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    "Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle

    "Le changement climatique, l'impuissance de l'ONU, les noeuds dans notre cerveau pour changer de modèle et rendre notre Terre plus vivable...Tout ça en data, interview, graphisme et reportage, ça valait bien 90 minutes de #Datagueule spécial"
     

    Le changement climatique, l'impuissance de l'ONU, les noeuds dans notre cerveau pour changer de modèle et rendre notre Terre plus vivable...Tout ça en data, interview, graphisme et reportage, ça valait bien 90 minutes de #Datagueule spécial"

    La COP 21, c'est génial ! Tous ensembles, on va régler tous les problèmes. On va sauver la planète Terre. Et ça va être extraordinaire ! En une semaine, on va tout changer. Enfin, nous on n'est pas invités... Mais je fais vraiment confiance aux industriels, et aux gouvernants, et aux industriels, pour avancer ensemble main dans la main. Une nouvelle ère s’ouvre devant nous. Ils vont tous venir dans des très gros avions. Nos dirigeants vont prendre  des décisions déterminantes. Mais pas trop déterminantes quand même. Bah oui, pas trop ! Faut être réaliste. Ne faut pas trop bouleverser l’économie, bien sûr. On doit continuer à consommer toujours plus, c’est normal. Ben ouais, faut pas déconner ! On va se redire des trucs qu’on se dit depuis 15 ans et qu’on va appliquer dans 30 ans. Ça va être génial ! Si tous les acteurs économiques  et tous les États sont d’accord. Bien évidemment ! Oui, faut avant tout que tout le monde soit content. Ça va être réellement incroyable. Ils vont absolument tout changer. Mais vous y croyez, vous ?

     

     

     Le scénario de l’effondrement l’emporterait ! Le pire scénario, celui de l’effondrement, se jouerait actuellement devant nous. Rencontre avec un scientifique, Dennis Meadows, à la veille de la conférence de Rio + 20. http://www.liberation.fr/ terre/2012/06/15/ le-scenario-de-l-effondreme nt-l-emporte_826664 

    Climat: le Giec appelle à des transformations "sans précédent"

    Chronique. C’est, à nouveau, le rapport de la « dernière chance ». Lundi 8 octobre, les experts du climat ont rendu une nouvelle somme sur la dérive climatique avec, comme sujet imposé par la communauté internationale, le seuil de 1,5 °C de réchauffement. Est-il encore possible de maintenir le climat terrestre sous cette barre qui se rapproche dangereusement ? La fameuse « dernière chance » est-elle, en réalité, désormais derrière nous ?

     

    Dans sa communication, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a décidé de maintenir vif l’espoir d’un endiguement du problème et de ses conséquences les plus désastreuses : au prix d’un sursaut international, dit le GIEC, il est encore possible de demeurer sous le seuil des 1,5 °C d’élévation de la température moyenne, par rapport aux niveaux préindustriels. Il faudrait une transition sans précédent, bien sûr, mais l’objectif ne serait pas hors de portée.

    Un régime autoritaire global

    Pour le sociologue et politiste Stefan Aykut, professeur assistant à l’université de Hambourg (Allemagne) et observateur affûté du théâtre de la diplomatie climatique, coauteur avec Amy Dahan de Gouverner le climat ? (Presses de Sciences Po, 2014), ce discours met les scientifiques dans une situation singulièrement inconfortable. « Pour ne pas apparaître comme ceux qui ont tué l’espoir, les scientifiques présentent des scénarios dont certains incluent des notions d’émissions négatives, c’est-à-dire l’éventualité que nous parvenions à retirer du carbone de l’atmosphère, ce qui repose sur des paris technologiques incertains, dit-il. Ensuite, lorsqu’on regarde la vitesse avec laquelle les émissions doivent décroître pour maintenir le climat sous le seuil de 1,5 °C, on voit que l’exercice est complètement déconnecté des réalités politiques et économiques du monde. »

    Les démocraties de marché ne sont pas adaptées aux transitions radicales

    Sources

    Climat : « Il est parfaitement illusoire de demeurer sous le seuil des 1,5 °C » 

    réchauffement climatique : citoyen actif

    2°C avant la fin du monde — Wiki Datagueule

     08 octobre 20182075 Sur Terre ; Les Temps Changent


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    « Au XVIIe siècle, on parlait du livre comme on parle de l’intelligence artificielle aujourd’hui »

     

    L’écrivaine américaine Louisa Hall signe un roman, « Rêves de machines », qui évoque l’éclosion des consciences mécaniques et ses conséquences pour les humains.LE MONDE DES LIVRES | 08.04.2017 Dans Rêves de machines, son premier roman traduit en France, elle entrelace cinq voix retraçant l’histoire de l’intelligence artificielle, du XVIIe siècle à un avenir – proche ? – où les robots seront non seulement plus brillants, mais aussi plus sensibles que leurs inventeurs, en passant par le Britannique Alan Turing (1912-1954) et les pionniers de l’informatique.

    La géniale Simone Giertz a inventé un nouveau robot, qui sert la soupe lui-même. Enfin, qui est censé le faire. Cliquez sur le tweet pour lancer la vidéo. Simone Gierz construit des «robots merdiques». Après le robot qui commente sur Internet ou celui qui maquille, elle propose aujourd'hui le robot shampouineur. Merdique, en effet

    soup robot DGAF about your soup needs

     

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      "Le pouvoir est maudit, c'est pourquoi je suis anarchiste." 
    (Louise Michel)



    "Je sais ma fibre anarchiste depuis mes plus jeunes années, indistinctement, de manière confuse et trouble, sans que j'aie pu poser un nom sur cette sensibilité issue des viscères et de l'âme.[...] L'autoritée m'est insuportable, la dépendance invivable, la soumission impossible. Les ordres, les invites, les conseils, les demandes, les éxigences, les propositions, les directives, les injonctions me tétanisent, me vrillent la gorge, me tordent le ventre."

    Capitalisme, industrie, modernité... Ce court-métrage est tout simplement mortel (et ce n'est rien de le dire).


    "Embarquez pour un voyage visionnaire à travers l’inconscient fragmenté de l’Occident et, avec courage, affrontez l’Ombre. De l’ombre à la lumière."

     

     

     b L'obsession sécuritaire

     le saccage des libertés fondamentales dont l'influence délétère participe à convaincre l'opinion d'accepter la régression sociale comme un moindre mal. cf L'obsession sécuritaire : nL’intelligence artificielle au service de la répression , 24/04/2015« La sécurité est la première des libertés.


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