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la série “L'Effondrement”
Dans cette guerre économique, les humaines et humains ne sont qu'une variable d'ajustement.
Gerbant."
De la servitude moderne
« Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s'effondrer.
Mon pessimisme sur tout ce qu'elle fait pour nous entraîner dans sa chute. »
Seulement un mauvais rêve ?
Les lobby comme les lobby pro plastiques, ainsi que d'autres, on fait reculer les avancés écologiques d'avant la pandémie.
Moi je vois pas comment ça pourrait s'arranger
L'humanité refuse de voir la vérité
Elle fonce droit dans le mur et détruit la nature
Elle transforme la terre en une benne à ordures
Et oui l'humanité est en train d'échouer
Elle ne parle que de fric, de profits et de blé
L'apocalypse est pour demain (apocalypse)
L'apocalypse est pour demain (apocalypse)
L'apocalypse est pour demain (apocalypse)
Bientôt la fin du genre humain
Bientôt la fin du genre humain
APOCALYPSE - les Sales Majestés-
A lire Seulement un mauvais rêve ?
"Le seul moyen qu'on a pour se protéger aujourd'hui, va nous tuer demain. C'est comme si en cas d'attaque nucléaire on allait s'abriter dans un bunker en amiante".
FRANCEINTER.FR
Un masque : 4h d'utilisation puis 450 ans de plastiqueLa pandémie fait chuter le financement, privé et public, des pays pauvres
Les inégalités se creusent, pas seulement en termes de revenus mais aussi liées à la fracture numérique. Les destructions d’emplois pourraient atteindre les 200 millions.
Aucun pays n’est épargné par le choc de la pandémie. Beaucoup de pays en développement (90 sur 122 États à revenus faibles et moyens) sont entrés en récession, note un rapport de l’OCDE, mettant en avant l’impact sur le tourisme, les matières premières et l’industrie.
Surtout, s’inquiète l’organisation internationale, cela va nuire au développement, ralentir la trajectoire fixée en 2015 par les Nations unies pour atteindre les dix-sept objectifs de développement durable d’ici à 2030 (pauvreté, climat, santé, éducation…), avec même un risque de retour en arrière. Pour la première fois depuis vingt ans, la pauvreté repart à la hausse: plus de 100 millions de personnes supplémentaires risquent de tomber dans l’extrême pauvreté.
Les inégalités se creusent, pas seulement en termes de revenus mais aussi liées à la fracture numérique. Les populations vulnérables, en particulier les jeunes et les femmes, n’ont plus accès aux services de base comme la santé et l’éducation. Les destructions d’emplois
Collapsologie, survivalisme, entraide : entretien avec les créateurs de la série “L'Effondrement”
14/04/20 13h28“On n’est pas des prophètes”, clament Bastien Ughetto, Guillaume Desjardins et Jeremy Bernard (du collectif Les Parasites), coréalisateurs de la série L'Effondrement, qui réagissent pour la première fois à la crise sanitaire.Ceux qui connaissaient la série L'Effondrement (d'abord diffusée sur Canal + fin 2019) ont peut-être eu un sentiment de déjà-vu depuis que le confinement a commencé. Supermarchés dévalisés, exode rural, sécession des plus aisés... Le scénario imaginé par le collectif Les Parasites - composé de Bastien Ughetto, Guillaume Desjardins et Jérémy Bernard - et inspiré par les théoriciens de la collapsologie, n'était pas si loin de ce qui s'est malheureusement produit avec la crise mondiale liée au coronavirus. A tel point que dans les commentaires, sur leur chaîne Youtube suivie par plus de 500 000 abonnés, certains pointent son caractère prémonitoire : “Ça y est, on y est”. Alors que les épisodes de la série sont diffusés au rythme d'un par mois sur internet (dernier en date, l'épisode 6, “La Maison de Retraite”), et qu'ils rencontrent un écho tout particulier en ce moment, les trois membres du collectif Les Parasites (qui s'apprêtent à lancer une résidence pour jeunes créateurs, L’Atelier 7) donnent leur lecture des événements.
Depuis combien de temps vous intéressez-vous à la collapsologie ?
Bastien Ughetto – Ça fait des années qu’on est sensibilisés à cette thématique, mais le mot “collapsologie” est arrivé après le début de notre réflexion. Il n’y avait pas encore eu le gros boum. On voulait faire une série qui parle de la fin du monde, mais vue d’un côté social et humain, à notre échelle. On voulait pouvoir s’identifier au sujet. Et on avait envie de questionner la fragilité du système. A l’époque, la première personne à qui on en a parlé, c’est l’un des fondateurs du programme spatial français, Jacques Blamont [décédé le 13 avril, quelques jours après cet entretien, à 93 ans, ndlr]. Il a écrit plusieurs ouvrages dont un qui s’appelle Introduction au siècle des menaces. Il parle de tous les dangers qui pèsent sur l’humanité. Et pour lui, l’un des plus importants, c’est la pandémie. On est en plein dedans maintenant.
Guillaume Desjardins – On avait provoqué un déjeuner avec lui car on cherchait des causes de l’effondrement. Ce qu’il redoutait le plus, c’était les pandémies, les famines, le terrorisme contre les centrales nucléaires, les tensions géopolitiques amenant des guerres et les armes bactériologiques. On s’est rendu compte que l’effondrement pouvait venir de plein de facteurs différents, et que tout était connecté, on a donc considéré que ce n’était pas notre sujet. Dans la série, on ne voit donc pas la cause de l’effondrement… On entend qu’il y a un embargo sur le pétrole. C’est tout.
L'EFFONDREMENT [BANDE ANNONCE]
L'EFFONDREMENT [EP2] La Station ServiceL'EFFONDREMENT [EP3] L'Aérodrome
L'EFFONDREMENT [EP4] Le Hameau
L'EFFONDREMENT [EP6] La Maison de Retraite
L'EFFONDREMENT [EP8] L'émission
L'effondrement : inéluctable ? par Vincent Mignerot
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Par Enkolo dans Accueil le 13 Octobre 2018
Tags : Collapsologie, survivalisme, entraide , entretien a, série, “L'Effondrement”, crise, crise climatique, bouleversement climatique
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