-
" A droite toute "
"... la Constitution Française stipule, dans l'article 1er de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen qui est son préambule, que "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits".
Le concept de préférence, rebaptisée priorité, nationale, qui est le coeur du programme du FN, est en totale contradiction avec la première phrase de notre constitution. "Bienvenu sur la Horde TV ! Tout nouveau, tout chaud, voici notre JT antifa décalé qui a pour vocation de mettre en avant les principales actualités de ces dernières semaines. Il s'agit là du premier numéro qui est consacré à l'actualité du mois de…LAHORDE.SAMIZDAT.NET
LAHORDE.SAMIZDAT.NET
http://lahorde.samizdat.net/2016/04/07/video-la-horde-tv-1/
"Les minorités athées non criantes, non bigotantes et mal bêtifiantes sont méprisées et bafouées, je pèse mes mots, au profit de grotesques manifestations incantatoires d'une secte en robe dont le monothéisme avoué est une véritable insulte à Darwin, aux religions gréco-romaines, et à ma sœur qui fait bouddhiste dans un bordel de Kuala-Lumpur." Réponse desproges
A droite toute - YouTube
- A droite toute - YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=xER5D_P8-Ko
En Europe, les mouvements et les partis d'extrême droite prospèrent. Enquêtes en Croatie, en Pologne, en Allemagne et en France pour déterminer les points communs et les différences entre ces différentes formations.
Quel que soit le pays, les slogans et les obsessions restent les mêmes : haine des migrants et des réfugiés, peur de l'islam, rejet des structures démocratiques et des élus, nationalismes exacerbés, retour aux valeurs traditionnelles. L'extrême droite en Europe semble de plus en plus présente et visible, et ses idéaux influencent plus ou moins ouvertement les politiques de tous bords. Des discussions de comptoir animées aux discours efficacement pensés des leaders charismatiques, les auteurs d'À droite toute ont étudié la progression du spectre du populisme de droite qui hante les démocraties européennes.
Inquiétante Croatie
Le Front national en France, Pegida et Alternative pour l'Allemagne (AFD) outre-Rhin, le gouvernement polonais bâillonnant les médias : autant de sujets qui font régulièrement les gros titres. Mais la situation en Croatie est souvent ignorée, alors qu'elle s'avère tout aussi inquiétante : une profonde crise économique, qui s'ajoute à la question des migrants, pousse le gouvernement à prôner une politique ultra-nationaliste, et les néo-nazis paradent ouvertement aux quatre coins du pays. Les auteurs donnent la parole à des citoyens et des décideurs politiques des divers camps en présence, tandis que des chercheurs s'efforcent d'analyser les ressorts de la xénophobie. Un tableau saisissant de la crispation actuelle.
COMPTE RENDU
Au Danemark, la traque aux soutiens des réfugiés
La condamnation d'un couple qui avait aidé une famille syrienne à entrer dans le pays pour trafic d'être humain a indigné de nombreux Danois.
"Envoyé Spécial" : Marine le Pen - la bataille des mots - 14/01 : Marine Le Pen : la bataille des mots - YouTube
>extrême-droite, Europe, populisme, parti politique, fascisme
contre le nationalisme et toutes les différentes formes de fascismes:
"Comment vaincre le racisme?
Pour répondre à cette question, nous devons accorder une attention particulière aux forces qui ont produit et qui continuent de reproduire le raci-sme. Elle requiert aussi une analyse soignée des forces sociales qui peuvent bénéficier de l'oppression raciale.
Nous entendons par racisme soit une négation de l'égalité de tous les êtres humains ou une discrimination sociale, économique ou politique envers certains groupes raciaux.
Les racines du racisme
Le capitalisme s'est développé comme un système mondial basé sur l'exploitation des travailleurs-euses, des esclaves et des paysan-ne-s, qu'ils soient noir-e-s, brun-e-s, jaunes ou blancs/blanches. Au 16e et 17e siècles, le système capitaliste s'est d'abord développé en Europe de l'Ouest et dans les Amériques. Au 18e et 19e siècle, l'Afrique et l'Asie furent progressivement intégrés dans la zone d'influence du capitalisme. En Amérique, de vastes plantations furent mises sur pied. S'appuyant sur l'esclavage, il s'agissait d'entreprises capitalistes qui exportaient des produits agricoles. (...)
Ainsi Placé en garde à vue pendant dix heures, soumis à des relevés d'empreintes et à des prélèvements ADN, Ryan a été déféré seul, sans avocat, ni conseil, devant le procureur de la République, qui l'a assigné à comparaître le lendemain devant le juge des enfants. Récit.
Races et Empire
Le racisme est donc le fruit de l'esclavage et du capitalisme. Une fois le racisme créé, des développements ultérieurs du capitalisme vont maintenir et entretenir cette créature des classes dominantes. ( ....)
Le racisme aujourd'hui
Il n'y a pas de doute : le capitalisme a donné naissance au racisme. Le racisme, comme idéologie, a permis de justifier l'impérialisme et l'esclavage. Le racisme, comme forme de discrimination et d'oppression, rend possible un degré élevé d'exploitation et devient ainsi un facteur important du développement capitaliste. (...)
De cette façon, la rage des travailleurs et des travailleuses est détournée vers d'autres salarié-e-s (avec lesquel-le-s ils et elles ont presque tout en commun) au lieu d'être dirigée contre les capitalistes (avec qui les travailleurs et les travailleuses n'ont pratiquement rien en commun). Un simulacre d'intérêt commun est créé entre salairé-e-s et patrons d'un même pays.
Qui profite de tout cela?
Le racisme ne profite à aucun-e salarié-e. Même les ouvrier-e-s qui ne sont pas directement opprimé-e-s par le racisme y perdent au jeu, parce que le racisme divise la classe ouvrière. Les travailleurs blancs et les travailleuses blanches américain-e-s, par exemple, ne tirent aucun avantage de l'existence d'une minorité appauvrie et opprimée, formée de travailleurs noirs et des de travailleurs noiresaméricain-e-s qui peuvent être utilisé-e-s pour concurrencer les salaires et diminuer les conditions de travail et de vie.
Pourquoi les idées racistes sont-elles acceptées ?
Aucun des arguments élaborés dans cet article ne nie la possibilité que des fractions de la classe ouvrière puissent recevoir temporairement des avantages de l'oppression raciale dans des circonstances spécifiques. Par exemple, la petite classe ouvrière blanche sud-africaine a reçu de véritable bénéfices de l'apartheid entre 1920 et 1980. Mais de façon générale, l'oppression raciale va fondamentalement à l'encontre des intérêts de la majorité des travailleurs et travailleuses, peu importe la couleur de leur peau.
De plus, les membres de la classe ouvrière entrent en compétition les unes avec les autres pour une quantité limitée d'emplois, de logements, etc. Face à cette situation, il est possible qu'ils et elles en viennent à blâmer d'autres groupes de la classe ouvrière pour leurs problèmes. Lorsque ces autres groupes sont culturellement ou physiquement distincts dans leur apparence, ce ressentiment peut être exprimé en des termes racistes: « les maudits immigrants volent nos jobs ».
Les opprimé-es divisé-es
Avec une vue d'ensemble, il est clair que le racisme est un produit du capitalisme. Fondamentalement, il va à l'encontre des intérêts de la classe ouvrière et paysanne.
Les intérêts de classe de cette élite lient ses membres au système capitaliste. Les chefs de police, les maires et les officiers des minorités ethniques sont tout autant les défenseurs du capitalisme que leurs homologues blancs. Ces groupes prendront le parti de l'élite blanche, si celle-ci leur permet de participer aux bénéfices.
Combattre le racisme
C'est le capitalisme qui produit continuellement les conditions permettant le développement de l'idéologie et de l'oppression raciste. Il va de soit qu'une véritable lutte contre le racisme peut seulement être menée par la classe ouvrière et paysanne. Ce sont les seules forces capables de renverser le système capitaliste. Le renversement du capitalisme fera en sorte de saper fondamentalement les racines sociales du racisme. Le renversement du capitalisme exige toutefois l'unification de la classe ouvrière et de la paysannerie à un niveau international, peu importe leur couleur ou leur nationalité.
L'unité de la classe ouvrière ne peut être construite que sur la base d'une opposition claire et résolue contre toute forme de racisme. Si les autres segments de la classe ouvrière ne s'opposent pas au racisme, elles créent une situation par laquelle les nationalistes parviennent à lier les segments opprimés de la classe ouvrière à leur propre bourgeoisie, puis les amener vers des campagnes «d'achat noir» et de bloc électoral. Les alternatives «lutte-de-classistes» et anarchistes doivent se présenter comme une alternative viable si elles veulent gagner le soutien de la classe ouvrière dans son ensemble.
Il n'y a pas de contradiction entre la lutte des classes et la lutte contre le racisme. L'une ne peut réussir sans l'autre.
Par la Worker's Solidarity Federation (Afrique du Sud), traduit par le groupe La Commune (NEFAC-Montréal)
On vous aura prévenu
: Vers un État d'Exception Permanent
Le business de la peur / intégrale
ASSIGNEZ-MOI !
Quelque Chose Se Prépare
État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique
Ni oubli, ni pardon
a bas l'etat policier
Pourquoi Je n'irais pas voter.?
"Ecolos : ennemis d'etat "
Couvre-feu : Les lois d'urgences
Mainmise sur les villes
Makhnovtchina - Les Béruriers Noirs.
Documentaire sur Nestor MAKHNO et la révolution en Ukraine-
Tags : Envoyé Spécial", Marine le Pen, la bataille des mots, reportage, Front Nationale, Extrême droite, On vous aura prévenu
- A droite toute - YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=xER5D_P8-Ko
-
Commentaires