• Globalia : la création d’un «Nouvel Ennemi».

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    "Le meilleur des monde"
     

     

    Canada : la police a créé un couple de terroristes ( source le MondeLa gendarmerie royale a orchestré des accusations de terrorisme contre deux Canadiens en 2015. La justice a ordonné leur remise en liberté immédiate.

     

    Cela ressemble au scénario de Globalia de Jean Christophe Ruffin. Au sortir de la seconde guerre mondiale, et la guerre froide : des dirigeants d'entreprises ont décidé de créer des marchés communs, ou certes un semblant de liberté parfaite ...Mais avec un prix très cher

    «Un bon ennemi est la clef d’une société équilibrée », explique ainsi l’énigmatique et tout puissant Ron Altman dont nous nous apercevrons au final qu’il est loin d’être éloigné du monde de la finance planétaire désormais aux mains d’oligarques prêts à tout pour assurer leur pouvoir.
    Face au problème crucial auquel il est confronté – « nous n’avons plus d’ennemi digne de ce nom, nous avons trop affaibli les non-zones » – notre homme trouvera au final une solution pour le moins explosive : « il ne suffit plus de perpétuer les formes de la tragédie, il nous faut un héros pour l’incarner » telle sera sa nouvelle devise. Sa stratégie sera alors bâtie autour d’un axe  : la création d’un «Nouvel Ennemi».

     Technique de CRS: Comment transformer les gens en casseurs (technique de la nasse) dimanche 15 mai 2016Modifier l'article Cette vidéo explique une des techniques utilisée par les forces de l’ordre pour transformer des manifestants pacifiques en « casseurs », mais il faut bien définir le terme pour le cas présent. Durant ce genre d’évènement

     A voir / écouter  Justice nulle part | ARTE Radio ARTERADIO.COM, Infrarouge, vous êtes en Garde a Vue!  Infrarouge, vous êtes en Garde a Vue! - France 2 : 

     La loi renforçant Vigipirate présentée le 21 juin, a annoncé l'Élysée aujourd'hui. Comme déjà annoncé, le Parlement sera saisi d'une première loi pour prolonger jusqu'au 1er novembre "au maximum" l'état d'urgence, qui devait prendre fin mi-juillet.

    Il sera aussi saisi d'une seconde loi portant "une nouvelle posture Vigipirate, adaptée aux menaces" terroristes, pour "assurer la sécurité" des Français après la fin de l'état d'urgence, a expliqué l'Élysée. Le président Macron avait décidé, après l'attentat de Manchester, de prolonger à nouveau l'état d'urgence mis en place après les attentats du 13 novembre 2015 à Paris.

    En pleine controverse sur les projets sécuritaires de l'exécutif, État d'urgence: le Conseil constitutionnel censure l'interdiction de participer à des manifestations utilisée l'an dernier pour empêcher des centaines de personnes de manifester contre la loi travail.Les Sages ont estimé que le pouvoir donné au préfet d'"interdire le séjour" à certains endroits et à certaines dates de personnes "cherchant à entraver l'action des pouvoirs publics" était trop étendu.

    L'abrogation de cet article de loi de 1955 ne sera effective que le 15 juillet, date à laquelle prend fin l'état d'urgence, qui devrait toutefois être renouvelé jusqu'au 1er novembre. Le président Emmanuel Macron entend toutefois demander au Parlement que ce régime exceptionnel soit prolongé jusqu'au 1er novembre.

     

    Le Conseil constitutionnel a relevé que cette mesure d'interdiction de séjourner et de circuler pouvait être prise "sans que celle-ci soit nécessairement justifiée par la prévention d'une atteinte à l'ordre public". Et donc sans aucun rapport avec la menace terroriste. Un simple soupçon d'"entrave" à l'action des pouvoirs publics suffit.
     

    Le gouvernement avait aussi annoncé une loi qui rendrait pérennes certaines mesures exceptionnelles de l'état d'urgence, qui demeureront donc en place même une fois l'état d'urgence levé "notamment pour assurer de manière durable la sécurisation des grands événements culturels, récréatifs et sportifs".

    C'est sur cette base que le jeune homme qui a saisi le Conseil constitutionnel a été empêché de "séjourner dans certaines rues et arrondissements de Paris" lors d'une grande manifestation contre la loi travail, le 28 juin 2016. Son avocat Raphaël Kempf a salué une décision "remarquable" et déclaré à l'AFP: "En démocratie, il faut pouvoir manifester et entraver légalement l'action des pouvoirs publics."
     

    Car la recette « miracle » pour assurer la cohésion de Globalia, c’est la peur. Laquelle est agitée via trois « leviers » : le terrorisme, les risques écologiques et la paupérisation. Cela ne vous rappelle rien ?

    Or, survient un jour où Globalia est confronté à un grave problème … : elle n’a plus d’ennemi …. ! Ce qui, convenez-un, est un facteur important d’explosion sociale, la peur de l’autre, de la mort et du ciel qui peut nous tomber sur la tête, assurant, vous en conviendrez, une cohésion du plus bel effet.

    Les burocrates du BIM (Bureau d’identification de la menace), chargés de l’application concrète du slogan «La surveillance, c’est la liberté» tentent alors de trouver une « solution » .

    Suivez mon regard ….

    Bien évidement, la télévision de Globalia ne cesse de proclamer que les citoyens nagent en pleine « démocratie idéale  où chacun y est libre de ses actes ». Le hic ? La fâcheuse « tendance naturelle des êtres humains » … « d’abuser de leur liberté, c’est-à-dire d’empiéter sur celles des autres ».

    « La plus grande menace sur la liberté, c’est la liberté elle-même » prône un slogan « globalien ». Alors « comment défendre la liberté contre elle-même? » La solution « globalienne » est la suivante « en garantissant à tous la sécurité. La sécurité, c’est la liberté. La sécurité, c’est la protection. La protection, c’est la surveillance. La surveillance, c’est la liberté. »

    Une référence à peine voilée à la justification du Patriot Act US et aux autres lois sécuritaires déployées au niveau mondial … et prochainement en France ?

    La polémique sur l’Etat de droit se durcit L’approche de la présidentielle de 2017 tend les débats entre droite, gauche et extrême droite. LEMONDE.FR
     
     

    La Cour suprême de Colombie-Britannique a estimé vendredi 29 juillet que la police a manipulé et piégé un couple de Canadiens, déclaré coupable en 2015 d’activités terroristes. La Cour a ordonné sa remise en liberté immédiate.

     

    28 scénarios

    En 2013, la gendarmerie royale du Canada, alertée par les services de renseignement, a placé sous surveillance M. Nuttall, soupçonné de vouloir acheter du nitrate de potassium. Ce dernier, un marginal et ancien toxicomane, est ensuite contacté par des agents infiltrés.

     

    Pendant cinq mois, l’opération policière a « monté 28 scénarios allant d’un simple appel téléphonique à des rencontres complexes sur plusieurs jours », a rappelé la Cour suprême. Cette opération s’est terminée au matin du 1er juillet 2013 avec la pose de trois autocuiseurs avec des détonateurs désactivés devant le Parlement provincial, et l’arrestation du couple.« Le monde a assez de terroristes »

    « La police n’a pas le droit d’ouvrir une enquête (…) à moins d’avoir une suspicion raisonnable », a rappelé la Cour suprême. Or « la police avait très peu de preuves au début de l’opération d’infiltration pour soutenir tout soupçon raisonnable que M. Nuttall avait déjà été engagé dans des activités criminelles ».

    En donnant raison au couple, la juge Catherine Bruce a qualifié de « circonstances exceptionnelles » l’abandon de charges en raison d’un abus de procédure « au motif que l’écart de conduite de l’Etat porte atteinte à l’intégrité de la justice »« Le monde a assez de terroristes, nul besoin pour la police de créer davantage de marginaux qui n’ont ni la capacité ni la motivation suffisante d’agir par eux-mêmes », a conclu la juge.

    « Brebis galeuses »

    A la sortie de l’audience de la Cour suprême, la mère de John Nuttall a estimé n’avoir aucune raison de « haïr la police »« Dans la police, il y a des brebis galeuses comme celles auxquelles mon fils a eu affaire et j’espère que ces individus auront ce qu’ils méritent », a-t-elle ajouté.

    Dans un communiqué, le service des poursuites pénales du Canada, représentant du parquet fédéral, a dit avoir immédiatement fait appel de cet arrêt. La gendarmerie royale a pris acte de cette décision en rappelant sa mission de « détecter, perturber et prévenir les menaces contre la sécurité nationale ».

    via Michel Degros. Pour ceux qui comme moi ne savent pas ce qu'est le Pokemon Go..... Monde de merde :(“POKEMON GO” CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR CE CONTRÔLE MASSIF !

    La référence la plus Orwellienne est cette phrase:

    We may disclose any information about you (or your authorized child) that is in our possession or control to government or law enforcement officials or private parties.

    Nous pouvons révéler n’importe quelle information vous concernant (ou l’un de vos enfants) qui est en notre possession ou contrôlez par nos soins au gouvernement, aux autorités ou à des tiers.

     Nicolas Hernandez le but est avant tout de faire des profits et les données personnelles recueillies a se créer une base de donnée pour de futur consommateurs
    la publication de Stéphane Nouzarède.  Et pendant ce temps là...
     
    Photo de Stéphane Nouzarède.
     

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