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    Erick Aouchar

    Aujourd'hui je suis... Intolérant...
    Et oui !!! Même de proches amis me le disent avec une certaine force... Ont-ils raison ? Peut-être !
    En faisant mon examen de conscience, étape nécessaire à la clarification que l'on se doit à soi-même et sans aucune connotation religieuse, il me vient à l'esprit que je ne suis effectivement pas tolérant... Et que comme disait un de ces vieux amis perdu dans le fil du temps c'est sans doute parce "qu'il y a des maisons pour ça"... 
    Je ne suis pas tolérant avec la lâcheté, avec la manipulation, avec ceux qui violent les principes de la Liberté, de l'Egalité, de la Fraternité, de la Laïcité, de tout ce qui fait ma pensée, construite par moi-même avec l'aide précieuse de ces éducateurs, de mes maîtres (au sens ancien), de ceux qui par la maïeutique m'ont fait accoucher de moi-même, acquérir une conscience, penser sans contrainte dans la liberté absolue de conscience...
    Ils m'ont appris à me rebeller contre les injustices, à contester la morale oppressive, à ordonner mes révoltes, à canaliser ma rage, à effacer la haine...
    Je sais que la période est au chaos, que nous sommes entrés voire pas sortis d'une grande séquence historique de guerres et de révolutions et que de la profondeur des humains peut surgir à tout moment la tentation du mal, de la destruction et de la soumission à la terreur et à la survalorisation des émotions. 
    Mais ils m'ont amener à faire de la Raison, cette "putain du diable" selon Luther, la seul grille de lecture des mes propres pensées, dégagée du mysticisme du divin et surplombant les soubresauts du cerveau reptilien...
    Alors oui je suis intolérant au fascisme, à la bêtise, à la domination des humains par d'autres humains et par conséquence au système capitaliste et à l'obligation de soumettre aux dictats des média, aux oukases des moralistes, à la culpabilité judéo-chrétienne, aux ordres des congrégations, aux insistantes "recommandations" des obédiences. 
    Je suis un homme libre et peu enclin à ma laisser dominé par la peur, cette arme du pouvoir.
    Je me suis construit avec la certitude que la défense de l'Intérêt Général, celui de l'espèce, de l'Humanité, nous impose de nous affranchir de la peur de notre propre disparition et la pensée que nous survivons par ce que nous sommes en capacité de transmettre à ceux qui après nous, entrants dans cette infinie chaine humaine continueront l'oeuvre dont nous avons pris notre part lors de ce passage dans le monde.
    A mes amis, mes maîtres, mes camarades, mes frères en humanité, je dis donc ceci :
    Ne soyez pas surpris de ce que je suis, de ce que je pense, de ce que je produis aujourd'hui... 
    Je suis celui que vous avez contribué à construire, cet élève curieux devenu combattant, ce disciple qui voulait attirer votre fierté, qui rêvait de s'approprier la formule de Léonardo Da Vinci : "Piètre disciple qui ne dépasse son maître"...
    N'ayez pas d'acrimonie, je ne trahis en rien votre travail, je n'ai plus de père à tuer, plus de maître à dépasser... 
    Cogito ergo sum !
    Je sais ce que je vous dois et mes mots et mes actes sont un hommages permanent à votre travail d'éducation.
    Je ne vous remercierais jamais assez pour ce que vous avez fait pour moi, soyez en assurés... Je vous aime de toute la puissance d'Agape...
    Et c'est par pur conviction et sans contrainte aucune que je fais mes choix... Grâce à vous.
    Insoumission, Résistance... et Abstention !

    C'est pas dans les salons, c'est bien dans la rue qu'on lutte et qu'on obtient satisfaction. J'appel a rejoindre les mouvements antifa, seul moyens de lutter efficacement contre le FN. C'est pas dans les salons, c'est bien dans la rue qu'on lutte et qu'on obtient satisfaction.

     

     
    Aucun texte alternatif disponible.
    Nina Leger

    Sur une idée originale d'Elsa Rouzier Estrella :D

    Contre les fascistes nous nous allierons jusqu'avec le diable et ensuite nous combattrons le diable, NO PASARAN ".  pour mieux les combattre  maintenant et après.

    ABSTENTION ! "A quoi sert le vote aujourd’hui ? On s’achète une bonne conscience citoyenne en votant pour quelqu’un qui ne nous convainc pas, juste par principe et sans se poser trop de questions. C’est une citoyenneté au rabais. Notre système représentatif est fondamentalement conservateur : les élus des assemblées n’ont pas de pouvoir, les structures même de notre gouvernance conduisent à l’immobilisme. Personne ne veut mettre en œuvre des mesures impopulaires, ou qui bénéficient au plus grand nombre, mais entrent en contradiction avec les intérêts de corps minoritaires constitués - lobbys, syndicats, fonctionnaires...

    L’acte de vote est une légitimation de ce système, donc, , je n’irai pas voter en mai"

     

    VIDEO. Avec "No Vote", Antoine Bueno signe un manifeste pour une abstention utile, et plaide pour refonder un système de représentation inopérant. Rencontre.
    TEMPSREEL.NOUVELOBS.COM
     

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     la photo de CNT AIT 71.
     Hier, à 08:29 · 
     
     
     
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    CNT AIT 71

    . POUR L’ABSTENTION
    Propos anarcho-syndicalistes pour l’abstention et contre le capitalisme

    http://kropot.free.fr/CNT-abstention.htm#III

     
     
     

    Loin d’être un «non-acte» de démissionnaire, l’abstention consciente est un acte responsable de refus d’un système de domination où le droit de vote constitue l’acte public d’allégeance du plus grand nombre qu pouvoir de quelques uns. L’histoire récente des social-démocraties montre combien le rituel électoral, qui devait garantir la liberté et les moyens de vie pour chacun d’entre nous, n’a fait que renforcer le pouvoir d’une caste de possédants et l’exploitation de l’immense majorité des êtres humains.

    Parce que nous sommes pour l’abolition de ce système autoritaire où la propriété et le profit servent de valeur morale, et parce que nous savons qu’un monde de solidarité, de partage — riche de sa diversité — est possible, nous appelons à la lutte contre le pouvoir par l’abstention et l’action directe.

     

    Cette édition augmentée contient en particulier des textes qui reviennent sur les dernières élections présidentielles, qui montrent que, contrairement au retournement de vestes de certains, la théorie et pratique abstentionniste révolutionnaire est plus que jamais valable.

     La Compagnie Jolie Môme - C'est dans la rue qu'ça s'passe

    C'est pas dans les salons, c'est bien dans la rue qu'on lutte et qu'on obtient satisfaction.

     via PUNK L3gends & Anarchy.
     
    Documentaire- Le roman noir des Hauts-de-Seine
     

     

     
    L'éloquente saga des hauts de Seine, fief de la droite qui en a fait le terrain privilégié de ses arrangement avec la loi. Ne pas rater le témoignage hallucinant des barons locaux. Cette saga n'a rien a envié aux bons western. 

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    Il était une fois dans l'ouest Le roman noir des Hauts-de-Seine


     

     

     

     
     
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    Le Monde diplomatique

    « Le bras de la classe dirigeante » (mai 2016) www.monde-diplomatique.fr/55469

     

    « Le bras de la classe dirigeante » (mai 2016) www.monde-diplomatique.fr/55469


     
    ( Les "Nouveaux chiens de garde" / Les 10 premières minutes 
    , Serge Halimi - Les Nouveaux Chiens de Garde [HD] - YouTube ( 53 min),

     
     

     

    Dans cet enregistrement en libre écoute, nous faisons connaissance avec Edward Bernays, un homme qui a profondément marqué le 20è siècle puisqu'il est l'inventeur des techniques de manipulation de l'opinion, déclinées en propagande, puis en relations publiques et en marketing.

     

    Edward Bernays nait en 1891. Sa vie se terminera en 1985, à l'âge de 104 ans. Dans son ouvrage le plus fameux, "Propaganda", il explique que la démocratie souffre d'un défaut majeur: l'ignorance et le manque de discernement des citoyens. Les décisions doivent être prises par la minorité éduquée de la population et les outils de formatage de l'opinion publique doivent être utilisés afin d'y rallier les masses. Bernays jouera un rôle prédominant dans la Commission Creel chargée de faire accepter aux Américains, qui y étaient au départ opposés, l'entrée des Etats-Unis dans la 1ère guerre mondiale. Ce n'est qu'une fois le conflit terminé que les gens réaliseront qu'ils se sont fait manipuler et que le terme propagande acquerra une connotation négative ...

     

     
    L'inventeur de la propagande moderne est Edward Bernays - YouTube

     


     
    Edward Bernays - Propaganda / L'art de manipuler l ... - YouTube



     
    Jeu d'influences : les stratèges de la communication - YouTube
    Les stratèges de la communication se sont imposés dans toutes les sphères du pouvoir, dans l'ombre des politiques mais aussi des grands patrons. Inconnus du grand public, ces «spin doctors» sont au coeur de la production de l'information. Ils façonnent l'image de leurs clients et influencent les journalistes.



    "Emeutes en banlieue : la mécanique infernale "

     
    Spin doctors : dans l'ombre des présidents 2/3 ( durée 17 min), Spin doctors : dans l'ombre des présidents 3/3 

     




    Dans l Les médias et la politique  - citoyen actif « Les médias ont un sens étrange de la hiérarchie de l'information
     

     

     
     
     

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    "...Avant les guignolades officielles de demain, à Craonne, alors que les fusillés pour l'exemple n'ont toujours pas été réhabilités et que la Chanson de Craonne a été censurée, en juin dernier, lors des commémorations de la Bataille d'Arras!..."
    Dominique Grange

    La Chanson de Craonne

    Quand au bout d'huit jours le r'pos terminé
    On va reprendre les tranchées,
    Notre place est si utile
    Que sans nous on prend la pile
    Mais c'est bien fini, on en a assez
    Personne ne veut plus marcher
    Et le cœur bien gros, comm' dans un sanglot
    On dit adieu aux civ'lots
    Même sans tambours, même sans trompettes
    On s'en va là-haut en baissant la tête

    Adieu la vie, adieu l'amour,
    Adieu toutes les femmes
    C'est bien fini, c'est pour toujours
    De cette guerre infâme
    C'est à Craonne sur le plateau
    Qu'on doit laisser sa peau
    Car nous sommes tous condamnés
    Nous sommes les sacrifiés

    Huit jours de tranchée, huit jours de souffrance
    Pourtant on a l'espérance
    Que ce soir viendra la r'lève
    Que nous attendons sans trêve
    Soudain dans la nuit et dans le silence
    On voit quelqu'un qui s'avance
    C'est un officier de chasseurs à pied
    Qui vient pour nous remplacer
    Doucement dans l'ombre sous la pluie qui tombe
    Les petits chasseurs vont chercher leurs tombes

    C'est malheureux d'voir sur les grands boulevards
    Tous ces gros qui font la foire
    Si pour eux la vie est rose
    Pour nous c'est pas la même chose
    Au lieu d'se cacher tous ces embusqués
    F'raient mieux d'monter aux tranchées
    Pour défendre leur bien, car nous n'avons rien
    Nous autres les pauv' purotins
    Tous les camarades sont enterrés là
    Pour défendr' les biens de ces messieurs là

    Ceux qu'ont l'pognon, ceux-là r'viendront
    Car c'est pour eux qu'on crève
    Mais c'est fini, car les trouffions
    Vont tous se mettre en grève
    Ce s'ra votre tour, messieurs les gros
    De monter sur le plateau
    Car si vous voulez faire la guerre
    Payez-la de votre peau

    Poster de TARDI pour le Hors Série de la revue Le UN, numéro spécial Mutineries de 1917.

    Aucun texte alternatif disponible.
     

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    Coup de pouce abstentionniste 2:

    A l'argument: "mais c'est les autre qui vont choisir à ta place euh!!" la réponse est simple:
    " Mais pendant 5ans tu ne choisis rien c est le gouvernement qui choisi! c'est ça l'arnaque, c'est choisir des maitres! Et se croire libre 1jour tout les 5ans "

    et quand bien même; les candidats de l’extrême gauche à l’extrême droite sont tous d'accord sur l'essentiel: il défendent la république, la hiérarchisation sociale, le capital ( qu'il soit privé ou d'Etat) etc
    Alors tout ces candidats font leur marketing pour flatter leur potentiels gogo d'électeurs sans jamais, ils s'en garde bien, montrer que sur le font ils sont tous d'accord.

    VIVE L'ABSTENTION

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    « En dépit de tant de richesses »

    Venezuela, les raisons du chaos

    LEPARISIEN.FR

     

    En novembre, manifestations populaires et tentatives de déstabilisation ont intensifié les convulsions politiques que connaît le Venezuela. Tout au long des années 2000, les réussites — sociales, géopolitiques et culturelles — de la « révolution bolivarienne » d’Hugo Chávez avaient pourtant suscité l’enthousiasme des progressistes par-delà les frontières. Comment expliquer la crise que traverse actuellement le pays ?

     

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    Yaneth Rivas. – « El ejemplo que Caracas dió » (L’Exemple qu’a donné Caracas), 2014
    © Yaneth Rivas – Cartel de Caracas
     
     
    L’opposition appelle à manifester contre le président Maduro mercredi 18 mai. Analyse d’Eduardo Rios, doctorant au CERI-Sciences Po Paris, en échange doctoral à Oxford.
     
    Il faut d’abord prendre en considération le contexte économique catastrophique du pays
     
    Mais le principe de réalité est le plus fort. Nous restons dans le statu quo et les deux camps vont partager la responsabilité de l’instabilité. Si, contre toute logique, la situation dégénère, ce sera le chaos.
     
    Depuis la chute du mur de Berlin, la revendication du projet socialiste par un chef d’État était devenue désuète. Depuis janvier 2005, Hugo Chávez proclame cet horizon pour la société vénézuélienne. Le propos de Rafael Uzcátegui est celui d’un militant qui regrette la « crise mondiale de la pensée révolutionnaire » et qui souhaite, ardemment, une société émancipée de toute exploitation. L’auteur regrette qu’au-delà de la rhétorique socialiste du président vénézuélien, les structures de la société n’aient pas vraiment évolué. Il tente de rendre compte de la réalité du Venezuela contemporain au-delà des clichés qui ont eu tendance à s’imposer au cours de la décennie passée. https://cal.revues.org/571
     
    Inflation, misère et corruption : les forces telluriques que décrivait Chávez lors de sa prise de fonctions sont à nouveau à l’œuvre ; le volcan s’est réveillé. Pour la droite, les choses sont simples : le socialisme échoue toujours. À gauche, où l’on avait appris à voir le Venezuela comme un phare dans la nuit néolibérale, l’incompréhension le dispute à l’incrédulité. Et une question s’impose, celle que formulait déjà le dirigeant bolivarien quand il esquissait le bilan de ses prédécesseurs, en 1999 : comment expliquer que, en dépit de « tant de richesses », « le résultat soit aussi négatif » ?
     
    « À cause de la guerre économique que nous livrent l’opposition et ses alliés », répond le président Nicolás Maduro, élu en avril 2013, un mois après le décès de Chávez. Les chefs d’entreprise profitent de la chute des cours du pétrole pour organiser la pénurie, souffler sur les braises de la colère populaire et préparer le renversement du pouvoir chaviste
     
    Or la question qui divise le chavisme est d’une autre nature : l’hostilité de ceux que la « révolution bolivarienne » cherche à priver de leurs privilèges suffit-elle à expliquer le chaos actuel ?
     
    Le thème de la « guerre économique » lui évoque une image : « Dopé à la rente pétrolière, le Venezuela est monté sur le ring pour distribuer les uppercuts à la bourgeoisie et à l’empire. Désormais, les anabolisants ont disparu : le gouvernement est dans les cordes. D’un seul coup, il trouve anormal que ses adversaires poursuivent le combat. » Se revendiquant toujours du chavisme, « mais opposé au gouvernement », le militant Gonzalo Gómez formule les choses autrement : « On ne fait pas la révolution en espérant que le capitalisme ne réagira pas. » « D’ailleurs, poursuit-il, il faut distinguer deux attitudes : celle qui consiste à créer les conditions de la crise et celle qui consiste à en profiter. Bien souvent, les patrons se contentent de tirer parti des dysfonctionnements de l’économie. »
     
    par Renaud Lambert (Le Monde diplomatique, décembre 2016) // En novembre, manifestations…
    MONDE-DIPLOMATIQUE.FR
     
    Malgré les déconvenues qu’il a causées depuis un siècle, et malgré les crimes qui ont été commis en son nom, le socialisme continue à susciter l’espoir d’une vie meilleure, dans une société libre et égalitaire. Aussi, quand dans un pays riche en pétrole comme l’est le Venezuela, un gouvernement, fort de victoires électorales successives, annonce qu’il s’engage sur le chemin du socialisme, d’un socialisme nouveau, il s’attire à travers le monde le soutien enthousiaste d’une partie de la gauche. 

    Mais un discours véhément contre l’Empire états-unien, la haine que lui témoignent certains de ses adversaires, des ventes de pétrole à bon marché à des régimes amis, des expropriations d’entreprises locales ou étrangères suffisent-ils pour justifier cet enthousiasme ? 

    Rafael Uzcátegui, militant libertaire vénézuélien, contributeur de longue date à El Libertario, le périodique anarchiste de Caracas, et responsable du service d’enquête de PROVEA, une organisation vénézuélienne de défense des droits de l’homme, ne le pense pas. Au sujet de ce que ses dirigeants appellent le « processus bolivarien », il nous dit : « Deux interprétations grossières de ce processus se font concurrence sur la scène mondiale : d’un côté, on affirme que le gouvernement de Caracas a engagé une série de transformations radicales qui déboucheront sur le "socialisme du XXIe siècle", une trajectoire qui s’oppose aux politiques et aux valeurs de l’impérialisme capitaliste ; de l’autre, au contraire, on assure que le président Chávez est un dictateur qui instaure par la force le communisme au Venezuela. 
    Toutes deux, comme nous essaierons de le démontrer, sont fausses. » 

    Dans ce livre, sous une forme ramassée, on trouvera bien des éléments – sur la vie quotidienne, sur les relations entre le gouvernement et les organisations et mouvements sociaux – permettant de replacer les politiques menées par le régime vénézuélien dans leur double contexte, celui de l’histoire du Venezuela et celui de la mondialisation économique contemporaine. On y trouvera aussi à coup sûr des éclairages sur les conditions d’une transformation sociale radicale dans notre propre pays. 


    Préface d’Octavio Alberola 


    Sommaire : Très bref aperçu du Venezuela avec carte – Préface d’Octavio Alberola – Introduction – Première partie : La vie quotidienne au Venezuela bolivarien – Deuxième partie : « L’excrément du diable » – Troisième partie : La politique bolivarienne – Conclusion – Postface.
     

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