• « Burning Country »

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    Ces comités " révolutionnaires" sont une bonne idée. Cela explique aussi pourquoi el Assad et ses sbires s'acharnent a les détruire. Empêcher toute organisation, vie qui ne soit pas sous son contrôle.

    " Il y a encore près de 400 conseils locaux et provinciaux qui organisent la vie quotidienne sous les bombes dans les zones libérées. A peu près la moitié d’entre eux sont directement élus, et l’autre moitié ont des formes quasi-démocratiques, pratiquant la démocratie interne ou le consensus communautaire. Il y a des syndicats indépendants, des centres de femmes, des projets communautaires de santé ou d’éducation, plus de soixante journaux et des dizaines de stations de radio indépendantes. Il y a une culture de questionnement et de débat, et un véritable fleurissement culturel. C’est exactement cela qui est visé tant par les bombardements de Assad et de la Russie, que par les dizaines de milliers de miliciens soutenus et équipés par l’Iran, que par l’État Islamique, et même, par moments, par le Jabhat al-Nusra (ex-branche syrienne d’Al Qaïda).

     

     

     

     

     

     

    Les rebelles d’Alep ont perdu leur guerre et les Nations unies leur crédibilité sous les décombres d’une ville symbole « de l’effondrement de l’humanité », selon la représentante américaine à l’ONU, Samantha Power. Jamais le Conseil de sécurité, paralysé par la présence d’une Russie juge et partie, n’a été en mesure de peser en Syrie après cinq ans et demi de conflit.

    « Cette tragédie est le résultat de la sauvagerie des uns, de la complicité active et du cynisme absolu des autres, mais aussi de beaucoup de lâcheté et d’indifférence et, il faut avoir le courage de ledire, de l’impuissance de la communauté internationale et de l’ONU », a convenu François Delattre, le représentant français auprès des Nations unies.

     

     

     

    Des fêtes de fin d'année Irrésistibles avec Givenchy

    A l'approche de Noël, faites plaisir à vos proches en leur envoyant par courrier une carte de voeux personnalisée.

     

     

    L’annonce surprise, mardi 13 décembre, de l’ambassadeur russe Vitali Tchourkine d’un accord conclu sous la houlette de Moscou et d’Ankara avec les insurgés pour procéder à leur évacuation rapide d’Alep est l’épilogue du « hold-up » diplomatique et militaire du Kremlin sur cette crise.

    A l’heure où le régime d’Assad et son allié russe sont en train de liquider l’opposition syrienne, c’est un récit des événements falsifié qui est en train de l’emporter, estime l’historienne Marie Peltier. LE MONDE | 14.12.2016

    Symbole d’une débâcle sur un plan éthique – l’Europe et les Etats-Unis ayant, par leur désengagement, accordé de facto un blanc-seing au régime Assad et à ses alliés. Triomphe aussi sur le plan de la propagande et de la confusion. Au moment où les civils d’Alep-Est, massacrés à grande échelle par les pouvoirs de Damas et Moscou, tentent de fuir les bombardements aveugles, une narration d’inversion des réalités semble à certains égards l’emporter.

    Evacuation « hors des yeux du monde »

    Les rebelles d’Alep ont perdu leur guerre et les Nations unies leur crédibilité sous les décombres d’une ville symbole « de l’effondrement de l’humanité », selon la représentante américaine à l’ONU, Samantha Power. Jamais le Conseil de sécurité, paralysé par la présence d’une Russie juge et partie, n’a été en mesure de peser en Syrie après cinq ans et demi de conflit.

     

    « Cette tragédie est le résultat de la sauvagerie des uns, de la complicité active et du cynisme absolu des autres, mais aussi de beaucoup de lâcheté et d’indifférence et, il faut avoir le courage de ledire, de l’impuissance de la communauté internationale et de l’ONU », a convenu François Delattre, le représentant français auprès des Nations unies.

     COMPTE RENDU Alep : la relative indifférence des candidats à la présidentielle 2017 Aussi bien à gauche qu’à droite, les candidats à la présidentielle sont peu nombreux à avoir réagi à tragédie humanitaire qui frappe la deuxième ville de Syrie.

     

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    A l'époque les massacres de hama et Homs en 1980 restaient cachés, internet et les réseaux sociaux étaient fermés. maintenant on assiste en temps réel aux massacres en toute 

    À Alep, une fin dans le sang et les flammes La deuxième ville de Syrie serait en train de retomber, cette nuit, aux mains du régime de Bachar al-Assad.…FRANCEINTER.FR|PAR OLIVIER BÉNIS
     
    La reprise de la cité antique dimanche, ainsi que la lenteur de la reconquête de Mossoul par les Irakiens, peut être considérée comme des victoires militaires pour les djihadistes, après de nombreuses défaites ces derniers mois, notamment en Libye. Ce revers dans une ville où Vladimir Poutine avait organisé un concert symphonique en mai pour en célébrer la libération, illustre la difficulté de l’armée de Bachar Al-Assad, engagée dans la reconquête d’Alep, à combattre sur plusieurs fronts en même temps, en dépit du soutien aérien de la Russie et celui au sol de milices chiites libanaise, irakienne et iranienne.

    L'EI a probablement récupéré des armes anti-aériennes à Palmyre

    Le groupe État islamique (EI) a probablement mis la main sur des armes anti-aériennes en reprenant dimanche la ville syrienne de Palmyre, dont les djihadistes avaient été chassés neuf mois auparavant par le régime, a indiqué aujourd'hui un général américain.

    Le Pentagone avait fait savoir mardi que les troupes du président Bachar al-Assad avaient quitté "très rapidement" la cité antique face à "probablement l'une des contre-attaques les plus significatives" menées par l'EI."En conséquence, l'EI a pris tout le matériel laissé sur place par le régime. Cela pourrait comprendre des véhicules blindés, de l'artillerie", avait relevé Jeff Davis, porte-parole du Pentagone.

    »Syrie : Daech reconquiert le site antique de Palmyre

    Mercredi, le général Stephen Townsend, qui commande la campagne aérienne de la coalition anti-EI en Irak et en Syrie dirigée depuis l'été 2014 par les Etats-Unis, a fourni des précisions sur le matériel sans doute tombé aux mains des djihadistes. "Nous pensons que cela inclut des véhicules blindés et différentes armes à feu et armes lourdes, peut-être des équipements de défense anti-aérienne", a-t-il indiqué lors d'une vidéo-conférence depuis Bagdad.

    "En gros, tout ce dont ils s'emparent représente une menace pour la coalition, mais nous pouvons maîtriser ces menaces et nous le ferons", a poursuivi le général.

     Les derniers attentats arrangent les affaires de Bachar El-Assad tout en répondant aux intérêts de Daech. Quoi qu’il en soit, tout règlement international de la crise syrienne nuirait finalement aux deux. courrier international Publié le 17/11/2015 - 16:47

    Car la situation la plus profitable, aussi bien pour Daech que pour Assad, serait la perpétuation de la situation telle qu’elle est depuis trois ans. Pour les deux, c’était la meilleure garantie de survie puisque l’existence de l’un renforce celle de l’autre.

     
    En attendant, des gens meurent…
     

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