste anniversaire ( source monde diplomatique)

     Il y a deux manières d’aborder une revendication sociale. La première consiste à additionner les difficultés pour justifier qu’on y renonce. La seconde à considérer qu’il s’agit d’une exigence de justice et que, si l’on fait le compte des obstacles, c’est avec la volonté de les surmonter »,

    écrivait François Mitterrand en 1980 (1). Sept ans plus tard, pourtant, au terme du premier mandat du président socialiste, M. Lionel Jospin sonnait le glas du volontarisme politique qui avait marqué les premiers mois du gouvernement de gauche — nationalisation des banques et des grands groupes industriels, retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, augmentation des minima sociaux. Il annonçait en effet :

    « La période des grandes réformes ne se renouvellera pas (2).  »

    « En définitive, la question n’est pas tant de savoir, trente ans après, si les socialistes ont « échoué » ou s’ils ont « réussi ». Ils ont échoué sur le front de l’emploi et sur celui de l’égalité sociale ( voir post ) . Ils ont réussi sur ceux de l’inflation et des taux de profit. Le problème, c’est qu’on attendait d’eux qu’ils livrent la première bataille, pas qu’ils remportent la seconde ». de Serge  Halimi  Une vidéo explicative sur les similitude  

     

    "Le PS a embrassé très tôt la doxa néolibérale",



    Dans son livre La Passion Créatrice, Bernard Arnault se réjouit de l’impuissance des hommes politiques :

     

    « Les entreprises, surtout internationales [NDLR : c’est nous qui soulignons], ont des moyens de plus en plus vastes, et elles ont acquis, en Europe, la capacité de jouer la concurrence entre les Etats. […] L’impact réel des hommes politiques sur la vie économique est de plus en plus limité. Heureusement. »

     

     


    A gauche de l’échiquier politique, cela fait longtemps que le renoncement est acté Quelques jours avant de remettre les clés de l’Elysée à son successeur, François Hollande avouait que cela faisait bien longtemps qu’il avait abandonné l’idée de faire quoi que ce soit pour redresser le pays (dans la mesure où cet objectif ait un jour été le sien, bien entendu) :

     

    François Hollande

     

    De toute façon, son ministre de l’Economie et des Finances Michel Sapin nous avait déjà donné un aperçu des objectifs du gouvernement quelques mois auparavant :


    Michel Sapin

    Le sous-chef de cette équipe de gagnant expliquait au passage que s’il arrivait à 1%, il conviendrait de l’en féliciter : « On peut inventer [NDLR : là encore, c’est nous qui soulignons] aujourd’hui une croissance entre 1% et 2% qui est une croissance suffisante pour rétablir les finances publiques et […] pour lutter contre le chômage et le faire diminuer« 

    > Article : Le mirage de la compétitivité Parti de Gauche :

     

    Rapport Gallois : le mirage de la compétitivité par lepartidegauche

     

     « les réformes n’ont, dans nos pays, en pratique aucun effet sur la croissance  ». Si d’autres raisons, comme l’amélioration de « la qualité des services par la concurrence », « rendent les réformes souhaitables », il n’en reste pas moins qu’en définitive, « les politiques, les experts qui promettent que la croissance peut revenir grâce à des réformes ‘courageuses’ doivent être traités comme le père Noël : si vous avez plus de six ans, évitez de trop y croire ».



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