• Avoir 20 ans en 2020.

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    «Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin»,«Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller». «C'est difficile, car la pandémie ( et ses conséquences sociales, environnementales, psychologiques... ) sont par essence imprévisibles et mondiale»,

    Spleen, de Baudelaire / Ferré (1967) : HK - Petite Terre (officiel)

     

    Patients, soignants, jeunes, personnes en précarité... La pandémie a aussi un impact psychologique

    Effets directs du virus ou du confinement, le poids de la pandémie de Covid-19 sur la santé mentale des Français n'est pas à négliger.

    17:29 - Patients, soignants, jeunes, personnes en précarité... La pandémie a aussi un impact psychologique - LIBERATION.FR

     

    L'ONU «déçue» des résultats du sommet du G20 organisé par l'Arabie
     
    Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, est «déçu» des résultats du sommet du G20 pour la dette et le climat, même s'il salue les engagements liés aux vaccins contre le Covid-19, a déclaré lundi 23 novembre son porte-parole.
     
    «Sur la question du changement climatique, il est déçu par le langage final qui ne reflète pas le mouvement mondial constaté dans le milieu des affaires et parmi plusieurs gouvernements à l'égard de la neutralité carbone», a enfin relevé le porte-parole du secrétaire général de l'ONU. Dans leur communiqué, les grandes puissances du G20 se bornent à promettre de «faire face aux défis environnementaux les plus pressants».

     

    A lire aussi : 2 degrés avant la fin du monde  Par Enkolo dans Accueil le 13 Octobre 2018 

    Face à la hausse de la pauvreté en France, les associations d’aide alimentaire en flux tendu:   Explosion de la pauvreté, bénévoles fragiles face au Covid-19, dons incertains : la crise sanitaire et économique a mis sous tension les associations d’aide alimentaire, qui accompagnent 5 millions de personnes en France.

     

    "Conséquences pires que la crise de 2008"

     

    D’autant plus que tout le monde anticipe une longue crise sociale. "On anticipe des conséquences pires que celle de la crise de 2008", s’inquiète Patrice Blanc. Pour Valérie Bettinger de la Croix Rouge, "il faut qu’on anticipe et accompagne ces publics dans les mois à venir, sur le plan de l’aide alimentaire mais aussi psychologique" car "la crise va augmenter le besoin d’écoute".

     

    09:05 - Face à la hausse de la pauvreté en France, les associations d'aide alimentaire en flux tendu - SUDOUEST.FR

     

    A lire aussi «C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés

     

    J'ai été tout de suite interpellée par le titre de une de l'édition du 28 octobre : « Avoir 20 ans en 2020. » Votre journaliste est peut-être trop jeune pour se souvenir d'un titre proche d'une œuvre qui en son temps fit polémique : Avoir 20 ans dans les Aurès ( film français réalisé par René Vautier et sorti en 1972) .
    Moi j'ai eu 20 ans en 1956. Étant une fille, pas de service militaire. Et, époque heureuse, dès la fin de mes études, une situation. Donc je suis une favorisée, et j'en ai conscience. Je n'ai pas de leçon à donner et je m'en garderais bien. Mais il n'y a pas que le souvenir des 20 ans de ma génération... Avoir eu 20 ans en l'année 1914, 1915 et les suivantes... En 1940...

     

    A lire aussi «C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés : Un Monde sans Humains ? , MAN


    « Avoir 20 ans en 2020 » dans un pays d'Amérique latine, au Moyen-Orient, ou dans bien d'autres régions du monde...
    Pas facile d'avoir 20 ans sous couvre-feu à l'âge où l'on danse, où l'on refait le monde jusqu'au bout de la nuit... Et de citer le chef de l'État parlant de « sacrifice terrible ». Ou de « drame absolu » d'après Alain Mergier, sociologue, cité dans l'article.
    Si nos jeunes et moins jeunes ont le loisir de se rendre dans les cimetières militaires, ou du côté des monuments aux morts, ils pourront se faire une idée s'« il n'a jamais été aussi difficile de se projeter dans l'avenir car il n'a jamais semblé si incertain ».
    Heureusement, il y a dans la suite de l'article quelques témoignages rassurants...
    Béatrix Pichonneau
     
    « C'est dur d'avoir 20 ans en 2020 », affirmait le président de la République le 14 octobre. Il est incontestable que la jeunesse hérite d'un monde qu'elle n'a point fait, que celui-ci ne baigne pas dans l'harmonie, que la crise sanitaire complique les existences de toutes les classes d'âge. Néanmoins, cela n'autorise personne à négliger le passé. Si la jeunesse s'estime de nos jours maltraitée, que pourrions-nous dire de la génération qui eut 20 ans en 1870 ou à Verdun en 1917, au fort de Compiègne en 1942 ou dans les Aurès en 1954 ? Et même de celle de 1968 qui se révolta contre l'ordre établi, contre des valeurs surannées et étouffantes ?
    Célèbres sont les deux premières phrases d'Aden Arabie de Paul Nizan : « J'avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c'est le plus bel âge de la vie. » Impérissable avertissement que rien n'interdit de prendre pour soi, hic et nunc. Pour autant, cela ne saurait dispenser une fille ou un garçon de 20 ans de regarder objectivement les souffrances du passé. Les délices ou poisons de l'existence ne se jugent pas seulement à la lecture du présent et aux présupposés d'un avenir plus ou moins problématique. Le bonheur, ce gros mot, c'est un peu plus compliqué que certaines interrogations justifiées ou contraintes momentanées.
    Jean-Pierre Lautman
     

    À découvrir Confinement en Ehpad et qualité de vie des résidents.

    M. P. Nouaille-Degorce
      lire la suite


    09:34 - Avoir 20 ans en 2020. Il est incontestable que la jeunesse hérite d'un monde qu'elle n'a pas fait. - LA-CROIX.COM

    Quelle sera la physionomie de la planète à neuf ou dix milliards d'humains, d'ici une trentaine d'années ? Car c'est une certitude, si l'explosion est derrière nous, la population mondiale va continuer à croître inexorablement. Mais aussi très inégalement.
     
    Jamais, probablement, la Terre n'aura connu de tels grands écarts, déclinés à l'infini : le taux de fécondité du Niger demeure à plus de sept enfants par femme quand celui de la Corée du Sud est tombé à moins d'un enfant par femme ; neuf pays concentreront à eux seuls plus de la moitié de la croissance mondiale – Inde, Nigeria et Pakistan en tête –, tandis que 26 autres verront leur population décliner d'au moins 10 % – dont la Chine et la Russie ; la poussée démographique de l'Afrique subsaharienne et de l'Asie centrale côtoiera le déclin numérique de l'Europe centrale et orientale ; et l'irrésistible attrait pour les mégapoles s'accompagne de l'inéluctable désertification de régions entières...
     

    Ainsi, deux tiers des humains seront des citadins en 2050. Et Delhi détiendra la palme de la mégapole la plus peuplée du monde dès 2028, alors même que la capitale indienne suffoque déjà. Dans ce contexte, comment vivre, et vivre bien, sur cette planète urbaine ? Delhi court après ses problèmes chaque jour plus dantesques de densité de population et de constructions, de pollution, de circulation, d'eau, d'assainissement, d'approvisionnement, etc. Ses défis sont à l'image de ceux des 43 villes dans le monde qui, dans trente ans, compteront plus de dix millions d'habitants.

    18:19 - Covid-19 : Angela Merkel «inquiète» de la lenteur des discussions pour fournir le vaccin aux plus pauvres - LEFIGARO.FR

    09:01 - France - ENTRETIEN. « L'espèce humaine est la plus violente envers le sexe féminin », selon Pascal Picq - OUEST-FRANCE.FR


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