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Nous, ouvriers
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la publication de Flores Magon.
nHORS CONTROLE - Luttes d'hier et d 'aujourd'hui
Bande annonce - Nous ouvriersDans les années 1960 au début des années 1980 : espoirs révolutionnaires, vagues de licenciments, crise énergétique, chômage... Et " enfin" Mitterrand Nous, ouvriers 3/3 - « … nos coeurs battent encore (1983 à nos jours)
"NOUS, OUVRIERS", une série événement diffusée sur 22 antennes régionales de France 3 Episode 1 : "Nos mains ont reconstruit la France" (1945-1963) Lundi 14 .Ils y ont crû : un président de gauche devait forcément les protéger. La désillusion est terrible. Dès 1983, la fermeture des Hauts-Fourneaux, les restructurations dans l’automobile, les délocalisations, l’intérim, le chômage, la précarisation de la vie assomme les ouvriers.
Celui qui a un emploi est un chanceux.Pour le conserver, il faut faire profil bas et endurer un rythme toujours plus soutenu. Les ouvriers qui, un temps, avaient espéré accéder aux classes moyennes, se retrouvent une nouvelle fois relégués en bas de l’échelle.
La fierté d’appartenance à une classe laborieuse a disparu avec cet espoir déçu. Désormais, on ne se dit plus «ouvrier». On préfère le nom d’ «opérateur» ou de «technicien». Sept millions de travailleurs sont ainsi «ouvriers» sans vraiment le savoir eux-mêmes.
A voir HISTOIRE DU SALARIAT "part 1&2" 1906-2006, SOCHAUX , CADENCES EN CHAINES .YOUTUBE.COMUn film de Claire Feinstein et Gilles Perez - Commentaire de Philippe TorretonProduite par 13 Productions pour France 3 et Histoire
cette "urgence" est de retour! petit rappel: à l'époque de cette citation, les défaites des mouvements émancipateurs anarchistes à signé la victoire et l'arrivée en nombre des dictatures fascistes. Si cela ce reproduit nous savons a quoi nous attendre.
Dimitri avait pour projet d'organiser début 2016 un forum antifasciste et anarchiste intitulé « Autogestion et communisme libertaire » à l'échelle de toute la Russie. Son arrestation coïncide avec les derniers préparatifs de cette initiative... Sa détention doit se prolonger au moins jusqu'en juin 2016.
Paris le 5 juillet à 13h30 pour appuyer notre camarade lors de son procès, et dénoncer la répression judiciaire dont le mouvement contre la « Loi Travail » fait l'objet. Nous invitons chacun.e à nous retrouver le mardi 5 à 13h au métro Cité pour nous rendre ensemble au jugement et soutenir LucAlors qu'un collectif antifasciste vient de voir le jour, suite à la mobilisation contre Pegida le 2 juillet, Solidaires Dieppe nous a fait parvenir un communiqué pour dénoncer la répression qui, une fois de plus, a visé les antifascistes :La police préfère s'en prendre aux militants antifascistes plutôt que d'empêcher l'extrême droite xénophobe de se déplacer librement dans les rues de Dieppe
A lire Dieppe : la police avec Pegida contre les antifas
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Depuis 1958, la France s'est donc profondément transformée, et à un rythme qui s'accélère. Le meilleur exemple de cette accélération est sans doute la révolution informatique, qui touche le grand public depuis les années 1980 environ : c'est un domaine où bien souvent les parents doivent se mettre à l'école de leurs enfants... Rien d'étonnant à ce que certains se sentent dépassés, d'autant que ces mutations très rapides ont lésé des catégories de la population, comme par exemple les paysans ou les ouvriers touchés par le chômage. On peut se demander aujourd'hui en quoi la persistance des inégalités et la montée du communautarisme influencent le vote des Français.BANDE ANNONCE : Fight Club - Le film noir du consommateur - YouTube « Est-ce que Fight Club est un bon film ? Il est tellement bourré d'idées explosives et d'humour féroce que les gardiens de la moralité se mettent à crier : "Danger !" C'est donc un bon film. » (magazine Rolling Stone)
"Effectivement, nous sommes au cœur de ce paradoxe : c’est parce que nous ne sommes pas grand chose pour cette société que nous en sommes quelque part, un peu libérés. Nous on n’a pas misé un kopec sur ce monde alors on a pas besoin de faire l’autruche à mesure qu’il s’enfonce. Si on y réfléchit, on ne lutte pas contre la précarité mais à partir d’elle.
Alors il va falloir leur dire à tous ces gens qui s’inquiètent pour nous ou de nous : on n’a pas peur de l’avenir, c’est votre avenir qui a peur de nous. Ce n’est pas nous qui avons peur de la rue, du changement, du soulèvement. Nous, on n’a pas peur de perdre notre boulot ou nos repères, nos petits privilèges et notre confort. Nous en s’en fout complètement de votre monde, ce qu’on veut, c’est tenter quelque chose, quelque chose de nouveau, d’inédit, d’improbable. Et vous nous ferez pas croire que le résultat pourrait être pire que le merdier que vous nous avez légué. « Mais qu’est-ce que vous proposez ? » foutez-vous la au cul votre question. Non seulement il faudrait que nous soyons jeunes et cons mais en plus « jeunes à proposition ». La vie c’est pas un clip pour la présidentielle, on ne propose rien, on invite, au bouleversement, au soulèvement, à l’insurrection. Des idées on en a et on en aura et ça tombe bien car vous allez mourir bien avant nous".
Loi Travail : des étudiants s'expriment sur la « jeunesse » du mouvement - publié le 22 mars.
publié le 22 mars.
LUNDI.AM"Nous, ouvriers"Créé le mercredi 06 juillet 2016
la publication de Flores Magon
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"Nous, ouvriers"Créé le mercredi 06 juillet 2016Fight Club Créé le mercredi 06 juillet 2016
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