La nouvelle chaîne d'information publique s'appellera « Franceinfo : » (oui, avec les deux points), Les joueurs du PSG font du rafting en Autriche, Maria Sharapova n'ira pas aux JO de Rio, Les élus parisiens planchent sur le nouveau modèle de kiosque à journaux.
Panem et circenses (littéralement « pain et jeux du cirque », souvent traduite par « Du pain et des jeux ») est une expression latineutilisée dans la Rome antique pour dénoncer l'usage délibéré fait par les empereurs romains de distributions de pain et d'organisation de jeux dans le but de flatter le peuple afin de s'attirer la bienveillance de l'opinion populaire (politique d'évergétisme)1. L'expression est tirée de la Satire X du poète latin Juvénal, qui lui donne un sens satirique et péjoratif2.
Celui qui ne bouge pas ne sent pas ses chaînes. Rosa Luxemburg
Arte diffusera un documentaire de 77 minutes entièrement dédié au média vidéoludique. Intitulé Jeux vidéo : les nouveaux maîtres du monde, il tente de décrypter la “gamification” de la société ainsi que l’influence de ce nouveau média de masse qui a accouché de "l'homo ludicus" et d'une "génération G" (Gamers).
Aujourd'hui, elle est souvent utilisée pour signifier la relation biaisée qui peut s'établir dans ces périodes de relâchement, ou de décadence, entre :
une population qui peut se laisser aller, se satisfaire de pain et de jeux, c'est-à-dire de se contenter de se nourrir et de se divertir et ne plus se soucier d'enjeux plus exigeants ou à plus long terme concernant le destin de la vie individuelle ou collective.
un pouvoir politique qui peut être tenté d'exploiter ces tendances « à la vie facile et heureuse » par la promotion de discours et deprogrammes d'action populistes ou court-termistes.
William Shakespeare La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l'on consent généreusement à leur donner, s'ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu'ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d'absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d'abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation. Voila bien l'étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l'Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd'hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l'on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n'aspirent finalement qu'à se laisser aller dans la danse macabre du système de l'aliénation. L'oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d'occulter notre condition d'esclave. Montrer la réalité telle qu'elle est vraiment et non telle qu'elle est présentée par le pouvoir constitue la subversion la plus authentique. Seule la vérité est révolutionnaire.» La Société du Spectacle, Guy Debor , Les nouveaux chiens de gardes
L'émission Game2: Winter sera diffusée en 2017 en Russie. Filmés 24 heures sur 24, les candidats devront survivre dans le froid sibérien, au milieu des ours et des loups. Et pour y parvenir, tout est permis.
La téléréalité va-t-elle dépasser toutes les limites? Une émission russe, à cheval entre le filmHunger Games et Koh-Lanta, et qui ne sera diffusée qu'en 2017, crée déjà la polémique,rapporte notamment The Guardian. Intitulé Game2: Winter, ce programme, né dans l'esprit du milliardaire russe Yevgeny Pyatkovsky, consiste à proposer à 30 candidats de survivre en milieu sauvage dans des conditions extrêmes. La règle du jeu est simple: il n'y a aucune règle... ou presque. Pour survivre, et espérer gagner ce «jeu», les participants sont autorisés à tout, et devront même signer des formulaires en cas de décès avant de s'engager.
Alors que le casting de l'émission a débuté, les avertissements de la production sont clairs: «Chaque participant donne son consentement, disant qu'il accepte le risque d'être mutilé, voire tué. 2000 caméras, 900 hectares et 30 vies. Tout est permis. Combats, alcool, meurtre, viol, tabagisme, tout.» Chaque candidat aura à sa disposition une Go Pro pour s'enregistrer et filmer ce qu'il subit. L'émission sera diffusée en ligne 24 heures sur 24.
Au-delà des risques d'affrontements entre participants, la rudesse du climat sibérien mettra à rude épreuve les candidats. Car l'émission sera tournée en hiver. Une saison où la température descend régulièrement en dessous des -40°C. De plus, ils devront survivre dans l'habitat naturel des ours et des loups. Le gagnant se verra remettre un prix de 1,6 million de dollars.
La police pourra intervenir... en 30 minutes
D'après le Siberian Times, les couteaux seront autorisés, mais les armes à feu interdites. La police pourra également intervenir si l'un des candidats commet un crime pendant l'émission. «Vous devez comprendre que la police viendra vous chercher, est-il écrit sur le règlement. Nous sommes sur le territoire de la Russie, et nous obéissons aux lois de la Fédération de Russie». Mais compte tenu du terrain de l'émission, les forces de l'ordre mettront près d'une demi-heure pour arriver sur place. Dans le quotidien russe, le milliardaire à l'origine de ce projet explique toutefois qu'il «refusera toute réclamation des participants, même s'ils devaient être tués ou violés».
Les participants devront être âgés d'au moins 18 ans et «mentalement sains», selon le règlement. «Le spectacle promet d'être international», a encore déclaré Yevgeny Pyatkovsky. «Cinq pays ont exprimé le souhait de le diffuser à leur public.» Selon lui, 60 personnes ont déjà présenté une demande pour participer, dont un Américain.
D'autres émissions de téléréalité avaient déjà fait parler d'elles dans le passé pour leur caractère extrême. Aux États-Unis, Born in the Wild (Né en pleine nature) proposait de suivre le quotidien de femmes sur le point d'accoucher en pleine nature, seules et sans assistance médicale. Sur la chaîne australienne SBS, l'émission Go Back Where You Come From (Retourne d'où tu viens) permet à ses participants de vivre dans des camps de réfugiés en Syrie, en Irak ou en Birmanie. Dans un épisode, les candidats ont subi une attaque de l'État islamique dans un camp syrien. Enfin, la Serbie propose actuellement une téléréalité sans aucune limite, mêlant bagarres, sexe, alcool et conflits en tout genre.
"Dès mon plus jeune âge, la première chose que j’ai perçue autour de moi, c’est la souffrance, non seulement celle de notre famille, mais aussi celle de mes voisins. Par intuition, j’étais déjà un rebelle. Je crois que mon destin s’est décidé alors." Buenaventura Durruti.
Mardi 24 septembre à 20 h 50 sur Arte. Pouvoir politique contre pouvoir économique. Une enquête au coeur de batailles, certes feutrées mais néanmoins sans merci, entre mondes politique et bancaire. La déroute financière de 2008, qui a entraîné une crise dévastatrice, a montré la fragilité du pouvoir politique face à une spéculation sans contrôle. Elle a aussi révélé qu'un Etat pouvait ne pas rembourser sa dette, exacerbant l'agressivité des marchés, qui réclament toujours plus de garanties aux gouvernements et mettent en péril les économies du Sud. Jusqu'en 2012, l'Europe, suivant l'axe du tandem «Merkozy», s'est rangée du côté de l'austérité. Mais l'élection de François Hollande a fait naître un nouvel équilibre au sein de l'Union. Le 28 juin 2012, lors du Conseil européen, les chefs d'Etat français, espagnol et italien ont ainsi fait plier la chancelière allemande : ce sera dorénavant l'Europe qui renflouera les banques suivi du documentaire sur Goldman Sachs. ( sur mon blog en savoir plus : goldman sachs)
Pendant la plus grande partie de l'histoire de l'humanité, les dirigeants qui étaient en position d'exercer le pouvoir étaient responsables de leurs actes, du moins pas intouchables. Le problème auquel nous devons faire face aujourd'hui est que nos responsables politiques et chefs d'entreprise ne sont pas tenus pour responsables de leurs actes. L'économiste Thomas Sowell le résume bien :
"Il est difficile d'imaginer une façon plus stupide ou plus dangereuse de prendre des décisions que de mettre ces décisions entre les mains de personnes qui n'en tireront pas les conséquences en cas d'erreur".
Lorsque les responsables politiques ou les décideurs économiques échouent, le pire qui puisse leur arriver est de ne pas être réélus ni renouvelés. Ils deviendront par la suite lobbyistes, conseillers ou consultants, donnant des conférences, gagnant ainsi de fortes sommes en plus de leur pension.
Selon LE MONDE| en date du 20.12.201 Après la destitution polémique de Dilma Rousseff en mai, le scénario de ce feuilleton à rebondissements se concentre sur son successeur Michel Temer.La sortie est prévue sur Netflix pour 2017 mais son créateur (José Padilha, réalisateur de Troupe d’élite et producteur de la série Narcos…) peut déjà envisager une deuxième saison. La série fondée sur « Lava Jato » (lavage express), le plus grand scandale de corruption de l’histoire du Brésil, promet d’avoir toutes les allures d’un House of Cards version brésilienne, avec ses mensonges, ses trahisons et ses drames. Mais le spectateur sera-t-il au rendez-vous ?
Donald Trump, Angelino Alfano ou encore Vladimir Poutine ont exprimé leurs condoléances à Angela Merkel après l'attaque du marché de Noël qui a frappé Berlin lundi soir.
Des dignitaires catholiques philippins et des responsables d'ONG se sont insurgés, ce lundi, contre le projet du président philippin, Rodrigo Duterte, de rétablir la peine de mort.
13:13Etats-Unis : Steven Mnuchin, ancien de Goldman Sachs, nommé secrétaire au Trésor le 30/ 11/2016 Alors que Donald Trump n’a eu cesse de fustiger « les élites de la finance » pendant la campagne présidentielle, Steven Mnuchin, qui a travaillé pour la banque Goldman Sachs, annonce qu’il sera secrétaire au Trésor dans la prochaine administration américaine.
Aucun chef d'État n'est toutefois arrivé dans le Bureau ovale en possédant une telle nébuleuse d'actifs que Donald Trump, d'où un risque sans précédent. Son empire hôtelier s'étend par exemple de la Turquie à l'Uruguay en passant par les Philippines et la Corée du Sud. Il possède des parcours de golf aux Émirats arabes unis, en Irlande ou encore en Grande-Bretagne.
La dénonciation des groupes de pression est un thème classique des élections américaines. Mais nul autre que Donald Trump, dont la victoire vient d’être confirmée par les grands électeurs, ne s’est mis aussi rapidement à adorer ce qu’il brûlait la veille, selon la juriste Anne Deysine.
Tous les candidats à la présidence et de nombreux présidents ont dénoncé l’emprise des groupes d’intérêt. Le premier fut sans doute James Madison qui explicite dans Le Fédéraliste n° 10 sa méfiance vis-à-vis des « factions » et les moyens à mettre en œuvre dans la Constitution pour limiter « leurs effets ».
Ces moyens sont la séparation verticale et horizontale des pouvoirs visant à la mise en place de contre-pouvoirs. Pourtant, le président Eisenhower stigmatisa les dérives de l’empire militaro-industriel mais rien ne changea. De même, Carter, puis Bill Clinton, qui fit campagne contre le Washington as usual en 1992.
Mais en 1996, il repoussa les limites des règles de financement des élections jusqu’à offrir une nuit à la Maison Blanche – dans la Lincoln bedroom – aux très gros donateurs, ce qui poussa le Congrès à finalement adopter la loi Mc Cain-Feingold en 2002. Puis le candidat Obama reprit la même antienne en 2008, en pleine crise économique et bancaire, avant de s’entourer des banquiers de Wall Street et de Goldman Sachs.
Le candidat Trump a bâti sa campagne sur deux grands thèmes : la dénonciation des accords commerciaux et la dénonciation de la corruption – le plus souvent légale – du système politique découlant de la mainmise des lobbyistes sur les élus et les membres du gouvernement. Pourtant, alors qu’il a fait la promesse de nettoyer le « marécage de Washington »,
Les milliards de Moscou - Documentaire ARTE HD Si la guerre froide est finie, dans certains secteurs, la tension monte entre l'est et l'ouest de l'Europe. De Londres à Moscou en passant par Berlin, .
Documentaire Les milliards de Moscou Russia reportage enquête inedit 2015 HD Documentaire Les milliards de Moscou Russia reportage enquête inedit 2015 .
Pour moi, tout courant d'idée qui admet la dictature — franche ou estompée, «droite» ou «gauche» — est au fond, objectivement et essentiellement, fasciste.
Pour moi, le fascisme est surtout l'idée de mener les masses par une «minorité», par un parti politique, par un dictateur. Le fascisme, au point de vue psychologique et idéologique, est l'idée de la dictature. VOLINE
on avait "responsable mais pas coupable",puis " à l'insu de mon propre gré" ,voilà le "coupable de « négligence » (ah merde , le Monde a oublié un "S" à négligence) mais dispensée de peine"
bon....allez expliquer à vos gosses le sens de tout ça, moi,je pourrais pas
Flores Magon avec Hana. "Le pouvoir n'est pas là où il se voit, montre ou cache, il est partout. Partout, donc, il faut résister à la manière de Diogène : voilà l'esprit libertaire." (Michel Onfray)
""Si la machine gouvernementale veut faire de vous l'instrument de l'injustice, envers notre prochain, enfreignez la !" " (Henri-David Thoreau) n nCelui qui ne bouge pas ne sent pas ses chaînes. Rosa Luxemburg
Dès mon plus jeune âge, la première chose que j'ai perçue autour de moi, c'est la souffrance, non seulement celle de notre famille, mais aussi celle de mes voisins. Par intuition, j'étais déjà un rebelle. Je crois que mon destin s'est décidé alors." Buenaventura Durruti. Story of Stuff (2007, OFFICIAL Version)
Pendant la plus grande partie de l'histoire de l'humanité, les dirigeants qui étaient en position d'exercer le pouvoir étaient responsables de leurs actes, du moins pas intouchables. Le problème auquel nous devons faire face aujourd'hui est que nos responsables politiques et chefs d'entreprise ne sont pas tenus pour responsables de leurs actes. L'économiste Thomas Sowell le résume :
"Il est difficile d'imaginer une façon plus stupide ou plus dangereuse de prendre des décisions que de mettre ces décisions entre les mains de personnes qui n'en tireront pas les conséquences en cas d'erreur". Lorsque les responsables politiques ou les décideurs économiques échouent, le pire qui puisse leur arriver est de ne pas être réélus ni renouvelés. Ils deviendront par la suite lobbyistes, conseillers ou consultants, donnant des conférences, gagnant ainsi de fortes sommes en plus de leur pension. Personne dit qu' ils sont tous pourris à l' origine. ils sont juste a l'image du système qu ils défendent, c est a dire que la pourriture fait parti de la fonction même. la personne la mieux intentionné du monde de par la structure du capitalisme , finirait par être un salopard comme les autres a leur place et puis niveau simpliste dire que critiquer les politiciens c est d extrême droite ça se pose là. car il me semble qu une base de l extrême droite c est l'état fort, et que appeler a voter c est bien défendre l'état * Un grand classique : "L'île aux fleurs" de Jorge Furtado (1989). LE CAPITALISME RÉSUMÉ EN 12 MINUTES
Les nouveaux chiens de gardes « La pensée bourgeoise dit toujours au Peuple : " Croyez-moi sur parole ; ce que je vous annonce est vrai. Tous les penseurs que je nourris ont travaillé pour vous. Vous n'êtes pas en état de repenser toutes leurs difficultés, de repasser par leurs chemins, mais vous pouvez croire les résultats de ces hommes désintéressés et purs. De ces hommes marqués d'un grand signe, ces hommes qui détiennent à l'écart des hommes du commun pour qui ils travaillent, les secrets de la vérité et de la justice. " »Croyez-moi sur parole... ZEC plus Ultra dimanche, 23 mars 2014 Paul Nizan - Les Chiens de garde
Eux détenteur du pouvoir, devront se servir des instruments du pouvoirs : armée, moraliste, mouchards et policiers. Depuis plus de 3000 ans, le poète hindou Maha Bharata à formulé sur ce sujet l'expérience des siècles : « L'homme qui roule dans un char ne sera jamais l'ami de l'homme qui marche à pied ! » Le principe d'autorité – c'est ainsi que la chose se nomme – exige que le supérieur n'ait jamais tort, et que dans ces paroles, il est le dernier mot. Mais il faut que les ordres soient observés. Cela simplifie tout : plus besoin d'hésitation, de raisonnement, d'hésitations, de débats , de structures. Les affaires marchent alors toutes seules, mal ou bien. Et quand le maitre n'est plus là pour commander, n'a ton pas des formules toutes faites, des ordres, des décrets ou des lois, édictés aussi par des maitres absolus ou des législateurs à plusieurs degrès. Donc la conquête du pouvoir ne peut servir qu'à en prolongé la durée avec celle de l'esclavage existant/ correspondant Invasion.Los.Angeles version fr partie 1 sur 2 , Invasion.Los.Angeles version fr 2 partie
Ces comités " révolutionnaires" sont une bonne idée. Cela explique aussi pourquoi el Assad et ses sbires s'acharnent a les détruire. Empêcher toute organisation, vie qui ne soit pas sous son contrôle.
" Il y a encore près de 400 conseils locaux et provinciaux qui organisent la vie quotidienne sous les bombes dans les zones libérées. A peu près la moitié d’entre eux sont directement élus, et l’autre moitié ont des formes quasi-démocratiques, pratiquant la démocratie interne ou le consensus communautaire. Il y a des syndicats indépendants, des centres de femmes, des projets communautaires de santé ou d’éducation, plus de soixante journaux et des dizaines de stations de radio indépendantes. Il y a une culture de questionnement et de débat, et un véritable fleurissement culturel. C’est exactement cela qui est visé tant par les bombardements de Assad et de la Russie, que par les dizaines de milliers de miliciens soutenus et équipés par l’Iran, que par l’État Islamique, et même, par moments, par le Jabhat al-Nusra (ex-branche syrienne d’Al Qaïda).
Les rebelles d’Alep ont perdu leur guerre et les Nations unies leur crédibilité sous les décombres d’une ville symbole « de l’effondrement de l’humanité », selon la représentante américaine à l’ONU, Samantha Power. Jamais le Conseil de sécurité, paralysé par la présence d’une Russie juge et partie, n’a été en mesure de peser en Syrieaprès cinq ans et demi de conflit.
« Cette tragédie est le résultat de la sauvagerie des uns, de la complicité active et du cynisme absolu des autres, mais aussi de beaucoup de lâcheté et d’indifférence et, il faut avoir le courage de ledire, de l’impuissance de la communauté internationale et de l’ONU », a convenu François Delattre, le représentant français auprès des Nations unies.
A l'approche de Noël, faites plaisir à vos proches en leur envoyant par courrier une carte de voeux personnalisée.
L’annonce surprise, mardi 13 décembre, de l’ambassadeur russe Vitali Tchourkine d’un accord conclu sous la houlette de Moscou et d’Ankara avec les insurgéspour procéder à leur évacuation rapide d’Alep est l’épilogue du « hold-up » diplomatique et militaire du Kremlin sur cette crise.
A l’heure où le régime d’Assad et son allié russe sont en train de liquider l’opposition syrienne, c’est un récit des événements falsifié qui est en train de l’emporter, estime l’historienne Marie Peltier. LE MONDE| 14.12.2016
Symbole d’une débâcle sur un plan éthique – l’Europe et les Etats-Unis ayant, par leur désengagement, accordé de facto un blanc-seing au régime Assad et à ses alliés. Triomphe aussi sur le plan de la propagande et de la confusion. Au moment où les civils d’Alep-Est, massacrés à grande échelle par les pouvoirs de Damas et Moscou, tentent de fuir les bombardements aveugles, une narration d’inversion des réalités semble à certains égards l’emporter.
Les rebelles d’Alep ont perdu leur guerre et les Nations unies leur crédibilité sous les décombres d’une ville symbole « de l’effondrement de l’humanité », selon la représentante américaine à l’ONU, Samantha Power. Jamais le Conseil de sécurité, paralysé par la présence d’une Russie juge et partie, n’a été en mesure de peser en Syrie après cinq ans et demi de conflit.
« Cette tragédie est le résultat de la sauvagerie des uns, de la complicité active et du cynisme absolu des autres, mais aussi de beaucoup de lâcheté et d’indifférence et, il faut avoir le courage de ledire, de l’impuissance de la communauté internationale et de l’ONU », a convenu François Delattre, le représentant français auprès des Nations unies.
A l'époque les massacres de hama et Homs en 1980 restaient cachés, internet et les réseaux sociaux étaient fermés. maintenant on assiste en temps réel aux massacres en toute
La reprise de la cité antique dimanche, ainsi que la lenteur de la reconquête de Mossoul par les Irakiens, peut être considérée comme des victoires militaires pour les djihadistes, après de nombreuses défaites ces derniers mois, notamment en Libye.Ce revers dans une ville où Vladimir Poutine avait organisé un concert symphonique en mai pour en célébrer la libération, illustre la difficulté de l’armée de Bachar Al-Assad, engagée dans la reconquête d’Alep, à combattre sur plusieurs fronts en même temps, en dépit du soutien aérien de la Russie et celui au sol de milices chiites libanaise, irakienne et iranienne.
Le groupe État islamique (EI) a probablement mis la main sur des armes anti-aériennes en reprenant dimanche la ville syrienne de Palmyre, dont les djihadistes avaient été chassés neuf mois auparavant par le régime, a indiqué aujourd'hui un général américain.
Le Pentagone avait fait savoir mardi que les troupes du président Bachar al-Assad avaient quitté "très rapidement" la cité antique face à "probablement l'une des contre-attaques les plus significatives" menées par l'EI."En conséquence, l'EI a pris tout le matériel laissé sur place par le régime. Cela pourrait comprendre des véhicules blindés, de l'artillerie", avait relevé Jeff Davis, porte-parole du Pentagone.
Mercredi, le général Stephen Townsend, qui commande la campagne aérienne de la coalition anti-EI en Irak et en Syrie dirigée depuis l'été 2014 par les Etats-Unis, a fourni des précisions sur le matériel sans doute tombé aux mains des djihadistes. "Nous pensons que cela inclut des véhicules blindés et différentes armes à feu et armes lourdes, peut-être des équipements de défense anti-aérienne", a-t-il indiqué lors d'une vidéo-conférence depuis Bagdad.
"En gros, tout ce dont ils s'emparent représente une menace pour la coalition, mais nous pouvons maîtriser ces menaces et nous le ferons", a poursuivi le général.
Les derniers attentats arrangent les affaires de Bachar El-Assad tout en répondant aux intérêts de Daech. Quoi qu’il en soit, tout règlement international de la crise syrienne nuirait finalement aux deux.courrier international Publié le17/11/2015 - 16:47
Car la situation la plus profitable, aussi bien pour Daech que pour Assad, serait la perpétuation de la situation telle qu’elle est depuis trois ans. Pour les deux, c’était la meilleure garantie de survie puisque l’existence de l’un renforce celle de l’autre.
"Je suis un amant fanatique de la liberté, la considérant comme l'unique milieu au sein duquel puissent se développer et grandir l'intelligence, la dignité et le bonheur des hommes ; non de cette liberté toute formelle, octroyée, mesurée et réglementée par l'État, mensonge éternel et qui en réalité ne représente jamais rien que le privilège de quelques-uns fondé sur l'esclavage de tout le monde." (Michel Bakounine)la publication de Samy Cat Genarez. Censure ? cette vidéo , entre autres, présente des problèmes de visionnage sur notre pc, pourquoi ?!! c'est pas anodin, si vous pouvez nous dire si c'est pareil pour vous... merci d'avance ! 26 mai 2016, Paris, voix non censurée des manifestants contre la loi travail et son monde, sur la violence des dits "casseurs".
Appelait-on les manifestants de Mai 68 également des "casseurs", terme utilisé jusqu'à l'écoeurement par les médias bourgeois actuels ? Ou tous les manifestants qui ont détruit des choses matérielles dans le cours historique, principalement pendant des mouvements révolutionnaires ? (Exemple de la prison de la Bastille en 1789 démolie par les révolutionnaires, euh faut-il les appeler plutôt les casseurs également ?) Une citation que je viens de voir ce matin, avec laquelle je suis totalement en accord :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes (et de femmes) dans ses rouages silencieux et bien huilés. La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première. La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres. Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Il est stupéfiant de considérer le passage en force d'une loi atroce comme celle du Travail comme "non-violent", avec toutes les destructions sociales qu'elle entraine pour des millions de salariés (facilité de licenciement, souffrance psychologique, suppression des 35h et augmentation des cadences infernales avec les troubles musculo-squelettiques que cela entraine pour les ouvriers) avec "violent" le fait d'incendier une voiture de police, police qui gaze et matraque, crée délibérément des tensions pour stopper la lutte sociale. Il faut plus que jamais aller vers la grève générale dure, le blocage de l'économie, la massification et la radicalisation des manifestations. C'est la seule manière de stopper ce gouvernement dans sa volonté d'enrichir toujours plus les riches (grands patrons, actionnaires, grands propriétaires immobiliers etc...), qui n'en ont jamais assez, et d'appauvrir les pauvresYannis Youlountas, Béa Ausardia, Chantal Joubertagricole,ToutLeMondeDétesteLaPolice, #Résistance ; Yannis YoulountasChantal Joubertagricole Joubertagricole, , #Résistance ;#loitravailnonmerci ; #OnLâcheRien ; #OnVautMieuxQueCela, Lycéens, étudiants #Debout, #MerdiasOfficielsAuxOrdres,#SouffleLaBougie
« La pensée bourgeoise dit toujours au Peuple : " Croyez-moi sur parole ; ce que je vous annonce est vrai. Tous les penseurs que je nourris ont travaillé pour vous. Vous n'êtes pas en état de repenser toutes leurs difficultés, de repasser par leurs chemins, mais vous pouvez croire les résultats de ces hommes désintéressés et purs. De ces hommes marqués d'un grand signe, ces hommes qui détiennent à l'écart des hommes du commun pour qui ils travaillent, les secrets de la vérité et de la justice. " »Croyez-moi sur parole... ZEC plus Ultra dimanche, 23 mars 2014
De fausses informations se sont glissées au milieu des…
LEMONDE.FR
Voici une tribune parue dans la presse bourgeoise signée par plusieurs personnes. Elle ont toutes en commun le fait d'avoir été blessées mutilées par un flashball aux mains de la police. Ainsi, plusieurs d'entre eux ont perdu un oeil, simplement parce...
"En plein état d’urgence, la chienlit fait tache d’huile."
ACRIMED.ORG
"... les flics produisaient des images directement pour le compte de TF1, qui avait aussi sa propre équipe mais sans le logo de la chaîne. "
"Des flics avec des caméras HD à la main, ça interrogeait tout le monde pendant la manif du 19 mai. Certains imaginaient une nouvelle technique de traque policière. La réponse, vue à la TV dimanche soir, se révéle bien plus prosaïque. En réalité, les flics produisaient des images directement pour le compte de TF1, qui avait aussi sa propre équipe mais sans le logo de la chaîne. Évidemment, le traitement médiatique de la manif’ par TéléBouygues est classique : les gentils policiers face aux méchant·es casseurs et casseuses. Et une fois de plus, TF1 s’est illustrée par des raccourcis et un montage destiné à délégitimer celles et ceux qui luttent depuis plusieurs mois contre la loi "Travaille !" et son monde. Mais un visionnage attentif de la vidéo comparé aux témoignages reçus démontre un cynisme encore pire. On peut se demander si une partie des interventions musclées des flics, avec 8 personnes interpellées pour une manif où il ne s’est rien passé, ne relevaient pas du théâtre. Une mise en scène dans laquelle les manifestant·es n’auraient été que des figurants pour faire de l’audience et vendre la propagande du patronat."
" Non moi je m'en fous un peu des médias en fait, l'important c'est le rapport de force et la radicalisation de la lutte sociale. Ce qu'en pensent les médias ou l'"opinion publique", je m'en fous un peu, l'important c'est le rapport de force avec l'État.
Là, il y aura la pénurie d'essence j'espère bientôt et ça va dans ta logique nous "mettre a dos les médias et l'opinion publique mais encore une fois le but d'une lutte c'est pas de plaire et d'être consensuel mais de bloquer l'économie pour faire plier le gouvernement.
La lutte sociale existe sans être médiatisée d'ailleurs enfin bref.
Moi autrement, les flics c'est pas trop un boulot que j'aime tant que ça personnellement. Même si c'est vrai, certains sont pires que d'autres. Combien d'entre eux ont démissionné quand le pouvoir est passé à Vichy ? Quasiment aucun. Ils ont raflé des enfants juifs pour les envoyer aux camps de la mort, appliqué les ordres. Il y a eu aucune démission massive et là si le pouvoir passe à l'extrême-droite ce sera pareil. D'ailleurs, le FN a été très acclamée dans leur manif de fachos.
Après, bon c'est des êtres humains et je condamne tout meurtre. Mais là le but c'était de cramer leur bagnole pas de les tuer.
Surtout CRS, matraquer, gazer, c'est pas glorieux comme boulot quand même non ?
Tiens, un ptit slogan de manif qu'on entend parfois "Gendarme, flic et militaire, qu'est-ce qu'on ferait pas, pour un salaire !" émoticône grin'